BOUTILLIER Sophie

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Thématiques des productions
Affiliations
  • 2012 - 2021
    Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques
  • 2013 - 2020
    Université du Littoral Côte d’Opale
  • 1993 - 1994
    Université Paris Nanterre
  • 2021
  • 2020
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2014
  • 2013
  • 2010
  • 2009
  • 2008
  • 1999
  • 1994
  • « femmes camerounaises et « cybermigration » maritale en france : analyse de l'impact socio economique d'une dynamique migratoire nouvelle ».

    Brice MANKOU, Sophie BOUTILLIER
    2021
    RESUME Les dynamiques migratoires féminines s'inscrivent dans un contexte marqué par ce que certains ont appelé, les migrations mondialisées (Le Bras, Lang, 2006) Si dans le passé, les femmes migraient en tant qu'épouses, aujourd'hui, les migrations féminines africaines s'inscrivent dans des logiques individuelles et d'entraide familiale. Les femmes migrantes représentant une sorte de sécurité sociale, financière et matérielle pour leurs familles. De plus en plus de femmes migrent en voulant devenir actrices de leur propre destin. Le cas des Camerounaises est une parfaite illustration avec la « cybermigration maritale » que nous allons définir plus loin comme une forme de migration socio-économique légale qui concerne en Afrique Centrale, les femmes confrontées aujourd'hui à la pauvreté et la misère. Dès lors, on peut dire que les stratégies migratoires mises en oeuvre par ces Camerounaises ont pour objectif de fuir la misère dans ce pays d'Afrique centrale où près de la moitié des femmes vit dans une extrême pauvreté. Notre analyse de l'impact socio-économique de la cybermigration maritale se focalise sur l'étude des migrations féminines en général et camerounaises en particulier. Ainsi, cette étude s'atèle à répondre aux questions suivantes : Pourquoi la femme camerounaise migre-t-elle ? Quelles sont les stratégies migratoires que ces femmes mettent en oeuvre ? Quel rôle joue Internet dans cette dynamique migratoire nouvelle ? Cette cybermigration maritale sert-elle l'intérêt collectif ou celui des familles restées au Cameroun ?. MOTS CLES Cybermigration-Femmes camerounaisesdynamique migratoireimpact socioéconomique-Internet.
  • Espaces de travail créatif.

    Sophie BOUTILLIER, Ignasi CAPDEVILA, Laure MOREL
    2021
    Résumés en français et en anglais.
  • Gouvernance de l'innovation : la diversité des conseils d'administration est-elle importante ?

    Meriam ATTIA, Ouidad YOUSFI, Abdelwahed OMRI, Sabri BOUBAKER, Ouidad YOUSFI, Abdelwahed OMRI, Sabri BOUBAKER, Laure MOREL, Sophie BOUTILLIER, Meryam BELLOUMA, Laure MOREL, Sophie BOUTILLIER, Meryam BELLOUMA
    2020
    L’objectif de la présente thèse est d’identifier les mécanismes de gouvernance qui semblent influencer les activités d’innovation. Premièrement, nous examinons comment les caractéristiques des administrateurs pourraient influencer l’innovation. Notre étude montre que la présence de femmes au sein du conseil influence positivement les innovations de produits, tandis que la présence d'administrateurs indépendants favorise le nombre de brevets et d'innovations de procédés. Deuxièmement, nous montrons que les administrateurs hautement qualifiés peuvent mieux comprendre les décisions complexes et absorber de nouvelles idées et technologies, ce qui favorise les activités d’innovation. De plus, nous soulignons que les administrateurs ayant un diplôme universitaire en finance ou en gestion semblent marginaliser les investissements d'innovation car ils sont plus susceptibles de se concentrer sur des activités avec des rendements financiers à court terme. Ensuite, les administrateurs d'origines ethniques, culturelles, et de nationalités différentes semblent inciter une entreprise à améliorer ou à développer de nouveaux produits. Par contre, nos résultats montrent que les administrateurs plus âgés sont moins tolérants au risque que les administrateurs jeunes: ils investissent moins dans des investissements risqués en R&D.Ensuite, nous étudions comment l'organisation interne des conseils d'administration, en particulier les rôles des comités et leur composition, pourrait influencer la trajectoire des projets d'innovation. Nous montrons que la présence de comités de nomination est négativement associée au nombre de demandes de brevets et au nombre de scientifiques et d'experts dans l’équipe de R&D. En outre, la plupart des attributs du comité de nomination (comme la présence de membres indépendants et féminins) n’ont pas d’association significative avec les activités d’innovation. Nous montrons également que les grands comités de nomination ont tendance à augmenter l'innovation en termes d’effort ainsi qu’en nombre de brevets déposés. Enfin, nos résultats montrent que la fréquence des réunions de comités de nomination pourrait réduire l'asymétrie d'information sur les projets d'innovation, ce qui entraîne une augmentation des dépenses de R&D.Enfin, nous examinons comment l'introduction d'une activité d'innovation pourrait générer une autre forme d'innovation. Plus précisément, nous déterminons si les innovations organisationnelles introduisent des innovations technologiques, ou vice versa. Notre étude confirme l’existence de lien de causalité entre les innovations organisationnelles et les procèdes dans les deux sens. De plus, nos résultats montrent que le développement de nouveaux produits semble générer des changements organisationnels au sien de la structure de l’entreprise. Par contre, une simple introduction de nouvelles pratiques ou méthodes organisationnelles n'est pas suffisante pour favoriser les innovations produits.
  • L'émergence des "startuppers" au Maroc : institutions, trajectoires, réseaux sociaux.

    Quentin CHAPUS, Christian AZAIS, Christophe jalil NORDMAN, Yolande BENARROSH, Jean philippe BERROU, Sophie BOUTILLIER, Michel GROSSETTI
    2020
    Le Maroc se caractérise depuis quelques années par l’apparition d’associations, d’incubateurs et autres réseaux institutionnalisés qui promeuvent « l’esprit start-up ». La circulation de ces registres discursifs occidentaux, volontiers associés à l’idée de modernité et de progrès, interroge quant aux relais qu’ils trouvent au sein du pays et aux réappropriations dont ils font l’objet. Loin de l’image éculée des quelques « success stories » de la côte ouest états-unienne, nous nous demandons ce qu’être « startupper » veut dire dans le Maroc des années 2010. Qui sont celles et ceux qui se lancent dans cette voie et quelles sont leurs logiques d’action ? Notre volonté de dénaturaliser l’entrepreneuriat et d’étudier la plasticité de sa forme dite start-up se double d’une ambition théorique, à savoir concevoir l’entrepreneur comme un acteur à la fois socialisé et encastré dans des structures relationnelles. Pour ce faire, la thèse se situe au croisement d’une sociologie « dispositionnaliste » et d’une sociologie de l’encastrement.La première partie appréhende les créations de start-up à partir d’un point de vue macrosocial et illustre en quoi les stratégiesdes « promoteurs » de la start-up sont orientées vers une tentative de révolution symbolique dans le champ marocain. En sélectionnant les profils de « startuppers » et en exerçant sur eux une action enveloppante, ces « promoteurs » participent à l’émergence d’un groupe susceptible de relayer l’idéologie dont la start-up est porteuse.La deuxième partie porte ensuite le regard à l’échelle microsociologique des trajectoires individuelles, sur les conditions depossibilité d’un engagement en « horizon incertain » que représente la création d’une start-up. Sont observées en particulier lesdispositions au changement et à la prise de risque et les moments biographiques durant lesquels ces dispositions sont réactualisées.L’analyse sociogénétique du discours des « startuppers » suggère que l’aspiration à l’enrichissement économique est rarement une logique d’action centrale. Elle se retrouve davantage subordonnée à des logiques de distinction qui s’expriment par un désir de singularisation, souvent corollaire d’une trajectoire d’ascension sociale.La troisième partie montre enfin, au niveau méso-social, que ce projet trouve support dans une recherche d’autonomisation des« startuppers » vis-à-vis de certains de leurs réseaux et sphères d’appartenance, notamment de la famille. Ces liens forts sontparticulièrement peu sollicités pour obtenir des ressources ce qui limite la possibilité de leur intrusion dans la start-up. L’espaced’autonomie créé à travers l’entreprise reste néanmoins conditionné par la rentabilité de cette dernière. Les « startuppers » se trouvent ainsi en tension entre désirs de se singulariser et de s’autonomiser de certains liens d’un côté et nécessité de construire une entreprise économiquement pérenne de l’autre.Le croisement des niveaux d’analyse de l’acte d’entreprendre et des temporalités qui le rendent possible nous amène à soutenirqu’il n’existe pas plus de « startupper » que d’« entrepreneur », mais des individus qui, à un moment donné de leur existence et dans un contexte donné, trouvent un intérêt à – et peuvent – s’en revendiquer.
  • Entrepreneur and Economists.

    Sophie BOUTILLIER
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneur héroïque, Théories.

    Sophie BOUTILLIER, Dimitri UZUNIDIS
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • L’analyse de la trajectoire technologique à partir des brevets : le système technique « vaccins » du groupe Sanofi.

    Sophie BOUTILLIER, Sana ELOUAER MRIZAK, Blandine LAPERCHE, Didier LEBERT
    Colloque RRI « Imaginer le futur à partir du passé » | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • L'université dans une société entrepreneuriale.

    Sophie BOUTILLIER
    Journal of Innovation Economics & Management | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Des espaces collaboratifs favorisant la créativité et l'innovation.

    Sophie BOUTILLIER, Ignasi CAPDEVILA, Laurent DUPONT, Laure MOREL
    Journal of Innovation Economics & Management | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Espaces et nouvelles formes d’organisation du travail créatif.

    Sophie BOUTILLIER, Ignasi CAPDEVILA, Laurent DUPONT, Laure MOREL
    Innovations | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Le "potentiel de ressources" de l'entrepreneur, Innovation et réseaux.

    Dimitri UZUNIDIS, Sophie BOUTILLIER, Blandine LAPERCHE
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Le capital social de l'entrepreneur.

    Sophie BOUTILLIER
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Méthodologie de la thèse et du mémoire.

    Sophie BOUTILLIER, Alban GOGUEL D ALLONDANS, Dimitri UZUNIDIS, Nelly LABERE
    2018
    L'écriture d'un mémoire ou d'une thèse s'avère une aventure intellectuelle palpitante. Qu'il soit professionnalisé ou axé sur la recherche, le diplôme universitaire ouvre bien des portes, à condition que la recherche soit pertinente et consciencieusement menée. Cet ouvrage propose une méthode approfondie destinée à guider l'apprenti chercheur tout au long de son travail. Quelles sont les exigences d'un mémoire et d'une thèse ? Comment choisir son sujet ? Comment construire des hypothèses ? Les conseils méthodologiques sont illustrés par des exemples afin de vous aider à mieux saisir les voies de recherche et de rédaction. Ce manuel s'adresse aux étudiants de master et de doctorat, qu'ils soient en économie, en droit, en sociologie ou encore en lettres et sciences humaines.
  • Innovations et solutions pour le changement climatique [Editorial].

    Jean marc TOUZARD, Sophie BOUTILLIER
    Journal of Innovation Economics & Management | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Méthodologie de la thèse et du mémoire.

    Sophie BOUTILLIER, Alban GOGUEL D ALLONDANS, Dimitri UZUNIDIS, Nelly LABERE
    2017
    La 4e de couverture indique : " L'écriture d'un mémoire ou d'une thèse s'avère une aventure intellectuelle palpitante. Qu'il soit professionnalisé ou axé sur la recherche, le diplôme universitaire ouvre bien des portes, à condition que la recherche soit pertinente et consciencieusement menée. Cet ouvrage propose une méthode approfondie destinée à guider l'apprenti chercheur tout au long de son travail. Quelles sont les exigences d'un mémoire et d'une thèse ? Comment choisir son sujet ? Comment construire des hypothèses ?. Les conseils méthodologiques sont illustrés par des exemples afin de vous aider à mieux saisir les voies de recherche et de rédaction. Ce manuel s'adresse aux étudiants de master et de doctorat, qu'ils soient en économie, en droit, en sociologie ou encore en lettres et sciences humaines.".
  • Théories de l’entrepreneur.

    Andre TIRAN, Sophie BOUTILLIER
    Dictionnaire économique de l'entrepreneur | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneur and Economists.

    Sophie BOUTILLIER
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Changement climatique : les défis de l'innovation.

    Jean marc TOUZARD, Sophie BOUTILLIER
    2017
    L'innovation est, en effet, au cœur de notre capacité à faire face au changement climatique dans de nombreux secteurs tels que l'énergie, les transports, la construction, les assurances, la santé, l'eau ou l'agriculture. Mais quelles sont les caractéristiques, les conditions et les impacts attendus de ces innovations, qui peuvent être technologiques, organisationnelles ou sociales ? Comment sont-elles effectivement prises en compte dans les politiques internationales, nationales ou locales ? Le changement climatique n'est-il qu'un argument pour promouvoir l'innovation écologique, voire pour faire du greenwashing ? Le défi climatique conduirait-il plutôt à de nouvelles formes d'innovation radicales et originales, portées par de nouvelles communautés de scientifiques, d'entrepreneurs et de citoyens ? Ce numéro de Innovations, Journal of Innovation Economics and Management rassemble huit articles qui contribuent à une meilleure compréhension des liens entre innovation, changement climatique et politiques d'innovation.
  • Petit entrepreneuriat, connaissances et ressources sociales dans un territoire d'industrie lourde. Le cas des éco-innovations à Dunkerque, Nord de la France.

    Sophie BOUTILLIER
    Journal of the Knowledge Economy | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Les écosystèmes entrepreneuriaux, rencontre entre entreprises et territoire.

    Denis CARRE, Nadine LEVRATTO, Sophie BOUTILLIER
    2016
    Pas de résumé disponible.
  • La théorie de l’entrepreneur, son évolution et sa contextualisation.

    Sophie BOUTILLIER, Andre TIRAN
    Innovations | 2016
    Peu d’économistes ont placé l’entrepreneur au cœur de la dynamique globale du capitalisme, qui est plus importante que l’acteur économique lui-même. Cependant, trois économistes, Cantillon, Say et Schumpeter ont développé une analyse où l’entrepreneur est l’énergie principale du processus d’accumulation capitaliste. Dans leur analyse, l’entrepreneur n’est pas un individu mais une fonction qui représente un lien systémique entre les structures socioéconomiques du capitalisme et les motivations entrepreneuriales (profit, défi, reconnaissance sociale, innovation, etc.), permettant de comprendre leurs décisions, et d’analyser leurs conséquences sur le cycle des affaires. Depuis, d’autres économistes ont actualisé et développé leur œuvre, en fonction des problèmes économiques et sociaux (progrès technique, chômage, emploi…) de leur temps.
  • Méthodologie de la thèse et du mémoire.

    Sophie BOUTILLIER, Alban GOGUEL D ALLONDANS, Dimitri UZUNIDIS, Nelly LABERE
    2015
    L'écriture d'un mémoire ou d'une thèse s'avère une aventure intellectuelle palpitante. Qu'il soit professionnalisé ou axé sur la recherche, le diplôme universitaire ouvre bien des portes, à condition que la recherche soit pertinente et consciencieusement menée. Cet ouvrage propose une méthode approfondie destinée à guider l'apprenti chercheur tout au long de son travail. [Source : d'après la 4e de couverture].
  • VI. Zoltan J. Acs et David B. Audretsch – Des « débordements de connaissances » à l’entrepreneur, le renouveau permanent du capitalisme.

    Sophie BOUTILLIER, Dimitri UZUNIDIS
    Les Grands Auteurs en Entrepreneuriat et PME | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Jean-Baptiste Say : l’art d’entreprendre et le métier de l’industriel du début du xixe siècle.

    Dimitri UZUNIDIS, Sophie BOUTILLIER
    Cahiers d'histoire du Cnam | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Principes d'économie de l'innovation.

    Sophie BOUTILLIER, Joelle FOREST, Delphine GALLAUD, Blandine LAPERCHE, Corinne TANGUY, Leila TEMRI
    2014
    L’innovation ou l’introduction de toutes sortes de nouveautés dans l’économie, devient un réel sujet d’étude dans la seconde partie du 20e siècle et, à partir des années 1970, s’immisce dans les cursus universitaires d’économie, de management, de sociologie, d’ingénierie, etc. L’innovation constitue l’intersection de trois thématiques clés : la croissance, le changement technique, l’évolution du comportement et des performances des entreprises et des organismes publics. Ce livre présente les derniers travaux en économie et en management de l’innovation et combine l’analyse théorique avec la description de différentes réalités saillantes extraites du monde des affaires, de la science, de la technologie et des institutions. Il présente une vision élargie de l’innovation fondée sur l’étude des acteurs de l’innovation (entrepreneurs, entreprises, État, institutions financières, laboratoires de recherche, etc.), sur l’analyse des mésosystèmes d’innovation (réseaux, secteurs, territoires) et sur les fondements des politiques publiques de l’innovation. Les auteurs traitent de manière didactique, sous un regard historique et prospectiviste, les problématiques liées aux enjeux (risques et opportunités) de la mutation des modes actuels de production, de consommation et d’organisation de l’activité économique et sociale.
  • Méthodologie de la thèse et du mémoire.

    Sophie BOUTILLIER, Alban GOGUEL D ALLONDANS, Dimitri UZUNIDIS, Nelly LABERE
    2014
    Pas de résumé disponible.
  • Principes d'économie de l'innovation [Introduction générale].

    Sophie BOUTILLIER, Joelle FOREST, Delphine GALLAUD, Blandine LAPERCHE, Corinne TANGUY, Leila TEMRI
    Principes d'économie de l'innovation | 2014
    L’innovation ou l’introduction de toutes sortes de nouveautés dans l’économie, devient un réel sujet d’étude dans la seconde partie du 20e siècle et, à partir des années 1970, s’immisce dans les cursus universitaires d’économie, de management, de sociologie, d’ingénierie, etc. L’innovation constitue l’intersection de trois thématiques clés : la croissance, le changement technique, l’évolution du comportement et des performances des entreprises et des organismes publics. Ce livre présente les derniers travaux en économie et en management de l’innovation et combine l’analyse théorique avec la description de différentes réalités saillantes extraites du monde des affaires, de la science, de la technologie et des institutions. Il présente une vision élargie de l’innovation fondée sur l’étude des acteurs de l’innovation (entrepreneurs, entreprises, État, institutions financières, laboratoires de recherche, etc.), sur l’analyse des mésosystèmes d’innovation (réseaux, secteurs, territoires) et sur les fondements des politiques publiques de l’innovation. Les auteurs traitent de manière didactique, sous un regard historique et prospectiviste, les problématiques liées aux enjeux (risques et opportunités) de la mutation des modes actuels de production, de consommation et d’organisation de l’activité économique et sociale.
  • La crise de 1929 ou la leçon non apprise de l'histoire.

    Sophie BOUTILLIER
    Marché et organisations | 2013
    Situee entre les deux guerres mondiales, la crise de 1929 est percue comme la consequence de la premiere guerre mondiale et la seconde guerre mondiale comme la solution de la crise de 1929. Elle reste aujourd’hui la plus grave crise financiere et economique, et chaque crise est l’occasion de comparaison, la crise actuelle comme les autres. Si chaque crise est unique, des mecanismes comparables en sont la cause. La crise de 1929, comme la crise actuelle, s’est produite apres une longue periode de laisser-faire, tout particulierement en matiere de marches financiers. La bourse etait consideree (par les politiques, les traders et la classe moyenne) comme un moyen de s’enrichir facilement et rapidement. Mais, il fut plus facile de sortir de la crise par la guerre que par des investissements publics massifs dans des secteurs vitaux tels que la sante, l’education, le logement ou les transports publics. Aujourd’hui nous sommes dans la meme situation, les depenses sociales baissent et le secteur militaire reste prospere. Pourquoi n’a-t-on pas retenu la lecon de l’histoire ? Pourquoi cette amnesie financiere recurrente ?Classification JEL : P10, G01, N4.
  • Le "potentiel de ressources" de l'entrepreneur, Innovation et réseaux.

    Dimitri UZUNIDIS, Sophie BOUTILLIER, Blandine LAPERCHE
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Le capital social de l'entrepreneur.

    Sophie BOUTILLIER
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneur socialisé, Théories.

    Sophie BOUTILLIER, Dimitri UZUNIDIS
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneur héroïque, Théories.

    Sophie BOUTILLIER, Dimitri UZUNIDIS
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneur : Bases étymologiques.

    Sophie BOUTILLIER, Dimitri UZUNIDIS
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneur and Economists.

    Sophie BOUTILLIER
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Insertion des pays de la zone franc africaine dans le commerce mondial : étude sur la spécialisation appauvrissante et le problème du financement de l'économie.

    Emmanuel MOUSSONE, Dimitri UZUNIDIS, Bernadette MADEUF, Sophie BOUTILLIER, Gabriel ZOMO YEBE, Christian AUBIN, Thomas JOBERT
    2010
    Les problèmes du mode d'insertion des pays de la Zone Franc Africaine dans le commerce mondial trouvent leurs explications dans la forte concentration des exportations sur des matières premières dont la demande mondiale est régressive et des importations des produits manufacturés dont la demande mondiale est progressive. L'essentiel des échanges se réalise avec quelques pays de l'OCDE pour des raisons historiques, politiques et économiques. Malgré l'existence d'une intégration économique et monétaire, les échanges intra-régionaux sont marginaux à cause des structures de production homogènes et concurrentes. Le caractère oligopsonistique des marchés des matières premières, les subventions accordées par les pays industrialisés à leurs agriculteurs, les politiques de gestion de stocks et de réserves stratégiques, la spéculation, font des pays de la ZFA des "preneurs d'un prix" qui, comparé à celui des produits manufacturés montre une détérioration des termes de l'échange, ce qui conduit à des recettes faibles et volatiles. La spécialisation et la forte extraversion de l'économie des pays de la ZFA sont donc à l'origine d'une croissance économique de long terme non soutenue, des déficits publics récurrents à l'origine de la crise de la dette publique. Ainsi, l'amélioration des performances macroéconomiques des pays de la ZFA nécessite le passage d'une économie de rente à une économie de production.
  • "La Nouvelle mutualité" : utopie ou refondation? : essai d'analyse de la gouvernance de la FNIM (Fédération nationale interprofessionnelle des mutuelles).

    Philippe NASZALYI, Sophie BOUTILLIER
    2009
    L'apparition en 1989, en France, d'une nouvelle fédération de mutuelles de santé qui revendique l'appellation de « Nouvelle mutualité », amène à se poser la question des fondements du mutualisme dont se réclame cette nouvelle venue, dans le cadre du bouleversement économique qui amène l'émergence ou la ré-émergence des familles de l'économie sociale, qui tentent elles aussi de se distinguer des modèles de gouvernement d'entreprise de l'économie classique. La création de la Fédération nationale interprofessionnelle des mutuelles (FNIM) se situe donc au croisement de cette émergence en appelant un double questionnement. L'économie sociale constitue-t-elle un mode d'organisation alternative et, au sein de cette famille, en quoi la FNIM peut-elle constituer un modèle type d'un gouvernement d'entreprise remarquable ? La thèse entend analyser en quoi la «démocratie représentative », revendiquée par les fondateurs, est l'élément discriminant entre les entreprises capitalistes ordinaires et les autres formes de la mutualité. A partir des principales sources originelles de l'économie sociale et des particularités des influences, l'analyse entend démontrer la réalité de l'authenticité de la revendication de gouvernance, dans une comparaison entre les réalités organisationnelles des structures entrepreneuriales. Le contexte des années 1990 et 2000, qui voit l'alternance entre des gouvernements de gauche et de droite, dans le cadre de la remise en cause du fonctionnement de l'assurance maladie issue des «Trente glorieuses », les directives plutôt dérégulatrices de la Commission européenne et l'hostilité des principaux autres tenants de la Mutualité, éclairent sous des aspects variés, le schéma de gouvernance choisi, en permettant de vérifier les hypothèses de sa réalité tangible. L'étude s'est entièrement appuyée sur les archives originales de la FNIM de 1989 à 2005.
  • Risques industriels, travail et environnement : contribution du droit de l'environnement à la protection de la santé au travail et ses conséquences sur l'entreprise polluante.

    Jeanne marie WAILLY, Sophie BOUTILLIER, Camal GALLOUJ, Blandine LAPERCHE, Faridah DJELLAL, Irina PEAUCELLE
    2008
    L’objectif de cette thèse est de faire le point sur l’état de la santé au travail au début du 21ème siècle en France. Il s’agit plus précisément d’une étude sur la santé des travailleurs dans l’entreprise mais aussi des populations résidant à proximité d’installations industrielles. L’accent est mis sur la particularité de la méthodologie suivie qui combine l’apport du droit (travail, social, environnement), de l’économie, de l’histoire et de la sociologie. L’objectif de cette thèse est aussi de démontrer au travers du temps et de l’espace l’affrontement entre santé au travail et environnement. Elle démontre aussi comment le droit et d’autres éléments ont permis un rapprochement puis une collaboration. Mais le décalage est manifeste entre le droit social, qui commence à apparaître à la fin du 19ème siècle (avec la révolution industrielle) et le droit de l’environnement qui apparaît près d’un siècle plus tard (en 1970, avec la crise économique). Cette thèse est illustrée sur le plan empirique par une étude réalisée au cœur de la région dunkerquoise et dont l’objet a été d’identifier les conséquences de la pollution de l’air sur les individus. Le questionnement était dirigé afin de retranscrire aux mieux les sensations ou les troubles éprouvés par les populations interrogées et de les traduire ensuite lors de l’analyse en effets sur la santé mais aussi en effets sociaux et économiques.
  • Théorie de l'entrepreneur et faits économiques : élements d'analyse tirés des expériences japonaise, chinoise, indienne et coréenne.

    Jerome ZIEL, Sophie BOUTILLIER, Guy CAIRE, Pierre SALAMA
    1999
    Est-ce le mouvement économique qui crée l'entrepreneur ? Ou est-ce au contraire l'entrepreneur qui crée le mouvement économique ? Nous proposons de montrer que l'entrepreneur, agent central du capitalisme, est une construction sociale, que légitime la théorie libérale européenne. En Europe, les économistes libéraux soutiennent que l'entrepreneur est le moteur de l'économie. Cette conception est critiquée par leurs adversaires, qui mettent en avant la logique capitaliste, caractérisée par la domination des grandes firmes qui entraine la disparition de l'entrepreneur remplacé par une équipe de spécialistes (les managers) et financés par les "propriétaires absentéistes" (les actionnaires). Ce phénomène illustre le processus de socialisation de la production capitaliste (intensification des échanges marchands, généralisation de la division du travail, socialisation du capital des entreprises). L'entrepreneur héroïque, des premiers temps de l'industrialisation, fait alors place à l'entrepreneur socialisé, dont la liberté d'action se limite à se faire une place en fonction de stratégies des grandes firmes et des mesures de politique publique, destinées suivant les époques à stimuler ou les grandes firmes ou les petites entreprises. En Asie, la critique de l'entrepreneur s'enracine dans la tradition confucéenne : le marchand est critiqué pour son individualisme. La mauvaise image de l'entrepreneur se maintient pendant l'industrialisation, largement impulsée par l'État. Il n'y a guère que depuis les années 1980 que l'entrepreneur s'est imposé dans la pensée asiatique, sous la critique des économistes libéraux qui dénoncent l'emprise de l'État au profit de l'initiative individuelle. Dans les faits, les grands groupes et l'État, et non l'entrepreneur, sont à l'origine de la prospérité économique asiatique. Cependant, malgré la structure concentrée des économies asiatiques, l'entrepreneur émerge, sous une forme socialisée, crise oblige.
  • Petites entreprises industrielles, entrepreneurs et innovation en Grèce : le cas de l'industrie micro-électronique-informatique.

    Sophie BOUTILLIER, Francois GRESLE
    1994
    L'entrepreneur est une figure incontournable de l'analyse économique et sociologique. Pour J. Schumpeter, l'entrepreneur est le moteur du développement économique grâce à sa capacité à innover : l'entrepreneur est l'intermédiaire entre l'ouvrier et le savant. Cette réflexion structure notre réflexion. Dans le cas particulier de la société grecque, les entreprises industrielles employant moins de 50 salaries représentent la quasi-totalité des entreprises du pays. L'entrepreneur industriel semble donc y occuper une place importante. Le poids numérique important de la petite industrie en Grèce ne peut se justifier par la personnalité de l'entrepreneur grec. Dans un contexte économique de crise et de chômage, la création d'une entreprise est un acte de survie. Ce qui est d'autant plus vrai dans une société ou l'entrepreneur est un fonctionnaire qui n'a pas réussi. L'innovation, toutefois n'est pas exclue car elle constitue l'arme permettant à l'entrepreneur de faire face à la concurrence.
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