GALLAND Olivier

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Affiliations
  • 2012 - 2018
    Groupe d'Etude des Méthodes de l'Analyse Sociologique de la Sorbonne
  • 2012 - 2013
    Sorbonne Université
  • 2021
  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2014
  • 2013
  • 2007
  • La tentation radicale : Enquête auprès des lycéens.

    Olivier GALLAND, Anne MUXEL
    2021
    L'idée d'une montée de la radicalité au sein de la jeunesse française, avec pour corollaire une certaine banalisation de la violence, mérite d'être examinée, même si les passages à l'acte violent ne concernent qu'une petite minorité assez bien étudiée et identifiée. On ne sait en revanche que peu de choses sur le degré d'acceptabilité de la violence aux yeux du plus grand nombre. Quels sont les segments de la jeunesse les plus concernés par la radicalité ? Peut-on observer un lien entre la radicalité politique et la radicalité religieuse ? Comment les jeunes réagissent-ils aux attentats et au terrorisme ? Pour répondre à ces questions, les contributeurs de cet ouvrage, tous spécialistes reconnus dans le champ de la sociologie de la jeunesse, analysent les résultats d'une enquête inédite menée auprès de 7?000 lycéens de toutes origines sociales et culturelles, et de toutes confessions religieuses.
  • La pensée radicale chez les jeunes : Une enquête sur les élèves du lycée français.

    Anne MUXEL, Olivier GALLAND
    2020
    La France a connu une vague sans précédent d'attaques terroristes en 2015. Suite à ces événements tragiques, les chercheurs en sciences sociales ont ressenti le besoin d'entreprendre de nouveaux travaux pour mieux comprendre la dynamique de ce nouveau radicalisme. Cet ouvrage est le résultat de l'une de ces tentatives. Une grande enquête quantitative et qualitative a été menée auprès des élèves des lycées français afin de recueillir des informations de fond et de proposer une interprétation de la pénétration des idées radicales, qu'elles soient religieuses ou politiques, parmi eux. Quelle est l'ampleur de ces idées radicales ? Quelles sont les principales caractéristiques des jeunes qui les partagent ? Existe-t-il des liens entre le radicalisme religieux et le radicalisme politique ? Que pensent les jeunes des attaques terroristes de 2015 ? Comment les jeunes utilisent-ils les médias et les médias sociaux pour se tenir au courant et comprendre les actes et les opinions radicales ? Telles sont les principales questions explorées dans cet ouvrage. (Résumé de l'éditeur).
  • La tentation du radicalisme chez les adolescents.

    Olivier GALLAND, Anne MUXEL
    Youth and Globalization | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • En guise de réponse.

    Olivier GALLAND, Anne MUXEL
    Revue européenne des sciences sociales | 2019
    Il s'agit d'une réponse au dossier coordonné par Agnés Villechaise consacré à notre ouvrage La tentation radicale. Enquête auprès des lycéens paru en 2018.
  • Le complément grand-parental. Arrangements quotidiens, solidarités familiales et inégalités sociales au prisme de la prise en charge des jeunes enfants par les grands-parents.

    Morgan KITZMANN, Olivier GALLAND, Ariane PAILHE, Francoise LE BORGNE UGUEN, Marie clemence LE PAPE, Cecile LEFEVRE, Jan VAN BAVEL
    2019
    En France, les politiques de conciliation travail-famille reposent principalement sur le développement de modes de garde institutionnels. Les grands-parents continuent pourtant d’occuper une place importante dans les arrangements quotidiens des familles. Comment expliquer leur implication dans la garde des jeunes enfants ? En alliant sociologies de la famille et de l’articulation des temps sociaux, et en croisant méthodes qualitatives et quantitatives, cette thèse s’intéresse aux bricolages des parents au quotidien pour articuler vies familiale et professionnelle, à travers l’étude du cas limite qu’est le recours à l’aide des grands-parents. Cette thèse met l’emphase sur deux logiques. 1) S’il existe une norme de bonne grand-parentalité qui règle la façon dont les grands-parents s’impliquent dans la garde de leurs petits-enfants, celle-ci émane des catégories sociales supérieures et n’est pas intériorisée de façon homogène dans tous les milieux sociaux. Les stratégies éducatives des parents et les attentes vis-à-vis des grands-parents diffèrent selon l’origine sociale. 2) Les contextes professionnels, familiaux et institutionnels jouent comme des contraintes et des opportunités qui influent sur les arrangements quotidiens des parents et les conduisent à infléchir leurs stratégies éducatives quant à l’implication des grands-parents. L’analyse de l’articulation de ces logiques permet d’identifier quatre types de garde grand-parentale : dépannage, routine, intensif et loisirs. Cette thèse montre enfin la corrélation entre développement des enfants et garde grand-parentale, invitant à penser cet objet comme un ensemble diversifié de pratiques vectrices d’inégalités sociales.
  • Parlons jeunesse en 30 questions.

    Olivier GALLAND
    2019
    Pas de résumé disponible.
  • Une jeunesse différente ? : les valeurs des jeunes Français depuis 30 ans.

    Olivier GALLAND, Bernard ROUDET
    2019
    Pas de résumé disponible.
  • La radicalité en questions.

    Anne MUXEL, Olivier GALLAND
    La tentation radicale | 2018
    Ce chapitre interroge la notion de radicalité, dans sa dimension politique et religieuse, en s'appuyant sur un état de l'art des travaux de sciences sociales dans ce champ de recherches.
  • La réponse d'Olivier Galland et d'Anne Muxel.

    Olivier GALLAND, Anne MUXEL
    Les Champs de Mars | 2018
    Pas de résumé disponible.
  • La tentation radicale. Enquête auprès des lycéens.

    Anne MUXEL, Olivier GALLAND
    2018
    L’idée d’une montée de la radicalité au sein de la jeunesse française, avec pour corollaire une certaine banalisation de la violence, mérite d’être examinée, même si les passages à l’acte violent ne concernent qu’une petite minorité assez bien étudiée et identifiée. On ne sait en revanche que peu de choses sur le degré d’acceptabilité de la violence aux yeux du plus grand nombre. Quels sont les segments de la jeunesse les plus concernés par la radicalité ? Peut-on observer un lien entre la radicalité politique et la radicalité religieuse ? Comment les jeunes réagissent-ils aux attentats et au terrorisme ? Pour répondre à ces questions, les contributeurs de cet ouvrage, tous spécialistes reconnus dans le champ de la sociologie de la jeunesse, analysent les résultats d’une enquête inédite menée auprès de 7 000 lycéens de toutes origines sociales et culturelles, et de toutes confessions religieuses. (Résumé éditeur).
  • Sociologie des valeurs : théories et mesures appliquées au cas européen.

    Olivier GALLAND, Yannick LEMEL
    2018
    Pas de résumé disponible.
  • La tentation radicale : enquête auprès des lycéens.

    Olivier GALLAND, Anne MUXEL
    2018
    L'idée d'une montée de la radicalité au sein de la jeunesse française, avec pour corollaire une certaine banalisation de la violence, mérite d'être examinée, même si les passages à l'acte violent ne concernent qu'une petite minorité assez bien étudiée et identifiée. On ne sait en revanche que peu de choses sur le degré d'acceptabilité de la violence aux yeux du plus grand nombre. Quels sont les segments de la jeunesse les plus concernés par la radicalité ? Peut-on observer un lien entre la radicalité politique et la radicalité religieuse ? Comment les jeunes réagissent-ils aux attentats et au terrorisme ? Pour répondre à ces questions, les contributeurs de cet ouvrage, tous spécialistes reconnus dans le champ de la sociologie de la jeunesse, analysent les résultats d'une enquête inédite menée auprès de 7000 lycéens de toutes origines sociales et culturelles, et de toutes confessions religieuses.
  • Les modes de vie étudiants.

    Olivier GALLAND, Mireille CLEMENCON, Patrick LE GALLES, Marco OBERTI
    2018
    Pas de résumé disponible.
  • Sociologie des inégalités.

    Olivier GALLAND, Yannick LEMEL
    2018
    Pas de résumé disponible.
  • Sociologie de la jeunesse.

    Olivier GALLAND
    2018
    La jeunesse est une catégorie aux contours incertains. À quel âge débute-t-elle, à quel âge finit-elle ? La sociologie montre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières et la définition ont évolué au cours de l'histoire et se modulent selon les situations sociales.L'affaiblissement des rites de passage, l'allongement des transitions professionnelles et la prolongation du temps des expériences qui tendent à repousser toujours plus tard l'accès à un plein statut adulte font que la jeunesse se décompose désormais en plusieurs phases – de l'adolescence au statut de jeune adulte – que ce livre tente de décrire.Devenu un « classique » du sujet depuis sa parution initiale en 1991, l'ouvrage repère et explique les évolutions significatives entraînées par ce mouvement général de recomposition sociale que la jeunesse subit parfois douloureusement.Cette 6e édition prolonge et approfondit la présentation des résultats européens portant sur les jeunes. Elle actualise également l'ouvrage en présentant les travaux récents ayant porté sur l'entrée dans la vie adulte, les valeurs des jeunes, les comportements sexuels et la culture adolescente.
  • Sociologie des inégalités.

    Olivier GALLAND, Yannick LEMEL
    2018
    La question des inégalités (de classe, de statut économique, de genre, ethno raciales.), définies comme une différence d'accès à des biens sociaux jugée injustifiée, est au cœur de la sociologie.Ce manuel a pour ambition de proposer le bilan le plus complet possible des travaux et connaissances sociologiques sur le sujet, et d'ouvrir des pistes de réflexion sur le domaine : quelle est la genèse de la notion d'inégalité ? Pourquoi les inégalités se transmettent-elles et se reproduisent-elles ? Quels sont les rôles respectifs de la famille, du système éducatif, des pouvoirs publics ? Comment et dans quelle mesure l'État parvient-il à corriger les inégalités de départ entre les groupes sociaux ?L'ouvrage est illustré par de nombreux exemples internationaux et des figures originales.Des compléments sont disponibles dans la rubrique "ressources numériques". Ils permettent d'approfondir certains concepts présentés dans l'ouvrage et proposent plus de 500 références en grande partie internationales.
  • La machine à trier : Ou comment la France divise sa jeunesse.

    Pierre CAHUC, Olivier GALLAND, Andre ZYLBERBERG, Stephane CARCILLO
    2017
    Pas de résumé disponible.
  • La machine à trier : Ou comment la France divise sa jeunesse.

    Pierre CAHUC, Stephane CARCILLO, Olivier GALLAND, Andre ZYLBERBERG
    2017
    "La jeunesse française est coupée en deux, certains s'en sortent et d'autres non. Pourquoi ? Cette césure est le résultat d'un système social élitiste où l'école et le marché du travail servent de machines à trier. Résultat : les plus faibles sont implacablement éliminés. Mis à l'écart, ils tendent à déserter les urnes et à renier les fondements de la démocratie. Ce diagnostic sévère établi par les auteurs dans les deux précédentes éditions de "La machine à trier" est malheureusement le même : la situation des jeunes français ne s'est toujours pas améliorée. Battant en brèche les assertions à l'emporte-pièce, cette nouvelle édition entièrement mise à jour confirme les difficultés persistantes de la jeunesse, réfute l'idée d'un destin commun à une génération et propose une révision radicale de notre modèle d'intégration élitiste." [Source : 4e de couv.].
  • Sociologie de la jeunesse.

    Olivier GALLAND
    2017
    "La jeunesse est une catégorie aux contours incertains. À quel âge débute-t-elle, à quel âge finit-elle ? La sociologie montre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières et la définition ont évolué au cours de l’histoire et se modulent selon les situations sociales. L’affaiblissement des rites de passage, l’allongement des transitions professionnelles et la prolongation du temps des expériences qui tendent à repousser toujours plus tard l’accès à un plein statut adulte font que la jeunesse se décompose désormais en plusieurs phases – de l’adolescence au statut de jeune adulte – que ce livre tente de décrire. Devenu un « classique » du sujet depuis sa parution initiale en 1991, l’ouvrage repère et explique les évolutions significatives entraînées par ce mouvement général de recomposition sociale que la jeunesse subit parfois douloureusement. Cette 6e édition prolonge et approfondit la présentation des résultats européens portant sur les jeunes. Elle actualise également l’ouvrage en présentant les travaux récents ayant porté sur l’entrée dans la vie adulte, les valeurs des jeunes, les comportements sexuels et la culture adolescente.".
  • Sociologie de la jeunesse : 5ème édition.

    Olivier GALLAND
    2016
    La jeunesse est une catégorie aux contours incertains. À quel âge débute-t-elle, à quel âge finit-elle ? La sociologie montre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières et la définition ont évolué au cours de l'histoire et se modulent selon les situations sociales. L'affaiblissement des rites de passage, l'allongement des transitions professionnelles et la prolongation du temps des expériences qui tendent à repousser toujours plus tard l'accès à un plein statut adulte font que la jeunesse se décompose désormais en plusieurs phases – de l'adolescence au statut de jeune adulte – que ce livre tente de décrire. Devenu un « classique » du sujet depuis sa parution initiale en 1991, l'ouvrage repère et explique les évolutions significatives entraînées par ce mouvement général de recomposition sociale que la jeunesse subit parfois douloureusement. Cette 5e édition prolonge et approfondit la présentation des résultats européens portant sur les jeunes. Elle actualise également l'ouvrage en présentant les travaux récents ayant porté sur l'entrée dans la vie adulte, les valeurs des jeunes, les comportements sexuels et la culture adolescente. Olivier Galland, sociologue, directeur de recherche au CNRS, travaille au Groupe des méthodes de l'analyse sociologique (Université Paris IV et CNRS). Il est spécialiste des questions de jeunesse.
  • La France des inégalités : réalités et perceptions.

    Olivier GALLAND
    2016
    Pas de résumé disponible.
  • Quand on n'a "que" BAC + 3. : les étudiants et l'insertion professionnelle.

    Romain DELES, Francois DUBET, Serge PAUGAM, Catherine BEDUWE, Olivier GALLAND, Eric VERDIER
    2015
    Cette thèse porte sur l'insertion professionnelle des étudiants. Ellesoulève en particulier deux questions : la question des possibilités objectivesd'insertion professionnelle pour les diplômés de l'enseignement supérieur, et apporteainsi une contribution au débat sur la dévalorisation des diplômes . la question del'expérience de l'insertion professionnelle des jeunes dans le contexte institutionnelet social français marqué par la nécessité de s'établir professionnellement.Les figures de « l'intello précaire » ou de « l'ouvrier bachelier » incarnent lesdifficultés d'emploi d'une jeunesse qualifiée. Ce phénomène doit être relativisé : lesjeunes diplômés du supérieur ont des niveaux de chômage beaucoup plus faiblesque les non-diplômés. Les mesures habituelles de la rentabilité des diplômes sontrassurantes : une année d'études supérieures supplémentaire continue d'apporter unsurcroit de revenu de 8%. La dévalorisation des diplômes ne serait alors qu'un« mythe ». Ces constats optimistes reposent cependant sur des indicateurs trèsagrégés : les performances en termes d'insertion professionnelle sont appréciées enfonction du nombre d'années d'études ou du niveau de diplôme. On mesure parexemple les chances d'insertion professionnelle des bacheliers et des titulaires demaster et l'on compare les rentabilités relatives des diplômes. Les études sont donccomprises comme un ensemble homogène de savoirs : les parcours, les contextesd'enseignement, l'intensité du travail de chaque étudiant, et, surtout, la spécialité dediplôme poursuivie sont gommées dans la mesure traditionnelle de la rentabilité desdiplômes. Cette thèse, à partir d'une analyse secondaire de données quantitatives,cherche à préciser cette mesure en réintroduisant la spécialité de diplôme. Onobserve alors qu'à niveau de diplôme équivalent, il existe de fortes disparités entreles spécialités de formation dans la probabilité de s'insérer et dans la qualité desemplois occupés. La spécialité détermine autant que le niveau de formation l'accès àun emploi qualifié. Ainsi, ce travail conclut à l'existence d'effets d'inflation scolairelocaux, situés sur des spécialités de formation précises.
  • Deux pays, deux jeunesses ? : la condition juvénile en France et en Italie.

    Alessandro CAVALLI, Vincenzo CICCHELLI, Olivier GALLAND
    2015
    Ce livre repose sur un pari original, entreprendre une comparaison systématique de la condition juvénile en Italie et en France en investiguant en profondeur trois grands domaines de la vie des jeunes - l'accès à l'âge adulte, l'expérience de l'espace public et les rapports entre générations, eux-mêmes déclinés en une dizaine de thèmes spécifiques. La méthode de l'ouvrage est également inédite. En effet, les responsables du livre ont demandé à un collègue français et à un collègue italien de dresser pour chaque thème retenu un tableau de la situation nationale et de ses interprétations sociologiques, un troisième étant chargé de tirer les enseignements comparatifs. Ce livre est donc véritablement une coproduction franco-italienne rassemblant les meilleurs spécialistes des deux côtés des Alpes. La conclusion principale de l'ouvrage est qu'en dépit de certaines particularités morphologiques et démographiques qui les distinguent fortement, les jeunesses française et italienne doivent être comprises comme deux variantes d'un même type de représentation de cet âge de la vie et de passage à l'âge adulte.
  • Les étudiants en France : histoire et sociologie d'une nouvelle jeunesse.

    Louis GRUEL, Olivier GALLAND, Guillaume HOUZEL
    2015
    Au milieu du XXe siècle, les étudiants constituaient une frange étroite de la jeunesse et étaient pour la plupart des garçons issus des classes supérieures. Ils forment aujourd’hui un groupe nombreux, plus important numériquement que celui des artisans et commerçants. être étudiant est devenu la forme canonique de la jeunesse, le modèle social privilégié du passage au statut adulte, non seulement dans les métropoles mais aussi dans les villes moyennes, non seulement pour les garçons mais aussi pour les filles. Celles-ci sont même devenues majoritaires parmi les inscrits post-baccalauréat. On observe cependant encore de fortes inégalités d’accès à l’enseignement supérieur selon l’origine sociale, et une importante différenciation des étudiants selon les études suivies. L’accroissement des effectifs s’est en effet accompagné d’une mutation et d’une diversification profondes des manières d’être étudiant. Cet ouvrage qui associe les compétences d’historiens, sociologues, économistes, statisticiens, politistes propose pour la première fois une vue d’ensemble des transformations qui ont affecté le monde étudiant depuis le début des années 1960 et un éclairage particulièrement approfondi des variations observables depuis le milieu des années 1990. Il apporte des repères chronologiques et démographiques . met en relation les changements institutionnels, les flux et parcours . analyse les formes de mobilisation et de représentation. Il s’intéresse à de multiples aspects de la vie étudiante : répartition de l’emploi du temps, argent, logement, alimentation, santé, pratiques culturelles, conditions d’étude et de réussite.
  • La jeunesse n'est plus ce qu'elle était.

    Jacques HAMEL, Catherine CICCHELLI PUGEAULT, Olivier GALLAND
    2015
    « La jeunesse n'est plus ce qu'elle était. » Voilà la formule qui a valeur d'antienne quand ont est jeune ou que, en avançant en âge, on se fait vieux en se scandalisant de ce qu'est devenue la jeunesse ! Qui n'a pas eu ces mots à la bouche pour regretter la jeunesse d'antan ou, au contraire, pour se féliciter qu'elle ait changé. C'est sous cette bannière que des dizaines de chercheurs se sont réunies au Centre culturel de Cerisy-la-Salle, du 23 au 30 juin 2009, afin de pouvoir échanger sur les sujets à l'ordre du jour et cela dans l'intention de savoir si véritablement la « jeunesse n'est plus ce qu'elle était ». Le présent recueil s'efforce dans cette voie de brosser un tableau d'ensemble de la jeunesse en croisant les regards des principaux chercheurs en la matière issus de l'anthropologie, de l'histoire, de la sociologie et des autres sciences sociales.Les lecteurs - jeunes ou moins jeunes - trouveront entre autres des études sur les parcours scolaires, sur l'insertion dans le marché du travail, sur la mobilité géographique, sur l'entrée dans la vie adulte, et sur la culture teintée des couleurs du cosmopolitisme des jeunes évoluant dans les sociétés francophones que représentent la France, le Québec, la Belgique et l'Acadie.
  • Introduction.

    Olivier GALLAND, Bernard ROUDET
    Agora débats/jeunesses | 2014
    Pas de résumé disponible.
  • Jeunes Européens : quelles valeurs en partage ?

    Olivier GALLAND, Bernard ROUDET
    Agora débats/jeunesse | 2014
    Pas de résumé disponible.
  • Une jeunesse différente ? : les valeurs des jeunes Français depuis 30 ans.

    Olivier GALLAND, Bernard ROUDET
    2014
    Pas de résumé disponible.
  • L'égalité, une passion française ?

    Michel FORSE, Olivier GALLAND, Caroline GUIBET LAFAYE, Maxime PARODI, Raymond BOUDON
    2014
    Pas de résumé disponible.
  • La compréhension des gentilés Polacy, Niemcy, Francuzi et Europejczycy par la jeunesse polonaise contemporaine : une étude ethnolinguistique.

    Aline VIVIAND, Olivier GALLAND, Elzbieta BIARDZKA, Patricia von MUNCHOW, Jerzy BARTMINSKI, Katarzyna KWAPISZ OSADNIK, Greta KOMUR THILLOY
    2014
    Notre étude prend pour objet la façon dont la jeunesse polonaise comprend aujourd’hui les gentilés européens tels que Polacy (les Polonais), Niemcy (les Allemands) et Francuzi (les Français), ainsi que le gentilé Europejczycy (les Européens) lui-même, plusieurs années après l’adhésion de la Pologne à l’Union européenne, faisant suite à la chute du régime communiste. Ces deux évènements historiques relativement récents sont en effet susceptibles d’avoir affecté la perception du monde des Polonais. En appréhendant la signification des gentilés précités par la vision d’une communauté de locuteurs, les jeunes locuteurs Polonais, cette étude s’inscrit dans le courant linguistique des recherches cognitives. Ces recherches mettent en avant, dans l’étude des structures sémantiques de la langue, le lien fondamental entre langue et pensée et prennent pour objectif de parvenir au sujet parlant (en tant que membre d’une communauté de locuteurs), à sa perception, à sa conceptualisation du monde (liée à son expérience) et à son système de valeurs. Notre étude adhère ainsi plus particulièrement au courant de l’ethnolinguistique de Lublin tel que l’a défini Jerzy Bartmiński et selon lequel nous ne saurions chercher le sens des gentilés Polacy, Niemcy, Francuzi et Europejczycy dans les dictionnaires, puisqu’il se trouve avant tout, pour ainsi dire, dans la tête des locuteurs.
  • Les Français face aux inégalités et à la justice sociale.

    Olivier GALLAND, Michel FORSE
    2014
    Pas de résumé disponible.
  • La machine à trier.

    Pierre CAHUC, Stephane CARCILLO, Olivier GALLAND, Andre ZYLBERBERG
    2013
    La jeunesse française est coupée en deux, certains s'en sortent, d'autres non. Cette césure est le résultat d'un système social élitiste où l'école et le marché du travail servent de machines à trier. Au bout du compte, les plus faibles sont implacablement éliminés, tout en étant pratiquement exclus des aides sociales jusqu'à 25 ans. Mis à l'écart, ils tendent à déserter les urnes et à renier les fondements de la démocratie. Il est urgent de s'attaquer aux racines du mal : l'échec scolaire et les obstacles infranchissables que dresse le marché du travail devant ceux qui n'ont pas de diplôme. Il faut aussi faire sauter les verrous de notre système politique pour que les jeunes y trouvent leur place. Mais en attendant, nous ne pouvons pas laisser tant de jeunes sur le bord de la route. Il y a des moyens de leur offrir, sans laxisme, une deuxième chance. Si nous continuons à ne rien faire, le risque d'une déflagration du pacte républicain grandira de jour en jour. (Résumé éditeur).
  • La machine à trier : comment la France divise sa jeunesse.

    Pierre CAHUC, Stephane CARCILLO, Olivier GALLAND, Andre ZYLBERBERG
    2013
    La 4e de couv. indique : "La jeunesse française est coupée en deux, certains s'en sortent, d'autres non. Cette césure est le résultat d'un système social élitiste où l'école et le marché du travail servent de machines à trier. Au bout du compte, les plus faibles sont implacablement éliminés, tout en étant pratiquement exclus des aides sociales jusqu'à 25 ans. Mis à l'écart, ils tendent à déserter les urnes et à renier les fondements de la démocratie. Il est urgent de s'attaquer aux racines du mal : l'échec scolaire et les obstacles infranchissables que dresse le marché du travail devant ceux qui n'ont pas de diplôme. Il faut aussi faire sauter les verrous de notre système politique pour que les jeunes y trouvent leur place. Mais en attendant, nous ne pouvons pas laisser tant de jeunes sur le bord de la route. Il y a des moyens de leur offrir, sans laxisme, une deuxième chance. Si nous continuons à ne rien faire, le risque d'une déflagration du pacte républicain grandira de jour en jour.".
  • L'égalité, une passion française ?

    Michel FORSE, Olivier GALLAND, Maxime PARODI, Caroline GUIBET LAFAYE
    2013
    La société française traverse une crise économique majeure. Entre un chômage de « longue durée », pour les uns, et des revenus mirifiques pour les autres, les inégalités sont exacerbées. La « passion insatiable pour l’égalité », qu’Alexis de Tocqueville associait chez les peuples démocratiques à leur « goût naturel pour la liberté », serait émoussée. Un tel constat mérite d’être questionné, car l’égalité n’est pas qu’une simple affaire d’arithmétique. Loin des jugements hâtifs, cet ouvrage montre, au contraire, que les Français ne cèdent pas à la facilité démagogique. Leurs souhaits sont aussi éloignés d’une pure méritocratie que d’un égalitarisme absolu. Certes, leur confiance est affectée par les difficultés actuelles, mais ils tiennent bon sur les principes de justice sociale. Dès lors, comment les inégalités sociales sont-elles perçues ? Quels principes de justice sont convoqués pour les juger ? Et quelles améliorations sont souhaitées ? Fondé sur un sondage représentatif et une série d’entretiens qualitatifs approfondis, cet ouvrage présente et analyse les réponses des Français à ces interrogations. (Résumé éditeur).
  • Comment expliquer la perception des inégalités en France ?

    Olivier GALLAND, Yannick LEMEL, Alexandra FRENOD
    2013
    Cet article vise à examiner plusieurs théories explicatives de la perception des inégalités sociales en se fondant sur une enquête par questionnaire auprès d'un échantillon représentatif de Français complétée par une série d'entretiens qualitatifs. La théorie de " l'intérêt bien compris " lié à la position sociale, celle de l'effet éventuel de mécanismes de frustration relative, et de l'effet de l'adhésion à des valeurs en matière de justification des inégalités économiques seront examinées. Une des originalités de l'enquête que nous utiliserons est de distinguer trois registres de perception des inégalités : la perception de leur force dans la société, le degré auquel elles sont jugées plus ou moins illégitimes, et enfin le degré auquel la personne elle-même se sent personnellement affectée. Les résultats montrent des effets contrastés des différentes variables explicatives selon ces registres de perception des inégalités. La position sociale comme les mécanismes de frustration relative expliquent bien l'impact personnellement ressenti, alors qu'ils n'ont pratiquement aucun effet sur la perception globale des inégalités sociales. A l'inverse, cette dernière est bien expliquée par l'adhésion à des valeurs. Le registre global d'appréhension des inégalités est donc principalement dépendant d'orientations idéologiques, tandis que le registre personnel est exclusivement dépendant de la position des individus dans la stratification sociale.
  • La perception des inégalités en France.

    Olivier GALLAND, Yannick LEMEL, Alexandra FRENOD
    Revue européenne des sciences sociales | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • L'égalité, une passion française ?

    Michel FORSE, Olivier GALLAND, Caroline GUIBET LAFAYE, Maxime PARODI
    2013
    La société française traverse une crise économique majeure. Entre un chômage de « longue durée », pour les uns, et des revenus mirifiques pour les autres, les inégalités sont exacerbées. La « passion insatiable pour l’égalité », qu’Alexis de Tocqueville associait chez les peuples démocratiques à leur « goût naturel pour la liberté », serait émoussée.Un tel constat mérite d’être questionné, car l’égalité n’est pas qu’une simple affaire d’arithmétique. Loin des jugements hâtifs, cet ouvrage montre, au contraire, que les Français ne cèdent pas à la facilité démagogique. Leurs souhaits sont aussi éloignés d’une pure méritocratie que d’un égalitarisme absolu. Certes, leur confiance est affectée par les difficultés actuelles, mais ils tiennent bon sur les principes de justice sociale.Dès lors, comment les inégalités sociales sont-elles perçues ? Quels principes de justice sont convoqués pour les juger ? Et quelles améliorations sont souhaitées ? Fondé sur un sondage représentatif et une série d’entretiens qualitatifs approfondis, cet ouvrage présente et analyse les réponses des Français à ces interrogations.
  • Parlons jeunesse en 30 questions.

    Olivier GALLAND
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • L'égalité, une passion française ?

    Michel FORSE, Olivier GALLAND, Caroline GUIBET LAFAYE, Maxime PARODI, Raymond BOUDON
    2013
    La société française traverse une crise économique majeure. Entre un chômage de "longue durée", pour les uns, et des revenus mirifiques pour les autres, les inégalités sont exacerbées. La "passion insatiable pour l'égalité", qu'Alexis de Tocqueville associait chez les peuples démocratiques à leur "goût naturel pour la liberté", serait émoussée. Un tel constat mérite d'être questionné, car l'égalité n'est pas qu'une simple affaire d'arithmétique. Loin des jugements hâtifs, cet ouvrage montre, au contraire, que les Français ne cèdent pas à la facilité démagogique. Leurs souhaits sont aussi éloignés d'une pure méritocratie que d'un égalitarisme absolu. Certes, leur confiance est affectée par les difficultés actuelles, mais ils tiennent bon sur les principes de justice sociale. Dès lors, comment les inégalités sociales sont-elles perçues ? Quels principes de justice sont convoqués pour les juger ? Et quelles améliorations sont souhaitées ? Fondé sur un sondage représentatif et une série d'entretiens qualitatifs approfondis, cet ouvrage présente et analyse les réponses des Français à ces interrogations [4ème de couv.].
  • L'égalité, une passion française ?

    Michel FORSE, Olivier GALLAND, Caroline GUIBET LAFAYE, Raymond BOUDON
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • L'autonomie des jeunes : questions politiques et sociologiques sur les mondes étudiants.

    Vincenzo CICCHELLI, Olivier GALLAND
    2013
    La 4e de couverture indique : "L'autonomie contrariée des jeunes est la question la plus discutée des politiques publiques relatives à cet âge de la vie en France. En s'attachant à reconstruire l'évolution des débats publics et des préconisations administratives depuis une vingtaine d'années, en procédant à des comparaisons européennes, en exploitant une large littérature sociologique consacrée à cette question, cet ouvrage analyse conjointement la condition des jeunes et des étudiants. Si de forts clivages séparent désormais ces deux jeunesses, les mêmes paradoxes les caractérisent. Autonomes plus précocement et dépendants plus longuement, les jeunes demandent à pouvoir maîtriser leurs destins, tout en formulant des attentes fortes de soutien. Leur long processus d'acquisition de l'autonomie et leur intégration sociale se réalisent désormais par la médiation des adultes (parents, enseignants et autres professionnels), censés accompagner, souvent par l'intermédiaire de dispositifs institutionnels, aussi bien les jeunes scolarisés que ceux qui sont en difficulté d'insertion.".
  • La machine à trier : comment la France divise sa jeunesse.

    Pierre CAHUC, Olivier GALLAND, Andre ZYLBERBERG, Stephane CARCILLO
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • L'environnement scolaire, quels effets sur les aspirations "individuelles" ? : le cas de l'entrée dans l"enseignement supérieur.

    Nadia NAKHILI, Marie DURU BELLAT, Georges SOLAUX, Georges FELOUZIS, Olivier GALLAND
    2007
    L’objet de cette recherche est d’analyser les différences d’aspirations et de choix d’orientation à l’entrée dans l’enseignement supérieur. Il s’agit plus particulièrement de déterminer dans quelle mesure les choix « individuels », qui ne sont pas sans incidence sur la construction des inégalités scolaires, dépendent du contexte de scolarisation. En effet, puisque le caractère diversifié des contextes de scolarisation n’est, en France, plus à démontrer, la première partie de ce travail invite, sur la base des travaux issus de la sociologie de l’éducation et de la littérature anglo-saxonne, à considérer les dimensions contextuelles comme pouvant être à l’origine des choix scolaires et des aspirations. Cette question, non explorée en France, pour ce palier d’orientation, a donc été l’objet du travail empirique de la deuxième partie qui a reposé principalement sur un couplage des données du Panel 95 de la DEP et des données IPES ainsi que sur une enquête originale menée auprès d’étudiants. Au terme d’analyses quantitatives multivariées il est mis en évidence que l’environnement scolaire constitue un facteur jouant de manière significative sur les aspirations des lycéens (probabilité d’envisager un type de cursus plutôt qu’un autre et durée des études envisagée). L’environnement scolaire joue de manière significative sur les choix d’études des jeunes à caractéristiques scolaires comparables et à origine sociale donnée. L’effet contextuel mis en évidence est de double nature : agissent conjointement la composition sociale de l’établissement et l’offre locale d’enseignement supérieur (principalement la présence dans l’établissement d’une CPGE). Dans de nombreux cas de figure, les effets cumulés de l’environnement scolaire sont au moins d’importance égale à ceux connus de l’origine sociale individuelle auxquels ils se cumulent. Au total, les préférences des individus, situées dans des contextes inégaux ne sont pas insensibles à l’organisation du système éducatif.
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