Raman Uppal, professeur de finance à l’Edhec Business School de Londres, a présenté ses derniers travaux sur l’impact de certaines régulations financières instaurées après la crise de 2008, au cours d’une matinale, organisée par l’EIFR et l’Institut Louis Bachelier, le 1er juin dernier.

Près de dix ans après le début de la plus grave crise financière depuis celle de 1929, certaines interrogations demeurent concernant les conséquences des mesures imposées par des régulateurs nationaux pour stabiliser les marchés financiers et améliorer les perspectives économiques.

Identifier les bénéfices et les inconvénients des régulations financières

De fait, quels sont les apports concrets de la taxe sur les transactions financières décidées en France en 2012 ? Quelles ont été les conséquences de l’interdiction des ventes à découvert sur certaines valeurs espagnoles ou italiennes la même année ? Quid de la proposition visant à limiter les effets de levier ?

Les réponses à ces questions permettraient pourtant d’alimenter le débat public et d’orienter les futures régulations des marchés financiers vers les solutions les plus adéquates.

Justement, le dernier article de recherche co-écrit par Raman Uppal – intitulé « The Intended and Unintended Consequences of Financial-Market Regulations: A General Equilibrium Analysis » – développe une modélisation pour cerner les effets des trois mesures évoquées précédemment.

Téléchargez la présentation complète de Raman Uppal, en cliquant ici.  

Pour aller plus loin, consultez l’intégralité de l’article de recherche en le téléchargeant.