GONAND Frederic

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Affiliations
  • 2014 - 2018
    Laboratoire d'économie de Dauphine
  • 2014 - 2018
    Laboratoire d'économie de dauphine
  • 2014 - 2018
    Théorie économique, modélisation et applications
  • 2014 - 2017
    Université Paris-Dauphine
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2007
  • Inégalité intergénérationnelle et recyclage d’une taxe sarbone.

    Frederic GONAND
    Revue économique | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Impacts de la production décentralisée d'électricité sur les réseaux de distribution : une typologie statistique des pays européens.

    Darius CORBIER, Frederic GONAND, Marie BESSEC
    Environmental Modeling & Assessment | 2018
    Le développement de sources d'énergie décentralisées à partir de sources d'énergies renouvelables a eu des conséquences considérables pour les gestionnaires de réseaux de distribution au cours de la dernière décennie en Europe. Notre article compare, dans 23 pays européens, l'impact du développement des énergies renouvelables sur les caractéristiques physiques des réseaux de distribution d'électricité et sur leurs investissements. Il s'appuie sur un large éventail de bases de données d'indicateurs quantitatifs concernant la dynamique de la capacité installée des ressources d'énergie renouvelable et la production d'électricité à partir de celles-ci, l'indépendance de l'électricité, la qualité de la distribution d'électricité, les investissements dans les réseaux intelligents, les dépenses d'investissement des gestionnaires de réseaux, la longueur des réseaux de distribution, les coûts globaux des réseaux électriques payés par les agents privés et les pertes d'électricité, le tout en relation avec le développement de la production décentralisée. L'hétérogénéité de ces indicateurs en Europe semble être importante, notamment en raison de contraintes physiques, d'héritages historiques ou de choix politiques et réglementaires. Une analyse en grappes permet de dégager six groupes de pays qui présentent des caractéristiques statistiquement homogènes. Nos résultats peuvent fournir aux décideurs et aux régulateurs un outil leur permettant de se concentrer sur les principaux problèmes spécifiques à leurs pays par rapport à la médiane européenne, et de rechercher des solutions possibles dans l'expérience d'autres groupes qui se révèlent plus performants pour certains indicateurs.
  • Impacts dynamiques sur la croissance et effets intergénérationnels de la transition énergétique dans une période de consolidation fiscale.

    Frederic GONAND
    2017
    Les planificateurs sociaux de la plupart des pays occidentaux seront confrontés à deux défis de longue haleine au cours des prochaines années : la transition énergétique et l'assainissement budgétaire. L'un des problèmes est que les gouvernements pourraient considérer que la mise en œuvre d'une transition énergétique pourrait faire obstacle à la réalisation d'un assainissement budgétaire. Si tel est le cas, l'interruption de la transition énergétique en période d'assainissement budgétaire aurait des répercussions globales importantes sur l'activité et des effets redistributifs intergénérationnels. Cet article tente de les évaluer empiriquement. Il s'appuie sur un cadre de générations imbriquées dans un contexte d'équilibre général, avec un module énergétique détaillé. Le modèle est paramétré sur des données fournies par l'OCDE/AIE pour la France. Différents résultats émergent. Renoncer à la transition énergétique favoriserait légèrement le niveau du PIB au cours des 10 à 15 prochaines années - en fonction de la dynamique des prix des combustibles fossiles sur les marchés mondiaux - mais pèserait sur lui de manière plus significative par la suite (jusqu'à -1% en 2050). Si les prix des combustibles fossiles continuent d'augmenter à l'avenir, la mise en œuvre d'une transition énergétique pourrait avoir globalement les mêmes effets favorables sur le niveau du PIB à long terme que ceux d'une consolidation fiscale diminuant sensiblement les dépenses publiques au lieu d'augmenter les impôts. À long terme, le PIB serait maximisé en mettant en œuvre une transition énergétique et en réduisant simultanément le déficit public en diminuant certaines dépenses publiques, une politique qui entraînerait un gain global d'environ 1,6 % du PIB en 2050. L'arrêt de la transition énergétique entraînerait également des problèmes intergénérationnels. Il serait préjudiciable au bien-être intertemporel de presque toutes les cohortes vivant en 2010. Une politique fiscale prévoyant une baisse des dépenses publiques et un gel des taux d'imposition pourrait être encore plus favorable aux jeunes et aux générations futures que la mise en œuvre d'une transition énergétique. Toutefois, le renoncement à une transition énergétique annihilerait la plupart de ces effets favorables aux jeunes.
  • La réforme de l’EU ETS dans le Paquet Energie Climat 2030 : Premières leçons à partir du modèle ZEPHYR.

    Frederic GONAND, Christian DE PERTHUIS, Raphael TROTIGNON
    2017
    La Commission a publié le 22 janvier ses propositions en vue du futur « Paquet énergie - climat 2030 » qui seront soumises au Conseil européen des 20 et 21 mars prochain. Elles évoquent la création d’une « réserve de stabilité » pour le marché européen du CO².
  • Encourager les énergies renouvelables et recycler une taxe sur le carbone : Effets redistributifs agrégés et intergénérationnels conjoints.

    Frederic GONAND
    2017
    Une part croissante d'énergies renouvelables dans le mix énergétique fait augmenter le prix moyen de l'énergie, tout comme une taxe carbone. Cependant, la première favorise l'accumulation de capital, alors que la seconde, si elle est entièrement recyclée, ne le fait pas. Ainsi, en équilibre général, les effets sur la croissance et le bien-être intertemporel de ces deux politiques environnementales diffèrent. Le présent article évalue et compare ces effets. Il s'appuie sur un modèle d'équilibre général calculable avec des générations qui se chevauchent, un module énergie et un module finances publiques. Le principal résultat est qu'une part croissante d'énergies renouvelables dans le mix énergétique et une taxe carbone entièrement recyclée ont des impacts opposés (bien que limités) sur l'activité et le bien-être intertemporel des individus à long terme. Le recyclage d'une taxe sur le carbone favorise la consommation et l'offre de travail, et donc la croissance et le bien-être, alors que l'augmentation de la part des énergies renouvelables ne le fait pas. Les résultats suggèrent également qu'une part plus importante d'énergies renouvelables et une taxe sur le carbone recyclée ont des effets redistributifs intergénérationnels, la première étant relativement préjudiciable aux jeunes générations et la seconde étant favorable aux jeunes. L'implication politique est qu'un planificateur social cherchant à modifier la structure du mix énergétique tout en atteignant une certaine neutralité en ce qui concerne le PIB et en déclenchant une certaine équité intergénérationnelle en faveur des jeunes, pourrait utilement envisager la mise en œuvre conjointe d'objectifs quantitatifs plus élevés pour le développement futur des énergies renouvelables et d'une taxe sur le carbone entièrement recyclée par des taxes proportionnelles plus faibles.
  • La taxe carbone, le vieillissement et les déficits des retraites.

    Frederic GONAND
    Environmental Modeling & Assessment | 2016
    Le vieillissement augmente le revenu d'une taxe carbone ceteris paribus puisque la consommation d'énergie augmente avec l'âge, comme le montrent les données macro et micro. Le vieillissement augmente également certaines dépenses publiques, notamment celles des systèmes de retraite par répartition (PAYG). Par conséquent, il peut être intéressant de recycler une taxe carbone dans un contexte de vieillissement afin de financer les dépenses publiques liées au vieillissement. Cet article étudie les effets interactifs d'un tel recyclage sur l'équité intergénérationnelle et la croissance. Il s'appuie sur un modèle d'équilibre général à générations imbriquées paramétré avec des données empiriques. Plusieurs résultats émergent. La mise en œuvre d'une taxe carbone entièrement recyclée par des pensions forfaitaires plus élevées pèse relativement plus sur le bien-être intertemporel des jeunes et des générations futures. Une taxe carbone entièrement recyclée par une baisse des cotisations sociales finançant le système par répartition améliore le bien-être des jeunes et des générations futures mais pèse sur le bien-être des baby-boomers et des cohortes plus âgées. Les effets redistributifs du recyclage d'une taxe carbone peuvent dépendre de manière significative de la manière utilisée pour équilibrer le régime PAYG.
  • La taxe carbone, le vieillissement et les déficits des retraites.

    Frederic GONAND
    Environmental Modeling & Assessment | 2015
    Le vieillissement augmente le revenu d'une taxe carbone ceteris paribus puisque la consommation d'énergie augmente avec l'âge, comme le montrent les données macro et micro. Le vieillissement augmente également certaines dépenses publiques, notamment celles des systèmes de retraite par répartition (PAYG). Par conséquent, il peut être intéressant de recycler une taxe carbone dans un contexte de vieillissement afin de financer les dépenses publiques liées au vieillissement. Cet article étudie les effets interactifs d'un tel recyclage sur l'équité intergénérationnelle et la croissance. Il s'appuie sur un modèle d'équilibre général à générations imbriquées paramétré avec des données empiriques. Plusieurs résultats émergent. La mise en œuvre d'une taxe carbone entièrement recyclée par des pensions forfaitaires plus élevées pèse relativement plus sur le bien-être intertemporel des jeunes et des générations futures. Une taxe carbone entièrement recyclée par une baisse des cotisations sociales finançant le système par répartition améliore le bien-être des jeunes et des générations futures mais pèse sur le bien-être des baby-boomers et des cohortes plus âgées. Les effets redistributifs du recyclage d'une taxe carbone peuvent dépendre de manière significative de la manière utilisée pour équilibrer le régime PAYG.
  • Le "deuxième dividende" et la structure démographique.

    Frederic GONAND, Pierre andre JOUVET
    Journal of Environmental Economics and Management | 2015
    La structure démographique d'un pays influence l'activité économique. Le "second dividende" modifie la croissance. Par conséquent, en équilibre général, le second dividende et la structure démographique sont interdépendants. Ce papier vise à évaluer empiriquement le "second dividende" dans un cadre dynamique, empirique et intertemporel qui permet de mesurer son impact sur la croissance, ses effets redistributifs intergénérationnels et son interaction avec la structure démographique. L'article utilise un modèle d'équilibre général avec des générations qui se chevauchent, un module énergétique et un module de finances publiques qui distingue les dépenses publiques non liées au vieillissement et un régime de retraite. Les scénarios politiques comparent les conséquences de différents scénarios de recyclage d'une taxe carbone par le biais d'impôts proportionnels sur le revenu plus faibles plutôt que par des dépenses publiques forfaitaires plus élevées. Ils sont calculés pour deux pays aux démographies différentes (France et Allemagne). Les résultats suggèrent que la magnitude du "second dividende" est significativement liée à la structure démographique. Plus la structure démographique est concentrée sur les cohortes ayant un revenu et un taux d'épargne élevés, plus l'effet du second dividende sur l'offre de capital est fort. Le second dividende pèse sur le bien-être des cohortes de travailleurs relativement âgés. Il favorise le bien-être des jeunes cohortes de travailleurs et des générations futures. Plus la structure démographique est concentrée sur les cohortes de travailleurs âgés, plus les effets redistributifs intergénérationnels du deuxième dividende sont élevés.
  • La réforme des retraites : son effet sur la croissance et ses conséquences redistributives.

    Frederic GONAND, Philippe MONGIN, Pierre PESTIEAU, Pierre PICARD, David de LA CROIX, Didier BLANCHET, Florence LEGROS, Bertrand WIGNIOLLE
    2007
    Pas de résumé disponible.
  • Essais sur la réforme des retraites , son impact sur la croissance et ses effets redistributifs.

    Frederic GONAND
    2007
    Cette thèse analyse empiriquement les effets macroéconomiques de différentes réformes des retraites par répartition et leurs conséquences redistributives. Dans un modèle d'équilibre général avec générations imbriquées, le critère de l'effet sur la croissance permet d'écarter le choix d'une hausse des cotisations sociales comme levier exclusif de la réforme. Cependant il ne permet pas de départager, notamment en France, des scénarios aussi différents qu'une hausse de l'âge effectif de départ en retraite liée à l'espérance de vie ou une baisse du taux de remplacement avec âge de la retraite inchangé, qui permettraient chacun de soutenir le taux de croissance annuel moyen futur du PIB par tête d'environ 0.2% par rapport au scénario d'augmentation des prélèvements obligatoires. La prise en compte des conséquences redistributives devient décisive pour le choix de la réforme. Un gel de l'âge de la retraite alimente un conflit intergénérationnel entre actifs alors qu'une augmentation de cet âge répartit le coût en bien-être de la réforme plus également entre les actifs. Un planificateur utilitariste avec aversion modérée à l'inégalité intergénérationnelle privilégie ainsi l'âge effectif de la retraite comme principal levier d'une réforme. Les réformes avec hausse de l'âge de la retraite modèrent aussi les effets de redistribution selon le niveau de revenu par rapport aux réformes avec âge de la retraite inchangé. Enfin, la prise en compte des effets des réformes sur le bien-être des bas revenus (carrières incomplètes, éligibles au minimum vieillesse) peut infléchir le choix du paramètre d'ajustement (taux de cotisations sociales ou de remplacement) accompagnant une hausse de l'âge de la retraite. Au total, cette thèse incite à privilégier, en France, une hausse de l'âge de la retraite d'un peu plus d'une année par décennie, accompagnée d'un repli contenu du taux de remplacement moyen de 0.5 point de pourcentage par an sur les vingt prochaines années.
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