Des accords de partage de l'eau durables à des débits réduits.

Auteurs
Date de publication
2013
Type de publication
Article de journal
Résumé En signant un accord de partage de l'eau (WSA), les pays acceptent de libérer une certaine quantité d'eau de rivière en échange d'une compensation négociée. Nous examinons la vulnérabilité de ces accords à la réduction des débits d'eau. Parmi tous les accords de partage de l'eau qui sont acceptables pour les pays riverains, nous trouvons celui qui s'applique de lui-même dans les scénarios de sécheresse les plus graves. L'ASM dit "incrémental amont" attribue à chaque pays sa contribution marginale à ses adeptes dans le fleuve. Son image miroir, l'ASM incrémental en aval, n'est pas viable en cas de réduction du débit à la source. Les problèmes d'auto-application peuvent être résolus en fixant les libérations d'eau et les compensations en fonction du débit. Nous appliquons notre analyse au bassin de la mer d'Aral. Nous calculons les compensations incrémentales en amont pour l'accord de Bishkek et évaluons sa vulnérabilité en fonction des débits historiques.
Éditeur
Elsevier BV
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