COUPPEY SOUBEYRAN Jezabel

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Thématiques des productions
Affiliations
  • 2012 - 2020
    Centre d'économie de la Sorbonne
  • 2012 - 2020
    Ecole d'économie de Paris
  • 2014 - 2017
    Centre d’études prospectives et d’informations internationales
  • 1997 - 1998
    Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2014
  • 2013
  • 1998
  • La monnaie et les économistes : je t’aime moi non plus !

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Jean francois PONSOT
    The Conversation | 2020
    Monnaie libre, monnaie pleine, cryptomonnaie, monnaie hélicoptère, drone monétaire, monnaie moderne, monnaie positive, monnaie écologique, etc. de la monnaie comme s’il en pleuvait ces derniers temps dans les travaux des économistes. Ça n’a pas été toujours le cas, car, entre les économistes et la monnaie, c’est plutôt : "je t’aime, moi non plus".
  • L’Économie en BD.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Auriane BUI
    2020
    Zoé vit avec sa maman qui est au chômage. Cette collégienne de 12 ans maligne et volontaire voudrait l’aider à retrouver du travail. Mais comment s’y prendre ? C’est le point de départ qui va mener Zoé à se poser les bonnes questions, grâce notamment à madame Robinson, sa voisine prof d’économie à la retraite, et à ses copains, sur tous les thèmes qui régissent le monde économique d’aujourd’hui : Travail – Chômage – Mondialisation – Banque – Progrès technique – Inégalités – Parité – Retraites – Revenu de base – Écologie – Monnaie – Finance – Europe – Brexit. Un récit vivant pour permettre aux enfants (10-15 ans) d’aborder avec clarté les grands sujets de l’économie.
  • 5. La monnaie est-elle devenue sa propre fin ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Regards croisés sur l'économie | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • L’économie mondiale 2020.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Isabelle BENSIDOUN
    2019
    Chaque année, le CEPII publie dans la collection « Repères » des analyses inédites des grandes questions économiques mondiales. L’économie mondiale ralentit à l’ombre de tensions commerciales et géopolitiques aiguës alors que la coordination internationale est en lambeaux. Au-delà du protectionnisme de Donald Trump, c’est à une crise commerciale systémique que l’on assiste. La défiance envers les accords commerciaux grandit : mais comment les évalue-t-on ? Ce contexte est particulièrement défavorable à une coopération internationale pour sauver le climat. Pourtant, l’urgence est là. Agira-t-on avant qu’il ne soit trop tard ? Dix ans après la crise financière de 2007-2008, les fragilités financières perdurent : quels en sont les ressorts et peut-on y parer ? Les politiques monétaires restent très accommodantes. Les banques centrales parviendront-elles un jour à les normaliser ? Comment réinventer alors leurs objectifs et leurs instruments ? Un dernier chapitre traite cette année de la Turquie, de la tourmente économique et politique dans laquelle elle plonge. Les compléments statistiques situent les données récentes dans une perspective longue.
  • Vers un nouveau genre de finance ?

    Antoine REBERIOUX, Gunther CAPELLE BLANCARD, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Revue de la régulation | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Essais sur la finance et la banque des PME.

    Theo NICOLAS, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Olena HAVRYLCHYK, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Jerome COFFINET, Laurent CLERC, Jean charles ROCHET, Amine TARAZI
    2018
    Dans un environnement économique encore fragilisé par la Grande Récession, les PME apparaissent comme un moteur essentiel de l’activité et de l’emploi. Dans cette thèse, j’examine les déterminants et les conséquences des contraintes financières des PME afin d’identifier les formes de financement bancaire les mieux adaptées à leurs situations. Le premier chapitre analyse les effets des modèles d’activité bancaire sur le financement des PME et montre que les banques de trading augmentent les contraintes de crédit de court terme ainsi que les coûts de financement. Surtout, l’externalité négative du trading sur la disponibilité du crédit de court terme est encore plus forte pour les banques fortement capitalisées et dépendantes des produits dérivés. Le deuxième chapitre porte sur l’effet bénéfique de la relation bancaire pour les PME. Nous montrons que les prêteurs relationnels pratiquent des taux plus élevés en période de croissance et des taux plus bas en période de crise. Cependant, en incluant les entreprises monobancaires dans notre analyse, nous constatons que ce mécanisme assurantiel dépend de la capacité des entreprises à diversifier leurs emprunts auprès de plusieurs banques. Enfin, le troisième chapitre se focalise sur les effets réels des contraintes financières. Mes résultats mettent en lumière l’importance capitale du financement de court terme pour l’investissement des PME à travers le canal du besoin en fonds de roulement. Les entreprises qui ont des opportunités d’investissement ne peuvent pas les saisir car les contraintes de crédit de trésorerie les obligent à allouer davantage de cash-flow au financement du besoin en fonds de roulement.
  • Essais sur les politiques monétaires non conventionnelles.

    Benoit NGUYEN, Hubert KEMPF, Jean bernard CHATELAIN, Hubert KEMPF, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Florian HEIDER, Antoine MARTIN, Vincent BIGNON, Denis GROMB, Rene GARCIA
    2018
    Les trois chapitres de cette thèse ont pour objectif de contribuer à une meilleure compréhension de la manière dont les politiques non-conventionnelles affectent les prix d’actifs. Ils revisitent également de manière empirique la question de l’impact de l’offre sur les prix d’actifs, et plus généralement des limites imposées à l’arbitrage, des frictions dans la réallocation des portefeuilles. Chaque chapitre présente de nouvelles données permettant de quantifier les mécanismes à l’œuvre dans le cas du programme d’achat d’actifs de l’Eurosystème (APP). Le chapitre 1 propose un modèle de portefeuille simple permettant de penser les mesures non conventionnelles dans un cadre cohérent. Les exercices empiriques confirment l’existence de plusieurs canaux de transmission des prix et évaluent l’impact de l’APP. Le chapitre 2 jette un nouvel éclairage sur le canal du rééquilibrage de portefeuille. Les fortes frictions liées à la réallocation, la forte demande d’“habitat préféré” et le faible niveau de substituabilité entre actifs permettent d’avoir un impact sur les prix, tout en limitant possiblement les retombées sur l’économie. Le chapitre 3 suggère que l’effet des achats de titres passe également si ce n’est en premier lieu par l’augmentation du coût d’emprunt de ces titres, ce qui a des répercussions sur la dispersion des taux du marché monétaire à court terme et pourrait rendre difficile à l’avenir la transmission de la politique monétaire conventionnelle si les taux autrefois considérés comme sans risque et contrôlables par la banque centrale ne pouvaient pas être contrôlés aussi précisément qu’auparavant.
  • Dix ans après la crise financière, comment enseigne-t-on la finance ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Laurence SCIALOM, Stephanie SERVE, Yamina TADJEDDINE
    Notes & Etudes | 2018
    L'enseignement de la finance semble avoir été peu influencé par la grande crise fi-nancière des années 2007-2008. C'est le résultat de l'enquête par questionnaire me-née par l'Institut Veblen et quatre enseignantes en finance au cours de l'année 2018. Seulement 25% des enseignants interrogés estiment que l'enseignement a changé si-gnificativement depuis la crise. Cette inertie s'explique en partie par la domination de quelques manuels « de référence » qui se concentrent largement sur les aspects mathématiques et techniques des métiers de la finance, et négligent le plus souvent la question de l'impact de la finance sur la société. Les manuels le plus cités ne s'inté-ressent pas réellement à l'impact macroéconomique de la finance, alors que cet impact constitue la donnée majeure des transformations économiques en oeuvre depuis les années 1980. Cette note analyse les résultats du questionnaire réalisé entre en mai et juin 2018, et les auteures proposent plusieurs pistes pour réformer l'enseignement. L'ensemble des données qui en sont issues est accessible sur le site de l'Institut Veblen.
  • « 10 ans après la crise financière, comment enseigne-t-on la finance ? ».

    Laurence SCIALOM, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Stephanie SERVE, Yamina TADJEDDINE
    2018
    L’enseignement de la finance semble avoir été peu influencé par la grande crise financière des années 2007-2008. C’est le résultat de l’enquête par questionnaire menée par l’Institut Veblen au cours de l’année 2018. Seulement 25% des enseignants interrogés estiment que l’enseignement a changé significativement depuis la crise. Cette inertie s’explique en partie par la domination de quelques manuels « de référence » qui se concentrent largement sur les aspects mathématiques et techniques des métiers de la finance, et négligent souvent la question de l’impact de la finance sur la société. Les manuels les plus cités ne s’intéressent pas réellement à l’impact macroéconomique de la finance, alors que cet impact constitue la donnée majeure des transformations économiques en œuvre depuis les années 1980. Cette note analyse les résultats du questionnaire réalisé entre en mai et juin 2018, et les auteures proposent plusieurs pistes pour réformer l’enseignement. L’ensemble des données qui en sont issues est accessible sur le site de l’Institut Veblen.
  • Parlons banque en 30 questions.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Christophe NIJDAM
    2018
    A la suite de la crise de 2007-2008, le secteur bancaire et financier a été pointé du doigt. Des réformes ont été entreprises pour renforcer les règles et la surveillance des banques. Beaucoup reste à faire alors que menace déjà un possible retour en arrière. Le débat citoyen autour de ces questions est rendu difficile par la technicité du sujet. Comment les banques fonctionnent-elles ? Comment gèrent-elles les risques ? Qui les contrôle ? Pour sortir du brouhaha médiatique, "Entrez dans l'actu" vous apporte des informations objectives et factuelles sur les banques et leur secteur.
  • Une régulation à la traîne de la finance globale.

    Gunther CAPELLE BLANCARD, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    L Economie politique | 2018
    Pas de résumé disponible.
  • L'économie mondiale 2019.

    Isabelle BENSIDOUN, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    2018
    Les deux rédactrices en chef de "L'économie mondiale 2019" nous dévoilent ici les principales évolutions conjoncturelles de l'économie mondiale, ainsi que les problèmes plus structurels qui se posent (déséquilibres de la zone euro, baisse tendancielle de l'inflation, essor des inégalités, montée en puissance des FMN…). Des changements structurels qui pourront être appréhendés correctement à condition de renouveler les cadres théoriques habituels de la macroéconomie et de construire des outils de mesure adaptés.
  • « 10 ans après…Bilan des réformes bancaires et financières depuis 2008 : avancées, limites et propositions ».

    Laurence SCIALOM, Vincent BIGNON, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    2018
    Dix ans après la faillite de Lehman Brothers et le dramatique automne 2008 où le système bancaire et financier mondial fut véritablement au bord du précipice, l’heure du bilan des réformes engagées est arrivée. C’est l’objet de ce rapport. En toile de fond de ce travail se posent des questions cruciales pour les autorités publiques : nos économies sont-elles désormais immunisées contre les risques d’une crise financière majeure? A-t-on tiré les leçons de la crise dans la structuration des instruments de régulation financière et bancaire ? Les annonces très ambitieuses des sommets du G20 de Washington DC en 2008, de Londres et Pittsburg en 2009 ont-elles été suivies d’effets ? Afin de répondre au mieux à ces interrogations, nous présentons dans une première partie un panorama des réglementations bancaires post-crise. Il s’agit de présenter en détail les réformes engagées en matière de capitalisation de banques et de ratios de liquidité bancaire (Bâle III), de dispositifs de résolution (en particulier le bail-in), mais également de réforme des infrastructures de marché (chambres de compensation). Pour chacune d’elles, nous dressons un bilan équilibré soulignant les avancées qu’elles constituent relativement à la période pré-crise mais aussi leurs insuffisances. Une critique plus globale de l’inspiration et de la philosophie de ces changements réglementaires mérite cependant d’être énoncée. Dans la seconde partie de ce rapport, nous questionnons la philosophie même des réglementations prudentielles.
  • Trois essais sur la politique monétaire.

    Guillaume anwar KHAYAT, Gilles DUFRENOT, Agnes BENASSY QUERE, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Etienne b. YEHOUE, Aurelien EYQUEM, Jean pierre ALLEGRET
    2017
    Ce travail de recherche est consacré à l’étude de la stabilité de l’équilibre de long terme lié à une trappe à liquidité, à l’étude des conséquences d’une des politiques monétaires non-conventionnelles mises en places depuis la Grande Récession et à la possibilité de l’utilisation d’une caractéristique du cadre opérationnel de la politique monétaire comme un outil supplémentaire qui permettrait les banques centrales d’appliquer une politique qui renforce l’économie réelle tout en répondant simultanément à toute préoccupation concernant une augmentation du prise de risque dans l’économie due à des taux d’intérêts bas.
  • Introduction.

    Laurent CLERC, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Revue d'économie financière | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Réduire les divergences en zone euro en régulant les cycles financiers.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Salim DEHMEJ
    La Lettre du CEPII | 2017
    La zone euro souffre de divergences économiques et financières entre ses membres. La politique monétaire ne peut pas y remédier, puisqu’elle est unique, donc calibrée et menée pour la moyenne de la zone. Elle peut même les accroître en agissant seule, sans autre levier de politique économique pour la compléter. Cela rend urgent un nouveau policy mix en zone euro, qui prenne en compte le fait que la zone est hétérogène et soumise à des cycles financiers peu synchrones. Rechercher la stabilité économique par la stabilité financière est possible dans le cadre de la politique macroprudentielle, dont l’action contracyclique peut-être calibrée par pays, tout en étant coordonnée au niveau de la zone par une institution déjà en place, le Conseil européen du risque systémique. La zone euro se trouverait ainsi dotée de l’instrument d’ajustement macro-conjoncturel qui lui fait tant défaut depuis ses débuts.
  • L'économie mondiale 2017.

    Isabelle BENSIDOUN, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    2016
    Chaque année, le CEPII publie dans la collection " Repères " des analyses inédites des grandes questions économiques mondiales. Les compléments statistiques situent les données récentes dans une perspective longue. Une référence incontournable. Chaque année, le CEPII publie dans la collection " Repères " des analyses inédites des grandes questions économiques mondiales. Cette édition 2017 met l'accent sur la montée des tensions et les défauts de coordination au sein de l'économie mondiale. Alors que les controverses autour de la mondialisation s'avivent, l'histoire nous enseigne que le phénomène n'est pas irréversible. Quelle mondialisation pour demain ? Le défaut de coordination dont pâtit le système monétaire international fera-t-il reculer la globalisation financière et resurgir les souverainetés nationales ? Des vulnérabilités persistent aussi dans le secteur bancaire. Les réformes engagées ont-elles été poussées assez loin ? Plus optimiste sur les avancées de la COP21, cette édition souligne les transformations qui pourraient advenir si le secteur financier était mis au service de la gestion du risque climatique. Mais les tensions resurgissent avec les migrations et la crise des réfugiés qui confrontent l'Union européenne à son défaut majeur de coordination. Au Brésil, des tensions internes ont plongé le pays dans une crise profonde. Des données statistiques viennent compléter cette analyse de l'économie mondiale.
  • Taux négatif : arme de poing ou signal de détresse ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Revue d'économie financière | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Pour une combinaison politique monétaire / politique macroprudentielle au service de la stabilité économique et financière de la zone euro.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Salim DEHMEJ
    Revue d'économie politique | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Stabiliser une économie instable.

    Hyman p. MINSKY, Andre ORLEAN, Henry KAUFMAN, Dimitri b. PAPADIMITRIOU, L. randall WRAY, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Andre VERKAEREN, Sebastien andre CHARLES, Aurore LALUCQ
    2016
    La 4ème de couverture indique : "Pourquoi nos économies doivent-elles faire face à des crises toujours plus fréquentes et violentes ? Pourquoi toute une série de bulles spéculatives se forment puis éclatent, avec des conséquences économiques et sociales désastreuses ? Pour Hyman Minsky, qui a étudié ces questions pendant toute sa vie, la réponse est sans détour : notre système économique est intrinsèquement instable. Sa dynamique même engendre les crises et ce sont d'ailleurs dans les périodes les plus calmes et prospères que celles-ci se préparent. À contre-courant de son époque, les années 1980, l'économiste américain a été peu entendu de son vivant. Il a fallu attendre la crise des subprimes pour que ses travaux soient repris par l'ensemble de la presse internationale. Dans ce livre incontournable, en renouant avec la grande macroéconomie et une interprétation rigoureuse de Keynes, Minsky aide à comprendre les causes de cette instabilité, mais aussi comment y remédier tout en retrouvant le plein emploi.".
  • Les banques centrales à la peine.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Problèmes économiques | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Les réformes bancaires ont-elles été poussées trop loin ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    L'économie mondiale 2017 | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Pour une combinaison politique monétaire / politique macroprudentielle au service de la stabilité économique et financière de la zone euro.

    Salim DEHMEJ, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Revue d'Economie Politique | 2016
    L’expérience de la zone euro au cours de la dernière décennie a montré qu’une politique monétaire unique ne favorise pas nécessairement la convergence des économies appartenant à une union monétaire. L’objectif de cet article est triple. Tout d’abord, nous cherchons à illustrer les divergences entre les pays de la zone à partir de l’écart entre le taux directeur de la politique monétaire unique et celui auquel aurait conduit l’application d’une règle de Taylor standard, que nous calculons à plusieurs niveaux : la zone, le « coeur », la « périphérie », et certains pays pris individuellement, représentatifs du coeur ou de la périphérie de la zone. Ensuite, nous montrons qu’une politique monétaire qui, pour corriger les déséquilibres financiers en résultant, utiliserait une règle de Taylor élargie à la stabilité financière risquerait de renforcer davantage les divergences. Enfin, nous en déduisons que la zone euro gagnerait à adopter un nouveau policymix qui consisterait à combiner la politique monétaire à des mesures macroprudentielles ajustées à la situation économique et financière de chaque État membre. Cette combinaison favoriserait la stabilité financière mais aussi la stabilité macro-conjoncturelle.
  • Taux négatif : arme de poing ou signal de détresse ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Revue d'économie financière | 2016
    Les taux nominaux négatifs, dont bénéficient actuellement certains emprunteurs souverains, ainsi que les banques qui se refinancent auprès de banques centrales ayant opté pour des taux directeurs négatifs, ont fait voler en éclat l’hypothèse d’un plancher zéro. Bien qu’ils étendent a priori les marges de manœuvre de la politique monétaire, les taux négatifs sont-ils une conséquence voulue et maîtrisée de la politique monétaire de gestion de crise ou, bien davantage, un symptôme de la déflation, un indicateur de gravité de la situation macroéconomique, voire le signe avant-coureur d’un phénomène de stagnation séculaire ? La reprise ne dépend-elle pas moins du taux nominal monétaire que du taux de rentabilité des investissements productifs, c’est-à-dire du taux naturel au sens de Wicksell ? Ce retour à l’approche Wicksellienne du taux d’intérêt naturel conduit à se demander si pour écarter le risque déflationniste qui persiste et repousser la perspective d’une stagnation séculaire, c’est le taux monétaire qu’il faut pousser toujours plus bas ou le taux naturel qu’il faut essayer de relever. Auquel cas, comment relever le taux naturel ?.
  • Essais sur la banque centrale et la politique macroprudentielle.

    Salim DEHMEJ, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Christian de BOISSIEU, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Christian de BOISSIEU, Jean bernard CHATELAIN, Olivier de BANDT, Leonardo GAMBACORTA, Laurence SCIALOM, Gregory LEVIEUGE
    2015
    L'objectif de cette thèse, composée de quatre articles empiriques et théoriques, est d'étudier l'implication des banques centrales dans la stabilité financière - définie comme un état stable et élevé de confiance dans la capacité du système financier à faciliter l'allocation des ressources économiques, gérer les risques, et à résister aux chocs - et de discuter de leurs nouvelles responsabilités macroprudentielles. La crise financière mondiale a fait évoluer la régulation et la supervision financières d'une perspective microprudentielle basée sur la résilience des institutions prises individuellement à une perspective macroprudentielle qui prend en compte les interactions entre les institutions financières, les externalités liées à leurs décisions, et aussi les effets du cycle financier sur le cycle économique et sur la stabilité financière. Cette thèse analyse le policy-mix des politiques monétaire - ciblant le cycle économique –et macroprudentielle -ciblant le cycle financier -ayant toutes les deux un impact sur la stabilité des prix et les conditions financières. En effet, ces politiques fonctionnent grâce à des canaux de transmission dont certains sont communs. Une attention particulière est accordée, au-delà la politique macroprudentielle dans union monétaire hétérogène comme la zone euro - où les pays connaissent des conditions macroéconomiques différenciées - en termes de stabilisation financière et macroéconomique. Partant du constat qu'un taux d'intérêt unique est adapté à la moyenne de la zone mais pas aux besoins de chacun des pays, la politique macroprudentielle pourrait compenser l'absence de politique monétaire autonome dans chaque pays. Cela améliorerait le degré d'optimalité de la zone monétaire.
  • Qu'est-ce que la monnaie et qui la crée ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Alternatives Economiques | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Essais sur la stabilité du secteur bancaire : analyses sur données comptables des banques américaines.

    Xi YANG, Laurence SCIALOM, Jean paul POLLIN, Laurence SCIALOM, Jean paul POLLIN, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Olena HAVRYLCHYK, Laurent CLERC, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Olena HAVRYLCHYK
    2015
    La crise financière globale de 2007-2009 a révélé la fragilité des banques modernes ainsi que les carences de la réglementation. A la suite de la crise, le secteur bancaire a connu des réformes réglementaires importantes : renforcement de la régulation micro-prudentielle, mise en place de dispositifs ayant des objectifs macroprudentiels et diverses initiatives de séparation des activités. Dans ce contexte, cette thèse, en s’appuyant sur les données américaines, essaie dans un premier temps d’expliquer la vulnérabilité des banques par leurs caractéristiques financières et leur structure organisationnelle. Ensuite, la thèse propose une analyse de l’efficacité de certains nouveaux outils dans le cadre des réformes. Nous trouvons les résultats suivants : 1) Le risque de faillite est plus élevé chez les banques qui adoptent des stratégies agressives pendant la période d’euphorie économique et qui se financent par des fonds instables. Une maison-mère saine (bien capitalisée et rentable) est une source de force des filiales bancaires. Cela vient étayer l’introduction du coussin de capital contracyclique et du ratio de liquidité dans Bâle III. 2) La diversification des activités contribue à la baisse du risque bancaire alors que les engagements croissants en activités non-traditionnelles volatiles semble rendre les banques plus vulnérables. Ceci conforte la nécessité d'une réforme structurelle pour certaines banques universelles. 3) Les ratios de levier prévoient mieux la probabilité de faillite des grandes banques que le ratio pondéré par les risques, tandis que les deux types de ratios sont aussi efficaces pour prévoir la faillite des petites banques. Ce résultat souligne l’importance du renforcement de la réglementation des banques systémiques et implique sa mise en œuvre.
  • Toutes ces questions.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Idées économiques et sociales | 2015
    En économie, il n’y a rien de plus essentiel, mais aussi de plus mystérieux, que la monnaie. Comment peut-on la définir ? Quelles sont ses différentes formes ? Qui la crée ? Qui la contrôle ? Cet article permet de répondre aux questions que vous vous posez sur la monnaie, tout en étudiant les transformations en cours depuis la crise des subprimes. Pourquoi l’injection massive de liquidités par les banques centrales, depuis 2008, ne se traduit pas par un octroi de crédits supplémentaires par les banques ni par une poussée inflationniste ?.
  • La coordination entre politique monétaire et politique macroprudentielle.

    Emmanuel CARRE, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Salim DEHMEJ
    Revue économique | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Monnaie, banque, finance. 3e éd.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Guillaume ARNOULD
    2015
    Pas de résumé disponible.
  • Blablabanque. Le discours de l'inaction.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    2015
    Pas de résumé disponible.
  • La séparation des activités bancaires : a-t-on bien tiré les leçons du passé ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Crises et régulation bancaires. Les cheminements de l'instabilité et de la stabilité bancaires (en hommage à Dominique Lacoue-Labarthe) | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Comment (dys)fonctionnent les banques ?

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Problèmes économiques | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • La coordination entre politique monétaire et politique macroprudentielle. Que disent les modèles DSGE ?

    Emmanuel CARRE, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Salim DEHMEJ
    Revue Economique | 2015
    Nous réalisons une méta-analyse de vingt-trois modèles DSGE qui réunissent toutes les caractéristiques permettant d’observer les modalités de la combinaison entre la politique monétaire et la politique macroprudentielle (PMP). Ces modèles ont en commun d’incorporer des instruments macroprudentiels visant à limiter les fluctuations financières et de représenter la politique monétaire au moyen d’une règle de Taylor qui peut faire répondre le taux d’intérêt à la fois à l’écart d’inflation, à l’écart de production et à un écart financier. En considérant la valeur du coefficient de réponse à l’écart financier dans la règle de Taylor comme la charnière du policy-mix entre politique monétaire et pmp, nous en faisons notre variable dépendante. La relation que nous testons fait principalement dépendre cette variable du type d’instruments macroprudentiels choisis, de l’importance relative donnée à l’inflation et à l’output gap dans la règle de Taylor, et des modalités d’obtention (par optimisation/estimation ou par calibration) des coefficients de réponse dans la règle de Taylor. Nos résultats suggèrent que le type d’instruments macroprudentiels choisis influence de manière significative le degré d’articulation entre politique monétaire et PMP et que plus la règle de politique monétaire accorde de l’importance à l’inflation et moins cette articulation est forte.
  • La Banque centrale européenne, plus de pouvoirs, plus de devoirs.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Questions internationales | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Monnaie, banques, finance.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Guillaume ARNOULD
    2015
    Pas de résumé disponible.
  • Les banques ne paient pas assez d'impôts.

    Gunther CAPELLE BLANCARD, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Alternatives Economiques | 2014
    Pas de résumé disponible.
  • La politique monétaire dans les modèles économétriques : primat de la théorie sur l'empirie.

    Abdelali ATTIOUI, Redouane TAOUIL, Gueliffo HOUNTONDJI, Jean pierre ALLEGRET, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    2014
    En s'appuyant sur les limites de l'économétrie mises en évidence dans les débats sur la politique monétaire depuis les années 1960, cette thèse s'attache à montrer le primat de la théorie sur l'empirie et que l'économétrie ne peut pas être décisive dans la remise en cause de la théorie. Nous adoptons une démarche basée sur des arguments épistémologiques pour montrer que ces débat dépassent le clivage théorie/empirie et intègrent une différence de vision quant à l'utilité d'un modèle empirique. Le programme de recherche de la Commission Cowles s'est constitué autour d'une articulation particulière de trois éléments fondamentaux. Un référentiel théorique issu de la Théorie Générale de Keynes, un modèle formel s'appuyant sur le relatif consensus autour du schéma IS-LM et des techniques économétriques pour estimer les paramètres de ce modèle. C'est la nature et le degré d'interdépendance entre les trois éléments ci-dessus qui sont remis en cause par les monétaristes et les tenants de la modélisation VAR. Alors que les keynésiens établissent une nette distinction entre le modèle théorique et le modèle estimé, pour les monétaristes cette distinction n'est pas claire et ne leur semble pas pertinente. Sims (1980) reproche aux modèles structurels de la Commission Cowles de comporter trop d'hypothèses théoriques non testées empiriquement. Il propose de soumettre les hypothèses d'exogénéité à des tests économétriques directs et précis. Toutefois, l'indétermination empirique de la causalité dans un modèle VAR, liée au problème de l'équivalence observationnelle (Basmann, 1965), impose l'adoption d'un schéma d'identification sur la base d'a priori théorique pour identifier les chocs de politique monétaire. Ceci constitue un cas extrême du problème de la sous-détermination de la théorie par les données soulevé par la thèse de Duhem-Quine (Duhem, 1906, Quine, 1951). De plus, Hoover (2009) note que l'analyse des réponses impulsionnelles dans un VAR fournit un bon exemple de ce que Cartwright (2007) qualifie de ‘'contrefactuel imposteur''. Le développement des Modèles à Correction d'Erreurs et des modèles VAR cointégrés a permis de renouveler l'analyse des propositions monétaristes. Toutefois, les liens entre les propositions de cointégration, les notions d'équilibre de long terme et de déséquilibre de court terme sont rarement interprétés dans le cadre d'un modèle théorique rigoureux et complètement spécifié. Pour Faust et Leeper (1994), l'identification d'un modèle par l'imposition de contraintes peut s'avérer non fructueuse lorsque la théorie économique n'établit pas de distinction claire entre les dynamiques de court et de long terme. Faust et Whiteman (1997) relèvent l'absence d'un critère d'arbitrage dans ces démarches en présence de conflit entre le principe théorique et l'ajustement aux données, sinon une subordination de la théorie à l'économétrie. Parallèlement au problème de l'identification, la critique de Lucas (1976) constitue la seconde critique fondamentale à laquelle se heurtent les modèles économétriques. Lucas (1980, 1986) adopte une nouvelle posture épistémologique en considérant le modèle théorique comme une ‘'fiction'' et non plus comme un ensemble de propositions sur le comportement d'une économie réelle. Il défend l'idée d'une explication du cycle en termes de discipline de l'équilibre (Lucas, 1977). Les modèles DSGE, qui constituant les modèles de base de la Nouvelle Synthèse, sont fortement influencés par la méthodologie lucasienne et s'inscrivent dans la continuité des modèles RBC (Taouil, 2011). Benati et Surico (2009) ont établi la supériorité des DSGE par rapport aux VAR structurels (SVAR). Cet échec des SVAR est la conséquence directe des restrictions inter-équations imposées par l'hypothèse des anticipations rationnelles, tel que cela a été initialement soulevé par la critique de Sargent (1979).
  • Comment bien choisir sa banque ?

    Gunther CAPELLE BLANCARD, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Jean MERCKAERT
    Revue Projet | 2014
    Pas de résumé disponible.
  • L'économie pour toutes. Un livre pour les femmes, que les hommes feraient bien de lire aussi.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Marianne RUBINSTEIN
    2014
    Pas de résumé disponible.
  • Comment bien choisir sa banque ?

    Gunther CAPELLE BLANCARD, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Jean MERCKAERT
    Projet | 2014
    Pas de résumé disponible.
  • Le financement de l'économie dans le nouveau contexte réglementaire.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Olivier GARNIER, Jean paul POLLIN, Christian SAINT ETIENNE
    2013
    En réponse à la crise, des réformes financières sont en cours qui visent à soumettre les banques à des exigences prudentielles renforcées. Conformément aux accords de Bâle III, les banques devront détenir des fonds propres en plus grande quantité et de meilleure qualité, devront aussi veiller à la stabilité de leurs ressources et à la liquidité de leurs actifs. Autres acteurs importants du financement de l'économie, les assurances devront elles aussi respecter des exigences accrues de fonds propres (Solvabiltié II). Indispensables pour renforcer la stabilité des systèmes financiers, ces réformes exigent des efforts d'ajustement de la part des établissements financiers et auront vraisemblablement un impact sur le financement des économies. Le rendront-elles plus difficile, plus rare, plus coûteux ? Doit-on craindre une désintermédiation des financements et un report des risques que les banques et les assurances ne pourront plus prendre vers des épargnants beaucoup moins enclins en Europe qu'aux États-Unis à réaliser des placements longs et risqués ? Ou bien encore un report des risques vers d'autres acteurs moins surveillés, auquel cas le "shadow banking" que le régulateur cherche à réduire s'en trouverait au contraire accru ? C'est à ces questions que ce rapport entend répondre. [4e de couv.].
  • Les systèmes financiers : mutations, crises et régulation.

    Christian de BOISSIEU, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    2013
    La 4e de couverture indique : "À l’heure où les banques et la finance font l’objet d’une profonde remise en question, il est utile de rappeler quel est (ou devrait être) le rôle des banques et des marchés financiers. La finance est-elle toujours au service de l’économie réelle ? Certaines innovations financières se sont révélées dangereuses pour la stabilité financière. Quelles sont les sources de l’instabilité financière ? Les bulles sont-elles inévitables ? Pourquoi les banques ont-elles pris des risques excessifs ? Comment les banques centrales ont-elles agi pendant la crise depuis 2007-2008 ? Les leçons de la crise financière, devenue une crise économique mondiale, ont-elles été tirées ? Les réformes en cours parviendront-elles à améliorer la supervision des banques et l’organisation des marchés, ainsi qu’à contenir le shadow banking ? Sur tous ces sujets, et pas mal d’autres, ce livre propose les clefs pour passer de la théorie aux applications les plus actuelles. Il est avant tout destiné aux étudiants de Master en économie ou en gestion et à ceux des grandes écoles, mais il intéresse aussi un public beaucoup plus large soucieux de mieux interpréter les évolutions monétaires, bancaires et financières.".
  • De Bâle 2 à Bâle 3 : la nouvelle réglementation bancaire internationale.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Les Cahiers français : documents d'actualité | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • La banque centrale après la crise : Brave New World ou Retour vers le futur ? Réponses à un questionnaire envoyé aux banquiers centraux et aux économistes.

    Emmanuel CARRE, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Dominique PLIHON, Marc POURROY
    2013
    Cet article fournit un aperçu de l'état actuel de la doctrine des banques centrales après la crise, en utilisant les données d'un questionnaire produit en 2011 et envoyé aux banquiers centraux (de 13 pays plus la zone euro) et aux économistes (31) pour un rapport du Conseil d'analyse économique français au Premier ministre. Les résultats de notre analyse des réponses au questionnaire sont de deux ordres. Premièrement, nous montrons que la crise financière a conduit à certaines modifications de la banque centrale d'avant la crise. Nous soulignons que les répondants au questionnaire sont d'accord sur le principe général d'une vision "plus large" de la banque centrale étendue à la stabilité financière. Néanmoins, les banquiers centraux et les économistes divergent ou donnent des réponses incohérentes sur les détails de la mise en œuvre de cette vision "élargie". Par conséquent, le diable se cache une fois de plus dans les détails. Nous soulignons qu'en raison du conservatisme des banquiers centraux, un retour au statu quo ne peut être exclu.
  • Les réformes de la régulation bancaire.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Idées économiques et sociales | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Faut-il séparer les banques ?

    Laurence SCIALOM, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Christian CHAVAGNEUX
    L Economie politique | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Faut il séparer les banques ?

    Laurence SCIALOM, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Economie Politique | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Trois essais empiriques sur les canaux de transmission entre secteurs réel et financier en Corée du Sud.

    Hyung geun PARK, Laurence SCIALOM, Michel BOUTILLIER, Laurence SCIALOM, Michel BOUTILLIER, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Daniel GOYAU, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Daniel GOYAU
    2013
    Cette thèse se compose de trois articles qui s’insèrent dans une même problématique sur les interrelations entre les secteurs financier et réel en Corée du sud. Notre analyse empirique a vérifié le bon fonctionnement de certains composants du mécanisme de transmission entre les secteurs financier et réel. Tout d'abord, nous avons constaté que le canal du crédit bancaire a fonctionné comme l'un des canaux de transmission de la politique monétaire (Chapitre1). Ensuite, nous avons vérifié empiriquement que la capitalisation des banques est un facteur important dans la transmission des chocs de politique monétaire (Chapitre2). Enfin, notre analyse sur l’interaction entre le prix de l’immobilier et le crédit bancaire a montré qu’il existait une relation à long terme entre les prix de l'immobilier et les prêts bancaires (Chapitre 3). Comme vérifié empiriquement dans notre analyse, le secteur financier et le secteur réel sont étroitement liés par le choc financier ou réel. Les résultats mettent en valeur les points suivants vis-à-vis des politiques monétaires et de supervision. Premièrement, il est important que la politique monétaire prenne en compte la régulation du capital et son effet sur l’économie. Deuxièmement, en prenant en compte le fait que le prêt hypothécaire est très étroitement lié à la conjoncture économique en Corée, l’instrument de la politique macroprudentielle pour réduire la procyclicité est nécessaire. La banque centrale et l’autorité prudentielle peuvent collaborer à développer ces instruments.
  • Central banking after the crisis : Brave New World ou Back to the Future.

    Emmanuel CARRE, Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Dominique PLIHON, Marc POURROY
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • Faut-il séparer les banques ? Interview-Débat avec Laurence Scialom.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Laurence SCIALOM
    L'Économie politique | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Les prélèvements obligatoires et les entreprises du secteur financier - rapports particuliers parties 3 et 4.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Gunther CAPELLE BLANCARD
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • Les réformes de la régulation bancaire.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN
    Idées économiques et sociales | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • The Impact of Financial Development on the Relationship between Trade Credit, Bank Credit, and Firm Characteristics : Une étude sur les données au niveau des entreprises de six pays de la région MENA.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Jerome HERICOURT
    Review of Middle East Economics and Finance | 2013
    En utilisant une base de données de plus de 1 300 entreprises de six pays de la région MENA, nous étudions l'impact du développement financier sur la relation entre le crédit commercial, d'une part, et l'accès au crédit bancaire et les caractéristiques de l'entreprise, en particulier la santé financière, d'autre part. L'utilisation du crédit commercial augmente avec la difficulté d'accès au crédit bancaire, et les indicateurs de la qualité de la structure financière de l'entreprise influencent négativement l'utilisation du crédit commercial. Des investigations supplémentaires tendent à suggérer qu'un développement financier accru réduit significativement la relation de substitution entre le crédit commercial et le crédit bancaire, et plus généralement diminue l'influence de la plupart des déterminants au niveau de l'entreprise pour l'utilisation du crédit commercial. Ces résultats s'expliquent plausiblement par une histoire de demande : lorsque l'accès au crédit bancaire devient de plus en plus difficile, ou lorsque la santé financière se détériore, la demande de crédit commercial augmente. De même, lorsque le développement financier augmente, les entreprises ont un meilleur accès au crédit bancaire, et l'impact de cette variable (ou des indicateurs de santé financière) sur la demande de crédit commercial devient plus faible ou non significatif.
  • Les Systèmes financiers. Mutations, Crises et Régulation.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Christian DE BOISSIEU
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • Le financement de l'économie dans le nouveau contexte réglementaire.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Olivier GARNIER, Jean paul POLLIN
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • L'intermédiation bancaire et l'efficacité de la réglementation prudentielle : une approche microéconomique.

    Jezabel COUPPEY SOUBEYRAN, Christian de BOISSIEU
    1998
    Dans une période de fragilité financière que d'aucuns comparent à celle des années trente, cette thèse, consacrée à l'efficacité de la règlementation prudentielle des banques, vise à éclairer l'opportunité, les enjeux et l'orientation possible d'une reforme de cette dernière. Notre réflexion, bien que concentrée sur la réglementation, s'adosse nécessairement à celle menée sur l'intermédiation. Nous retenons, de plus, une approche microéconomique qui emprunte essentiellement à l'économie industrielle et à l'économie de l'information. Cette thèse est organisée en quatre parties. La première partie s'appuie sur une revue de la littérature consacrée à l'économie bancaire et propose de renouveler l'étude des raisons d'être de la réglementation. Nous insistons sur la complémentarité fondamentale des différents modes de régulation de l'activité bancaire (contrôle interne, discipline de marché, réglementation). Nous soulignons de plus l'acuité des problèmes d'agence, tant au niveau de l'analyse théorique de la banque et de sa réglementation, qu'au niveau de l'analyse des difficultés bancaires actuelles, dans la mesure où les problèmes d'inefficacité productive apparaissent mineurs dans notre application de la DEA. La deuxième partie est un état des lieux de la pratique et de la théorie de la réglementation bancaire. La troisième partie étend la réflexion à l'évolution de l'intermédiation et à ses incidences sur l'efficacité de la réglementation prudentielle : le traditionnel ancrage institutionnel de la réglementation est remis en question. L'essor de la bancassurance, que nous modélisons, fournit une bonne illustration de l'évolution institutionnelle actuelle des systèmes financiers qui défie le régulateur. La quatrième partie entend contribuer au débat sur l'opportunité d'une réforme règlementaire. Notre proposition de réforme repose sur la mise en œuvre d'une réglementation flexible dont les propriétés sont étudiées dans un modèle d'autosélection. Sous la forme d'une simple réglementation auto-déclarative, celle-ci s'intègrerait aux autres modes de régulation, dans un schéma dynamique. Au sein d'un dispositif prudentiel global, affranchi des cloisons institutionnelles, elle permettrait en outre un encadrement efficace des conglomérats financiers.
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