Le concept de la blockchain est maintenant connu : nouvelle architecture de bases de données décentralisées, nouvelle approche d’un tiers de confiance « éclaté », nouvelle répartition du travail se passant d’intermédiaires et de fonctions centrales…

Le spaghetti network -hier symbole du désordre- devient enfin un modèle en termes de sécurité et de coûts. Cette nouvelle technologie défie la finance dans sa vocation première d’intermédier. A l’évidence si la révolution est en marche, son point d’aboutissement reste inconnu car de nombreuses hypothèses juridico-techniques sont à lever pour en évaluer l’ampleur. 2016 n’étant plus dans la théorie, mais bien dans la pratique, il est impératif de mieux comprendre et de lever la confusion. La mise en œuvre de la blockchain dans la finance se fait par tâtonnements, sur des cas d’usage et des cas réels à partir desquels de nouvelles logiques d’activité « transactions driven » sont testées. On y reconstitue des soldes/positions à la demande et les nouveaux business models deviennent plus informatiques « intensive » avec moins/absence de back office. Ces use cases permettront de mieux comprendre le lien entre cette technologie de base de données sécurisée et une dématérialisation totale du « travail » anciennement associé…(back offices centraux). Ces premiers cas concrets mettent également au jour la nature des limites tant quantitatives et fonctionnelles qui existent aujourd’hui, que juridiques et réglementaires (propriété des données, comptabilité classique en partie double comme socle du droit de propriété des titres, surveillance des marchés…). Lire la suite. 

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