PROST Corinne

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Affiliations
  • 2014 - 2020
    Centre de recherche en économie et statistique
  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2013
  • Politique d'éducation, inégalités et réussite des élèves.

    Asma BENHENDA, Julien GRENET, Thomas PIKETTY, Pauline GIVORD, Pauline GIVORD, Roland RATHELOT, Corinne PROST, Pauline GIVORD, Roland RATHELOT
    2020
    Cette thèse analyse l’efficacité des dispositifs mis en place par la puissance publique pour atteindre leurs trois principaux objectifs : attirer et retenir des enseignants de qualité, aider les enseignants à s’améliorer, et appareiller les enseignants à leurs élèves de façon à réduire les inégalités éducatives. Par rapport à l’essentiel de la littérature académique existante consacrée aux politiques éducatives à destination des enseignants, cette thèse élargit le champ d’analyse au rôle d’acteurs peu étudiés dans la littérature : les jurys des concours de recrutement, les inspecteurs d’académie et les chefs d’établissement, mais aussi les enseignants remplaçants, qu’ils soient titulaires ou contractuels .Elle étend enfin la discussion au système éducatif dans son ensemble à travers l’analyse d’un mécanisme d’incitations non-monétaires mis en place pour attirer et retenir les enseignants dans les établissements défavorisés.
  • Taux d'emploi. Le cas de la France.

    Antoine BOZIO, Didier BLANCHET, Corinne PROST, Muriel ROGER
    Social Security Programs and Retirement around the World: Working Longer | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Trois essais empiriques sur les politiques de logement spatialisées.

    Benjamin VIGNOLLES, Laurent GOBILLON, Gregory VERDUGO, Gregory VERDUGO, Florence GOFFETTE NAGOT, Alain TRANNOY, Antoine BOZIO, Corinne PROST, Florence GOFFETTE NAGOT, Alain TRANNOY
    2019
    Cette thèse se compose de trois chapitres qui, pour chacun d’entre eux, évaluent les effets d’une politique spatialisée menée en France en matière de logement. Les deux premiers chapitres appliquent une méthodologie quasi-expérimentale pour évaluer, pour le premier d’entre eux les effets de l’article 55 de la loi « Solidarités et Renouvellement Urbain » de 2000, qui vise à stimuler la construction de logements sociaux dans les communes moyennes et grandes, et pour le deuxième le crédit d’impôt Scellier qui s’applique, de 2008 à 2012, à l’investissement locatif ciblés sur les locataires à revenus modestes. L’évaluation porte sur plusieurs variables d’intérêt . la construction de logement mais également les prix immobiliers ou la ségrégation spatiale des revenus. Le troisième chapitre applique quant à lui des méthodes de microsimulations pour estimer le profil de la part du revenu consacré par les ménages au paiement de la taxe d’habitation. Il propose également une simulation de ce profil sous l’hypothèse d’une révision des valeurs locatives, qui constituent la base fiscale de cet impôt locale et qui, faute de révision depuis leur mise en place, reflètent les valeurs de marché des logements dans les années 1970. Les trois chapitres reposent sur l’exploitation de bases de données produites par l’administration fiscale ou les notaires français, qui sont exhaustives et très riches et qui ont été peu utilisées jusqu’à présent. Les deux premiers chapitres montrent que les incitations financières ou fiscales mises en place permettent de stimuler l’offre locale de logements sociaux ou de logements locatifs privés ciblés sur les ménages à revenus modestes. Le chapitre 1 montre que ce surcroît de construction sociale a entraîné une diminution des prix immobilier et de la ségrégation spatiale des revenus dans les communes concernées. Le chapitre 2 montre quant à lui que les logements construits sous l’effet du dispositif Scellier sont plus souvent vacants et que la mesure a entraîné une hausse des prix immobiliers dans les zones traitées, sous l’effet d’une tension accrue sur les marchés locaux du logement qui se capitalise dans les prix du foncier. Enfin, le chapitre 3 montre que l’alignement des valeurs locatives qui servent d’assiette à la taxe d’habitation sur les prix relatifs des logements observés sur les marchés immobiliers aujourd’hui aboutit à une modification radicale du profil du poids de ce prélèvement dans le revenu des ménages en fonction de ce revenu : alors que celui-ci a la forme d’une courbe en cloche avec un effort fiscal maximum pour les ménages autour du revenu médian pour la taxe sous sa forme actuelle, la révision étudiée aboutit à un profile plus progressif pour la plupart des ménages français.
  • Les incitations fiscales au travail et à la recherche et développement en France et leurs effets sur le marché du travail.

    Michael SICSIC, Etienne LEHMANN, Antoine BOZIO, Marie OBIDZINSKI, Corinne PROST, Clement CARBONNIER, Yannick L HORTY
    2019
    Cette thèse s’intéresse aux incitations monétaires au travail et à la R&D du système socio-fiscal français, à leurs évolutions et à leurs effets. Nous simulons d’abord les incitations à travailler plus (marge intensive) et à retrouver un emploi (marge extensive) de l’ensemble de la population française, en prenant en compte l’ensemble des prélèvements sur les revenus du travail et des prestations sous condition de ressources. Nous montrons que les incitations ont augmenté dans le bas de la distribution depuis 1998 du fait de réformes dans les années 2000, et que les taux marginaux d’imposition sont passés d’une forme en U en fonction des niveaux de revenu à une forme en tilde. Puis, nous évaluons les réactions comportementales des individus à ces incitations au travail à partir des réformes sociales et fiscales intervenues entre 2006 et 2015. Nous montrons que les effets des taux marginaux sur les revenus du travail sont relativement faibles dans l’ensemble mais très hétérogènes selon les caractéristiques des individus. Les réactions seraient plus fortes pour les réformes de l’impôt sur le revenu que pour les réformes sur les prestations sociales. Enfin, nous étudions les subventions et les incitations fiscales à la R&D (crédit impôt recherche et baisse de cotisation pour les jeunes entreprises innovantes). Nous montrons que les taux d’aide à la R&D ont le plus augmenté dans les années 2000 pour les petites entreprises. Pour ces entreprises, nous évaluons l’effet de la forte hausse des aides à la R&D sur l’emploi consacré aux activités de R&D. Cet effet aurait été positif et croissant entre 2004 et 2010, mais inférieur à l’augmentation des aides reçues entre 2008 et 2010.
  • Confiance, coopération et autonomie : pour une école du XXIe siècle.

    Yann ALGAN, Elise HUILLERY, Corinne PROST
    Notes du conseil d’analyse économique | 2018
    Pas de résumé disponible.
  • Confiance, coopération et autonomie : pour une école du XXIe siècle.

    Yann ALGAN, Elise HUILLERY, Corinne PROST
    Notes du conseil d’analyse économique | 2018
    Si les résultats scolaires des jeunes Français se situent dans la moyenne de l’OCDE, la France se singularise par un fort clivage entre, d’un côté, une élite qui excelle et, de l’autre, des élèves qui cumulent les difficultés, avec un fort déterminisme social. Par ailleurs, chaque année, 100 000 jeunes quittent le système scolaire sans diplôme.L’effort budgétaire de la France en faveur de l’éducation. (Premières lignes).
  • Capacité de santé à travailler à un âge avancé en France.

    Didier BLANCHET, Eve CAROLI, Corinne PROST, Muriel ROGER
    Social Security Programs and Retirement around the World: The Capacity to Work at Older Ages | 2017
    La France se distingue comme un pays où le taux d'activité des travailleurs âgés est faible. Une inversion de la tendance des taux d'activité des Français de plus de 50 ans est en cours, en partie grâce aux réformes des retraites qui ont eu lieu depuis 1993. Le processus de vieillissement de la population française est alimenté par d'importants gains d'espérance de vie et les réformes des retraites allouent une partie de ces gains au travail plutôt qu'à la retraite. Les hypothèses implicites qui ont guidé les réformes sont que les années de vie supplémentaires sont des années dont l'état de santé peut être considéré comme raisonnablement compatible avec le travail. Si tel n'est pas le cas, l'idée de partager ces années de vie supplémentaires entre le travail et la retraite est discutable. Compte tenu de la mortalité et de l'état de santé, nous nous interrogeons sur le fait que les réformes sont peut-être allées trop loin dans l'augmentation de la retraite.
  • Capacité de santé à travailler à un âge avancé en France.

    Didier BLANCHET, Eve CAROLI, Corinne PROST, Muriel ROGER
    2016
    La France se distingue comme un pays où le taux d'activité des travailleurs âgés est faible. Une inversion de la tendance des taux d'activité des Français de plus de 50 ans est en cours, en partie grâce aux réformes des retraites qui ont eu lieu depuis 1993. Le processus de vieillissement de la population française est alimenté par d'importants gains d'espérance de vie et les réformes des retraites allouent une partie de ces gains au travail plutôt qu'à la retraite. Les hypothèses implicites qui ont guidé les réformes sont que les années de vie supplémentaires sont des années dont l'état de santé peut être considéré comme raisonnablement compatible avec le travail. Si tel n'est pas le cas, l'idée de partager ces années de vie supplémentaires entre le travail et la retraite est discutable. Compte tenu de la mortalité et de l'état de santé, nous nous interrogeons sur le fait que les réformes sont peut-être allées trop loin en augmentant l'âge de la retraite. Pour aborder ces questions, nous nous appuyons sur deux approches méthodologiques différentes développées dans la littérature économique : l'une basée sur l'écart des taux d'emploi dans le temps pour des taux de mortalité donnés ; l'autre utilisant la relation travail/santé mesurée à certains âges pour prédire la capacité de travail liée à la santé des groupes d'âge plus âgés à la même période. Les deux méthodes visent à fournir des mesures de la capacité de travail supplémentaire. Cette capacité peut être définie comme une mesure de la distance entre l'âge actuel de la retraite et ce que nous appelons la "barrière de la santé", c'est-à-dire l'âge auquel la santé empêche les gens de travailler plus longtemps. Les deux méthodes prédisent des niveaux moyens élevés de capacité de travail supplémentaire. Toutefois, le tableau devient quelque peu différent lorsque l'on désagrège les résultats par groupes sociaux ou par éducation. Nos résultats soulignent l'idée que les politiques visant à activer toute capacité de travail supplémentaire estimée devraient tenir compte, dans la mesure du possible, de l'hétérogénéité des conditions de santé dans la population. En outre, la capacité de travail supplémentaire ne peut être un indicateur général de la quantité de travail que les personnes âgées devraient fournir. Les méthodes utilisées ici laissent en effet de côté de nombreux facteurs qui déterminent le taux d'emploi des travailleurs âgés.
  • Capacité de santé à travailler à un âge avancé en France.

    Didier BLANCHET, Eve CAROLI, Corinne PROST, Muriel ROGER
    2016
    La France se distingue comme un pays où le taux d'activité des travailleurs âgés est faible. Une inversion de la tendance des taux d'activité des Français de plus de 50 ans est en cours, en partie grâce aux réformes des retraites qui ont eu lieu depuis 1993. Le processus de vieillissement de la population française est alimenté par d'importants gains d'espérance de vie et les réformes des retraites allouent une partie de ces gains au travail plutôt qu'à la retraite. Les hypothèses implicites qui ont guidé les réformes sont que les années de vie supplémentaires sont des années dont l'état de santé peut être considéré comme raisonnablement compatible avec le travail. Si ce n'est pas le cas, l'idée de partager ces années de vie supplémentaires entre le travail et la retraite est discutable.Compte tenu de la mortalité et de l'état de santé, nous nous interrogeons sur le fait que les réformes sont peut-être allées trop loin en augmentant l'âge de la retraite. Pour aborder ces questions, nous nous appuyons sur deux approches méthodologiques différentes développées dans la littérature économique : l'une basée sur l'écart des taux d'emploi dans le temps pour des taux de mortalité donnés ; l'autre utilisant la relation travail/santé mesurée à certains âges pour prédire la capacité de travail liée à la santé des groupes d'âge plus âgés à la même période. Les deux méthodes visent à fournir des mesures de la capacité de travail supplémentaire. Cette capacité peut être définie comme une mesure de la distance entre l'âge actuel de la retraite et ce que nous appelons la "barrière de la santé", c'est-à-dire l'âge auquel la santé empêche les gens de travailler plus longtemps.Les deux méthodes prédisent des niveaux moyens élevés de capacité de travail supplémentaire. Les deux méthodes prédisent des niveaux moyens élevés de capacité de travail supplémentaire. Cependant, le tableau devient quelque peu différent lorsque l'on désagrège les résultats par groupes sociaux ou par éducation. Nos résultats soulignent l'idée que les politiques visant à activer toute capacité de travail supplémentaire estimée devraient tenir compte, dans la mesure du possible, de l'hétérogénéité des conditions de santé dans la population. En outre, la capacité de travail supplémentaire ne peut être un indicateur général de la quantité de travail que les personnes âgées devraient fournir. Les méthodes utilisées ici laissent en effet de côté de nombreux facteurs qui déterminent le taux d'emploi des travailleurs âgés.
  • L’emploi des seniors : un choix à éclairer et à personnaliser.

    Pierre CAHUC, Jean olivier HAIRAULT, Corinne PROST
    Notes du conseil d’analyse économique | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Comment l'école amplifie les inégalités sociales et migratoires ?

    Corinne PROST, Manon GARROUSTE
    2015
    Pas de résumé disponible.
  • Conflits du travail et flux d'emplois.

    Henri FRAISSE, Francis KRAMARZ, Corinne PROST
    ILR Review | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Sentiment de sécurité de l'emploi : l'effet des indemnités chômage et de la justice prud'homale.

    Henri FRAISSE, Corinne PROST, Laurence RIOUX
    Économie & prévision | 2013
    Pas de résumé disponible.
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