GLACHANT Jerome

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Affiliations
  • 2015 - 2018
    Centre d'économie de la Sorbonne
  • 1993 - 1994
    Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2014
  • 2013
  • 2012
  • 2003
  • 1994
  • Le sentiment de l'investisseur et la profitabilité de la stratégie momentum.

    Monica WIDYASSARI, Jerome GLACHANT
    2020
    Pas de résumé disponible.
  • Investissement et embauche avec coûts d’ajustement fixes et asymétriques.

    Xavier FAIRISE, Jerome GLACHANT
    Revue d'économie politique | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Investissement et embauche avec coûts d'ajustement fixes et asymétriques.

    Xavier FAIRISE, Jerome GLACHANT
    2018
    Une entreprise évoluant dans un monde déterministe et en temps continu utilise une simple technologie Cobb-Douglas à rendements décroissants et fait face à des coûts d’ajustements complexes de ses facteurs. D’une part, un coût d’embauche proportionnel s’applique au facteur travail irréversible. D’autre part, investir nécessite de s’acquitter d’un coût fixe mais proportionnel à la main d’œuvre présente dans l’entreprise. L’entreprise détermine alors sa politique d’embauche et d’investissement qui maximise la valeur actualisée de ses flux de trésorerie. La combinaison de coûts fixe et variables implique un cycle non trivial d’ajustement des facteurs au cours duquel se succèdent un épisode d’embauche continue, suivi par un gel des embauches puis par un pic simultanée d’investissement et d’embauche. L’article propose une évaluation numérique des effets de la taille du coût fixe sur le cycle de vie de l’entreprise.
  • Une approche expérimentale des anticipations extrapolatives.

    Kevin RATSIMIVEH, Jerome GLACHANT, Beatrice BOULU RESHEF
    2018
    Plusieurs études récentes ont montré que les investisseurs sur les marchés d'actifs formaient leurs anticipations en extrapolant l'évolution la plus récente du prix d'un actif. Le but de l'expérience est de confronter des individus supposés « rationnels » à des « extrapolateurs » afin de caractériser les comportements de prévision et de voir si la présence d'« extrapolateurs » affecte le comportement des personnes « rationnelles ». Pour cela nous avons simulé le prix d'un actif sur quinze périodes qui fluctue autour de sa valeur fondamentale. L'expérience est composée de cinq traitements. Afin de différencier les deux types de participants, nous faisons varier l'information dont ils disposent pour effectuer leur prévision du prix : les participants dits « extrapolateurs » n'ont accès qu'à une fenêtre de cinq périodes précédentes alors que les participants dits « rationnels » ont accès à l'historique complet jusqu'à la période de prévision. Aussi, nous posons deux modes de rémunération : l'un basé sur la précision des prévisions et l'autre basé sur l'écart par rapport à la prévision moyenne. Ainsi, un groupe de chaque type de participants aura un mode de rémunération différent . correspondant à quatre traitements. Enfin, le dernier groupe sera composé, à proportions égales, d'« extrapolateurs » et de « rationnels » et aura un objectif d'écart avec la prévision moyenne. Celui-ci nous permettra de voir si les « rationnels » corrigent leur prévision quand ils sont en présence d''« extrapolateurs ». [source : résumé].
  • Une approche expérimentale des anticipations extrapolatives.

    Kevin RATSIMIVEH, Jerome GLACHANT, Beatrice BOULU RESHEF
    2018
    Plusieurs études récentes ont montré que les investisseurs sur les marchés d'actifs formaient leurs anticipations en extrapolant l'évolution la plus récente du prix d'un actif. Le but de l'expérience est de confronter des individus supposés « rationnels » à des « extrapolateurs » afin de caractériser les comportements de prévision et de voir si la présence d'« extrapolateurs » affecte le comportement des personnes « rationnelles ». Pour cela nous avons simulé le prix d'un actif sur quinze périodes qui fluctue autour de sa valeur fondamentale. L'expérience est composée de cinq traitements. Afin de différencier les deux types de participants, nous faisons varier l'information dont ils disposent pour effectuer leur prévision du prix : les participants dits « extrapolateurs » n'ont accès qu'à une fenêtre de cinq périodes précédentes alors que les participants dits « rationnels » ont accès à l'historique complet jusqu'à la période de prévision. Aussi, nous posons deux modes de rémunération : l'un basé sur la précision des prévisions et l'autre basé sur l'écart par rapport à la prévision moyenne. Ainsi, un groupe de chaque type de participants aura un mode de rémunération différent . correspondant à quatre traitements. Enfin, le dernier groupe sera composé, à proportions égales, d'« extrapolateurs » et de « rationnels » et aura un objectif d'écart avec la prévision moyenne. Celui-ci nous permettra de voir si les « rationnels » corrigent leur prévision quand ils sont en présence d''« extrapolateurs ». [source : résumé].
  • Retraite et risque financier.

    Yannick PRADAT, Florence LEGROS, Olivier DAMETTE, Olivier DAMETTE, Anne LAVIGNE, Jerome GLACHANT, Stephane HAMAYON, Anne LAVIGNE, Jerome GLACHANT
    2017
    Le premier chapitre examine les caractéristiques statistiques à long terme des rendements financiers en France et aux USA. Les propriétés des différents actifs font apparaître qu’à long terme les actions procurent un risque sensiblement moins élevé. En outre, les propriétés de retour à la moyenne des actions justifient qu’elles soient utilisées dans une stratégie de cycle de vie comme « option par défaut » de plans d’épargne retraite. Le chapitre deux fournit une explication au débat sur l'hypothèse d’efficience des marchés. La cause du débat est souvent attribuée à la petite taille des échantillons et à la faible puissance des tests statistiques dédiés. Afin de contourner ce problème, nous utilisons l'approche développée par Campbell et Viceira (2005) qui utilisent une méthode VAR pour mettre en évidence l’existence de retour vers la moyenne dans le cours des actifs risqués.Le troisième chapitre évalue la vitesse de convergence des cours des actions. Un moyen classique pour caractériser la vitesse de retour vers la moyenne est la « demi-vie ». En comparant les indices boursiers de quatre pays développés (États-Unis, Royaume-Uni, France et Japon) sur la période 1950-2014, nous établissons une vitesse de convergence significative, avec une demi-vie entre 4,0 et 5,8 ans.Le dernier chapitre présente les résultats d'un modèle conçu pour étudier les interactions entre la démographie et les régimes de retraite. Afin d’étudier les risques inhérents à l’utilisation des revenus du capital pour financer les retraites, nous utilisons un « Trending OU process » au lieu d’un MBG classique pour modéliser les rendements. Pour un épargnant averse au risque le marché pourrait concurrencer les régimes par répartition.
  • Les parties prenantes du financement des retraites.

    Ling ni BOON, Carole GRESSE, Bas WERKER, Anja DE WAEGENAERE, Anja DE WAEGENAERE, David BLAKE, Jerome GLACHANT, Marie BRIERE, Theo NIJMAN, David BLAKE
    2017
    La présente thèse s'intéresse à trois acteurs du financement des régimes de retraite : le législateur, l'assureur et l’individu. Dans un environnement en proie à un comportement déviant du marché financier et à des évolutions démographiques défavorables, le rôle de ces parties prenantes doit impérativement faire l’objet d’une réévaluation pour relever le défi de la pérennité du financement des retraites. L’étude de la règlementation et de la conception des régimes a été réalisée en intégrant des caractéristiques types du futur paysage des retraites, telles que le poids de plus en plus important du risque assumé par l’individu ou l’éventuelle participation d'investisseurs boursiers dans l’offre de contrats. Les conclusions de cette étude permettent de dégager des orientations en vue de la gestion du risque de longévité pour les individus, une évaluation de l’attrait de l’exposition au risque de longévité pour les investisseurs, des informations sur l’élaboration des contrats pour les assureurs ainsi que des propositions, pour les décideurs politiques, de mesures règlementaires favorisant la durabilité du paysage des retraites.
  • La finance participative ou comment exploiter la "sagesse de la foule".

    Jerome GLACHANT
    L Economie politique | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • L'argent 2.0.

    Ludovic DESMEDT, Matthieu LLORCA, Jerome GLACHANT
    2017
    La 4ème de couv. indique : "Toute monnaie repose sur la confiance. Que l’on paie en coquillages, en pièces d’or, en billets, en carte de crédit ou en bitcoins, le vendeur ne cèdera son bien que s’il a confiance dans la valeur que la communauté reconnaît à la monnaie reçue en échange. Pas de finance non plus sans confiance : le crédit repose sur la croyance du prêteur en la capacité de remboursement du débiteur. La confiance est la clé de voûte du système des paiements, quelle que soit la sophistication des instruments monétaires modernes, elle s’appuie sur un système hiérarchisé de tiers de confiance qui garantit la pérennité de l’ordre monétaire. Puis vint Internet, ce grand dynamiteur, qui bouscule les intermédiaires censés produire de la confiance dans les domaines les plus divers. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’irruption du numérique dans l’univers de la monnaie et de la finance prend de l’ampleur depuis la légitimité des institutions – banques, banques centrales, Etats – a été affaiblie par la violence de la crise financière. Mais les réseaux numériques permettent aussi de nouveaux procédés de construction de la confiance. Pour autant, les intermédiaires n’ont pas disparu et les algorithmes ne peuvent pas tout régler. Les nouvelles formes de la confiance numérique n’abolissent donc pas le besoin d’institutions, mais elles transforment forcément leur rôle.".
  • Finance d’entreprise et finance de marché : une influence par ricochets.

    Gunther CAPELLE BLANCARD, Jerome GLACHANT
    Problèmes économiques. Hors-série | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • La gestion actif-passif dans le financement des retraites.

    Enareta KURTBEGU, Jerome GLACHANT, Hippolyte d ALBIS, Thierry RONCALLI, Eduard PONDS, Anne LAVIGNE, Florence LEGROS
    2015
    Malgré les évolutions significatives des systèmes de retraite, notamment le passage de systèmes par répartition à des systèmes par capitalisation, plusieurs problèmes subsistent. La structure démographique est un des principaux facteurs de risque systémique, menaçant l’équilibre des caisses de retraite et favorisant l’instabilité et les moindres performances économiques. Dans cette thèse, nous mobilisons l’analyse empirique et théorique afin d’apporter une réponse en termes de stratégie d’investissement à ce problème. Nous synthétisons tout d’abord les éléments de littérature existants et mettons en avant l’importance du partage intergénérationnel du risque et les différences entre les investissements individuels et collectifs. En nous appuyant sur un modèle à générations imbriquées, nous étudions les effets de la structure démographique sur le prix des actifs. Nous identifions une corrélation positive entre l’inverse du ratio de dépendance et le prix de ces derniers (asset meltdown). Puis, en nous basant sur des contrats de retraites simulés, nous étudions les effets de l’augmentation de l’espérance de vie et de la diminution du taux de fécondité sur le partage intergénérationnel du risque. Bien que le régime collectif de retraite à cotisations définies (CDC) amortisse mieux les risques démographiques, des performances analogues peuvent être obtenues au moyen d’une capitalisation individuelle. De plus, la capitalisation individuelle supplante le régime collectif lorsque la réglementation est fortement contraignante. Nos résultats suggèrent la nécessité de la mise en place d’un processus de réforme continu basé sur les stratégies d’investissement. Ainsi, l’efficacité des méthodes de sélection des fonds telles que celle basée sur le taux de faux positifs semble être confirmée.
  • Essais sur l’économie et la finance de l’immobilier commercial.

    Souad CHERFOUH, Catherine BRUNEAU, Jerome GLACHANT, Catherine BRUNEAU, Richard MALLE, Martin HOESLI, Arnaud SIMON
    2015
    Cette thèse qui porte sur les marchés de bureaux se présente sous la forme de trois articles. Le premier a pour objectif d'identifier les déterminants persistants et transitoires de l'évolution des loyers de bureaux franciliens, à partir d'analyses de propriétés de co-intégration et de ruptures structurelles. Le second article porte sur l'étude des interactions entre les dynamiques des cinq sous-marchés qui composent le marché des bureaux de Central Paris. Plus précisément, la méthodologie adoptée permet de définir la nature des interactions en termes de substituabilité, complémentarité ou indépendance entre sous-marchés. Le troisième article contribue à l'étude du marché de l'immobilier d'un point de vue financier en analysant le' déterminants du taux de rendement du marché des bureaux au Royaume-Uni. Un modèle non ­linéaire à changement de régime permet de mesurer l'impact relatif de ces déterminants sur le taux de rendement en fonction de l'environnement monétaire et financier.
  • Science, technologie, et théories économiques de la croissance des années 50 à aujourd’hui.

    Matthieu BALLANDONNE, Philippe LE GALL, Franck JOVANOVIC, Michel DE VROEY, Claude MENARD, Dominique SAGOT DUVAUROUX, Jerome GLACHANT, Goulven RUBIN
    2014
    Cette thèse a pour objectif d’étudier la façon dont les économistes ont théorisé la relation entre science, technologie et croissance économique des années cinquante à aujourd’hui. Nous identifions deux approches des liens entre science, technologie et croissance : une approche « néoclassique » et une approche « évolutionniste ». L’approche « néoclassique » considère les progrès scientifiques et technologiques comme exogènes aux processus économiques et analyse les processus de croissance comme étant soumis à des rendements constants. L’approche « évolutionniste » défend quant à elle une représentation interactionniste des liens entre science et technologie, considère les progrès technologiques et scientifiques comme étant endogènes aux processus économiques et analyse les processus de croissance comme étant soumis à des rendements croissants. Nous analysons l’émergence de ces deux approches dans les années cinquante et soixante et expliquons leur opposition avec une domination de l’approche « néoclassique » jusque dans les années quatre-vingt (Partie 1). Nous montrons ensuite que l’approche « évolutionniste » devient dominante à partir des années quatre-vingt (Partie 2).
  • Essais sur le marché du capital-risque et la phase de sortie.

    Saloua EL BOUZAIDI, Jerome GLACHANT, Emmanuelle DUBOCAGE, Fabio BERTONI, Ulrich HEGE, Philippe DESBRIERES
    2014
    Cette thèse poursuit quatre objectifs de recherche, leur combinaison à pour but de contribuer à la compréhension du fonctionnement du marché du capital risque (CR). Le premier objectif est de fournir une synthèse de la littérature sur l'étape de sortie du capital risque. Le survey commence par décrire le processus de financement par CR en soulignant comment le fonctionnement de l'industrie permet de gérer l'asymétrie d'information entre l'entrepreneur et l'investisseur de CR. Le survey met également en évidence la position centrale de l'étage de sortie dans le cycle de financement par CR. En effet, les entreprises de capital-risque sont gérées par des professionnels qui fournissent des capitaux et des compétences aux entreprises entrepreneuriales.Généralement, les entreprises de portefeuille ne paient pas des dividendes, et les rendements générés par l'investissement sont réalisées par l'intermédiaire d'un événement de sortie, indiquant qu'une sortie rentable est au cœur de l'industrie du capital de risque. Le survey met notamment l'accent sur les déterminants de la phase de sortie, et examine comment le choix de sortie peut varier en fonction des objectifs du capital-risqueur et de l'entrepreneur. La question de recherche du premier chapitre empirique porte sur l'effet concurrentiel de financement par capital risque dans les introductions en bourse. Deux hypothèses sous-tendent cette étude. Tout d'abord, si les annonces de cotation en bourse révèlent de précieux renseignements sur les entreprises introduites, il est probable que les investisseurs des entreprises concurrentes utilisent cette information pour réévaluer la valeur et les perspectives d'évolution de leurs propres entreprises. Par conséquent, les annonces d'introduction en bourse sont susceptibles d'avoir des effets d'externalité sur les entreprises rivales. Deuxièmement, si les investisseurs de capital-risque sont considérés comme ayant un rôle en aidant leurs entreprises à traiter avec le marché public, il est probable que les concurrents réagissent différemment aux introductions en bourse des entreprises soutenues par CR. En conséquence, les deux questions de recherche suivantes ont été formulées: (1) quelle est la réaction des concurrents à l'annonce d'introductions en bourse? Et (2) la réaction des concurrents diffère-t-elle en fonction du statut des entreprises émises? En accord avec la littérature, les résultats montrent qu'en France, les introductions en bourse d'entreprises sans financement de CR créent une réaction négative à l'égard des concurrents opérant dans le même secteur d'activité. Ce qui suggère que les entreprises introduites seront en mesure d'améliorer leur position concurrentielle. D'une manière différente, l'introduction en bourse d'entreprise financée par CR a un effet d'annonce positive sur le rendement boursier de ses concurrents. Ce résultat suggère que le marché public considère l'introduction en bourse d'entreprises soutenues par CR comme un signal positif sur les perspectives de l'ensemble de marché, dont les concurrents peuvent également tirer profit. En fait, cette relation positive suggère que les IPOs d'entreprises financées par CR signalent des conditions positives du marché. Conférant ainsi aux investisseurs de capital-risque un pouvoir de prévoyance, où le capital-risqueur décidera de coter son entreprise quand la valorisation du marché boursier est élevée.
  • Vers une fiscalisation de la protection sociale.

    Lionel RAGOT, Xavier CHOJNICKI, Jerome GLACHANT
    La france face au vieillissement | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Les principaux déterminants de la dynamique du capital-risque.

    Malika LOUNES, Dorothee RIVAUD DANSET, Jean bernard CHATELAIN, Dorothee RIVAUD DANSET, Olivier DAMETTE, Jerome GLACHANT, Armin SCHWEINBACHER
    2012
    Cette thèse porte sur les déterminants fondamentaux du dynamisme du capital-risque. Notre démarche de recherche vise essentiellement à identifier les facteurs qui ont conduit au développement phénoménal de cette activité aux États-Unis et qui seraient susceptibles d'expliquer le retard de l'Europe en matière du capital-risque. On peut inférer de ce travail plusieurs conclusions. D'une part, l'existence d'un marché financier national dédié aux valeurs technologique ne peut être considérée comme le principal facteur expliquant l'avantage comparatif des États-Unis en termes du capital-risque. D'autre part, la demande et la performance anticipée constituent les fondements et la spécificité du capital-risque américain. Leur faiblesse dans les pays européens peut expliquer le retard de ces derniers. Nous avons également mis en évidence l'importance de l'environnement scientifique et technologique pour le dynamisme du capital-risque. Un résultat qui peut d'un coté, expliquer le retard des pays européens qui souffrent d'insuffisances en termes de dépenses en R&D. De l'autre, il peut rendre compte du succès de deux modèles de capital-risque basés sur la stratégie de recherche et développement, à savoir la Suède et Israël.
  • Inégalités, institutions et développement.

    Zoubir BENHAMOUCHE, Jerome GLACHANT
    2003
    Cette thèse étudie le liens entre le régime politique et le développement des pays pauvres. Elle montre dans un premier temps l'importance de la distribution des richesses dans le processus d'industrialisation des économies égalitaires ayant plus de chance d'adopter des technologies industrielles. Puis elle s'intéresse à l'impact du régime politique sur l'industrialisation. Elle montre que le choix du régime politique peut être lié aux anticipations du développement. les économies égalitaires ont plus de chance de se démocratiser. Enfin elle s'intéresse à l'interaction entre réformes politiques et réformes économiques. elle montre que les réformes économiques réussies doivent s'accompagner d'une démocratisation des institutions politiques. En particulier elle contribue au débat big bang ou gradualisme.
  • Les théories de la croissance : fondements et implications.

    Jerome GLACHANT, Antoine d AUTUME
    1994
    Nous souhaitons par le présent travail apporter notre contribution au renouvellement des théories de la croissance initié par Romer (1986) et Lucas (1988). L'objet principal de notre thèse est de parvenir, d'une part, a identifier les fondements des nouvelles théories de la croissance et, d'autre part, à examiner de leurs implications. Pour ce qui est des fondements. Nous nous efforçons de présenter une approche unifiée. En ce qui concerne les implications, l'attention porte sur la place attribuée aux facteurs primaires, l'évaluation des politiques publiques d'éducation dans un contexte de croissance, et enfin l'articulation entre le court et le long terme. Ce dernier thème rejoint certaines préoccupations des macroéconomistes afférentes à la persistance des chocs conjoncturels sur la dynamique macroéconomique. Enfin, les limites à la croissance qui découlent de l'existence de ressources rares non renouvelables sont examinées. Bien que ne participant pas directement à l'entreprise de renouvellement engagée par la littérature dominante, cet aspect ne peut être négligé tant paraissent fondamentales ses implications.
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