FAYOLLE Alain

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Thématiques des productions
Affiliations
  • 2013 - 2019
    Centre d'études et de recherches appliquées a la gestion
  • 2012 - 2019
    emlyon business school
  • 2013 - 2019
    Centre d’Etudes et de Recherches Appliquées à la Gestion
  • 2015 - 2016
    Centre de recherche et de documentation des Amériques
  • 1995 - 1996
    Université Jean Moulin Lyon 3
  • 2021
  • 2020
  • 2019
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2014
  • 2013
  • 2012
  • 2011
  • 2010
  • 2008
  • 2007
  • 1996
  • À la recherche de méthodes qualitatives créatives pour relever les défis actuels de la recherche en entrepreneuriat.

    Martine HLADY RISPAL, Alain FAYOLLE, William b. GARTNER
    Journal of Small Business Management | 2021
    Pas de résumé disponible.
  • L'impact de l'éducation en entrepreneuriat au prisme de son évaluation : pour une approche multidimensionnelle de l'efficacité de l'éducation en entrepreneuriat.

    Sandrine LE PONTOIS, Alain FAYOLLE, Berangere DESCHAMPS, Alain FAYOLLE, Jean pierre BECHARD, Saulo DUBARD BARBOSA, Martine HLADY RISPAL, Sylvie SAMMUT
    2020
    Au vu des ressources engagées et des fortes attentes de ses différentes parties prenantes, l’éducation en entrepreneuriat (EE) est évaluée sur sa capacité à produire sur les étudiants des impacts attendus. Ces derniers restent cependant difficiles à saisir car multidimensionnels, diffus et différés dans le temps. Ce travail doctoral s’inscrit dans la veine de recherche constituée autour de la compréhension des impacts de l’EE pour améliorer son efficacité en enseignement supérieur. En complément des travaux de recherche précédents sur les objectifs (‘pourquoi’, ‘pour quels résultats’), les contenus (‘quoi’), les méthodes (‘comment’) et les cibles privilégiées de l’EE (‘pour qui’), notre étude ajoute trois autres dimensions à prendre en compte pour évaluer l’impact d’un dispositif d’EE et son efficacité perçue par les différentes parties prenantes de l’écosystème entrepreneurial : ‘où’, ‘par qui’ et ‘dans quelle dynamique temporelle’. Notre thèse sur articles trouve des applications théoriques et managériales pour les Sciences de Gestion concernant i/ le travail en équipe, ii/ les liens entre les environnements éducatif et d’affaires et l’apprentissage entrepreneurial, iii/ le développement professionnel des enseignants en entrepreneuriat et iv/ la conception de cadres d’évaluation de l’impact des dispositifs d’EE et de leur efficacité. En effet, les résultats issus de nos cinq articles liés aux huit dimensions constitutives de l’EE identifiées contribuent à l’élaboration d’un modèle intégratif de l’évaluation de l’impact de l’EE. Ce modèle permet d’accompagner à la conception, gestion et évaluation systématique et efficace de dispositifs d’EE existants ou nouveaux, dans l’ensemble des dimensions considérées comme pertinentes par l’ensemble des parties prenantes.
  • Projet d'entreprise.

    Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Modèles efficaces d'enseignement de l'entrepreneuriat dans le domaine des sciences, des technologies et de l'ingénierie : recherche actuelle et future.

    Alain FAYOLLE, Wadid LAMINE, Sarfraz MIAN, Phillip PHAN
    The Journal of Technology Transfer | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • L'entrepreneur sans entraves : Les déterminants professionnels de l'effort entrepreneurial.

    Catherine LAFFINEUR, Saulo DUBARD BARBOSA, Alain FAYOLLE, Benjamin MONTMARTIN
    Journal of Business Venturing | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • Le rôle des entités matériellement hétérogènes dans le réseau entrepreneurial.

    Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE, Sarah JACK, Janice BYRNE
    Industrial marketing management | 2019
    Peu de chercheurs ont examiné empiriquement la dynamique des réseaux humains-non humains et leur importance pour les résultats stratégiques, en particulier dans le domaine de l'entrepreneuriat. Dans cet article, nous utilisons la théorie de l'acteur-réseau pour observer et étudier le rôle des entités matériellement hétérogènes dans le réseau entrepreneurial. S'appuyant sur les résultats d'une étude multi-cas de quatre ans, cet article décrit comment un réseau entrepreneurial, au-delà de sa nature sociale, est également une constellation socio-matérielle. Le traitement symétrique des acteurs humains et non-humains nous permet de nous éloigner de la figure de l'entrepreneur héroïque. Nos résultats révèlent différents rôles que l'hétérogénéité des réseaux d'acteurs peut jouer dans le processus entrepreneurial. Nous voyons d'une part leur pouvoir d'attirer et de recruter de nouveaux alliés lorsqu'ils sont alignés sur la vision de l'entrepreneur, et d'autre part leur capacité à repousser et à bloquer le processus de création de nouvelles entreprises lorsqu'ils ne parviennent pas à traduire efficacement ce que l'entrepreneur a en tête.
  • Biaisé et trop confiant, non biaisé mais fonceur : Comment le cadrage et l'ancrage affectent la décision de lancer une nouvelle entreprise.

    Saulo DUBARD BARBOSA, Alain FAYOLLE, Brett r. SMITH
    Journal of Business Venturing | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Le rôle des entités matériellement hétérogènes dans le réseau entrepreneurial.

    Alain FAYOLLE, Janice BYRNE, Wadid LAMINE, Sarah JACK
    Industrial Marketing Management | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • PME et entrepreneuriat à l'ère de la mondialisation : avancées et approches théoriques.

    Francisco LINAN, Justin PAUL, Alain FAYOLLE
    Small Business Economics | 2019
    Les universitaires étudient depuis longtemps les petites et moyennes entreprises (PME) et reconnaissent la nécessité pour les PME de postuler des stratégies pour être compétitives et réussir sur le marché mondial. Dans l'environnement commercial ultra-concurrentiel actuel, les PME sont confrontées à plusieurs défis internes et externes. Dans cette introduction au numéro spécial (SI), nous passons en revue les modèles et cadres théoriques de ce courant de recherche et exposons certaines questions de recherche qui pourraient être potentiellement utilisées dans des recherches futures en cette ère de mondialisation. Les six articles sélectionnés pour figurer dans ce SI analysent ce domaine sous différents angles, offrant des aperçus intéressants sur la situation actuelle de la recherche dans ce domaine, ainsi que de nouveaux résultats pertinents et des perspectives pour la recherche future.
  • Les PME et l'esprit d'entreprise à l'ère de la mondialisation : avancées et approches théoriques.

    Francisco LINAN, Justin PAUL, Alain FAYOLLE
    Small Business Economics | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Le rôle et l'impact de l'éducation à l'entrepreneuriat : méthodes, enseignants et programmes innovants.

    Alain FAYOLLE, Dafna KARIV, Harry MATLAY
    2019
    Ce volume édité vise à combler les lacunes persistantes de la recherche et des praticiens en matière de théorie et de pratique de l'enseignement de l'entrepreneuriat, ainsi que de sa relation avec les principales parties prenantes. En 16 chapitres ciblés, rédigés par des autorités internationales de premier plan dans ce domaine, il propose des cadres conceptuels nouveaux et innovants, des orientations de recherche et des études de cas illustratives.
  • L’opportunité entrepreneuriale au cœur d’un processus de réflexion et d’action.

    Jean michel DEGEORGE, Alain FAYOLLE, Kathleen RANDERSON
    Recherches en sciences de gestion | 2018
    Parmi les interrogations qui persistent sur l’opportunité entrepreneuriale (Shane, 2012 . Venkataraman et al., 2012 . Alvarez et al., 2013), certaines concernent le style cognitif de l’entrepreneur (Cardon et al., 2009) et son processus de décision (Sarasvathy, 2001). L’identification d’une opportunité est souvent associée à un style cognitif analytique alors même qu’un individu peut par ailleurs être guidé par son intuition et un processus de décision effectual afin de construire une opportunité. Avec une étude qualitative auprès de neuf entreprises, nous étudions le lien éventuel entre le processus de formation de l’opportunité (identification ou construction), le style cognitif de l’entrepreneur (intuitif ou analytique) et le processus de décision mis en œuvre (causal ou effectual). Nos résultats montrent que la relation n’est pas systématique et que l’industrie et la position de l’entreprise sur le secteur d’activité sont déterminantes.
  • Mécanismes d'incubation d'entreprises technologiques et développement régional durable.

    Wadid LAMINE, Sarfraz MIAN, Alain FAYOLLE, Mike WRIGHT, Magnus KLOFSTEN, Henry ETZKOWITZ
    The Journal of Technology Transfer | 2018
    Cet article présente divers aspects des incubateurs d'entreprises technologiques (TBI), en soulignant leur rôle croissant dans le contexte spatial où ils sont utilisés comme plateformes et moteurs des écosystèmes entrepreneuriaux régionaux. Il expose les thèmes clés du rôle émergent des TBI dans le développement régional durable : TBI biodiversité des écosystèmes. accélération des startups dans l'université entrepreneuriale. Les mécanismes des TBI mis au défi par les technologies vertes pour soutenir le développement régional. et le rôle de connexion des TBI entre l'enseignement de l'entrepreneuriat, les connaissances expérientielles et le développement régional. Il propose un programme de recherches futures sur le rôle des TBI en tant que mécanismes de liaison et moteurs de l'entrepreneuriat et du développement régional.
  • L’entrepreneuriat par nécessité et par opportunité : essai de compréhension dans le contexte burkinabè.

    Nongaineba benjamin ZOUMBA, Florence ALLARD POESI, Didier CHABAUD, Gerard KOENIG, Florence ALLARD POESI, Didier CHABAUD, Walid NAKARA, Alain FAYOLLE, Ababacar MBENGUE
    2018
    L’entrepreneuriat de nécessité/opportunité revêt des enjeux scientifiques et pratiques importants en particulier dans les pays en développement. Cette thèse étudie les processus motivationnels des entrepreneurs de nécessité et d’opportunité.La recherche vise à comprendre dans le temps, les motivations de nécessité et d’opportunité des entrepreneurs durant le processus de démarrage. L’analyse des recherches sur le contenu et des recherches sur le processus des motivations de nécessité/opportunité souligne l’intérêt d’adopter une perspective processuelle dans l’étude du phénomène. L’étude empirique s’inscrit dès lors dans une perspective interprétative et mobilise une méthodologie qualitative longitudinale. Huit entrepreneurs du Burkina Faso ont été suivis à travers des entretiens approfondis sur une période de 15 mois. Les résultats indiquent d’abord que les outils de mesure de type GEM ne saisissent pas toujours pertinemment le phénomène des motivations de nécessité/opportunité. Ils montrent ensuite que durant le processus de démarrage, des phases motivationnelles de nécessité/mixité/opportunité transitent vers des phases de nature différente. Ils suggèrent enfin que les transitions motivationnelles sont sous-tendues par l’apparition/disparition de raisons relatives à l’environnement, à l’individu, aux résultats et aux actions. Ces résultats appellent à nuancer la dichotomie opérée entre les deux types d’entrepreneuriat, cette dichotomie apparaissant finalement instable pour les entrepreneurs étudiés. Ils interpellent également les politiques publiques d’accompagnement excluant les entrepreneurs de nécessité et suggèrent de prévoir des formes d’accompagnement flexibles afin qu’elles s’adaptent aux besoins des entrepreneurs dans le temps.
  • L’instrumentation des processus de « Découverte entrepreneuriale » dans le cadre des Stratégies de Recherche et d’Innovation pour la Spécialisation Intelligente (RIS3) : proposition d’une plateforme collaborative et d’une méthodologie de « matching » entre « Entrepreneurs Régionaux » pour favoriser les échanges dans les zones intermédiaires du système d'innovation régional de la Nouvelle-Aquitaine.

    Jeremie FAHAM, Jeremy LEGARDEUR, Iban LIZARRALDE, Yves DUCQ, Mikel NAVARRO ARANCEGUI, Eric BLANCO, Alain FAYOLLE, Christophe SCHMITT
    2018
    Depuis 2014, la Commission Européenne incite les régions de ses états-membres à établir un nouveau type de stratégies de développement territoriales devant les pousser à se spécialiser dans des domaines qui sont ancrés sur leur territoire afin de dégager des avantages concurrentiels originaux et difficilement imitables : les « Stratégies de Recherche et d’Innovation pour la Spécialisation Intelligente » (RIS3). Depuis 2014, les RIS3 conditionnent également l’obtention des fonds FEDER qui servent à financer le développement de ces régions. Mais la principale originalité des RIS3 réside dans le fait que ces processus de sélection et de priorisation des spécialisations qui s’établissent à l’échelle globale des régions selon une dynamique décisionnelle classique qui va « du haut vers le bas » doivent désormais reposer sur des processus d'identification des domaines à fort potentiel qui doivent être menés « du bas vers le haut » via un processus de Découverte Entrepreneuriale (DE) devant permettre à un maximum d’« Entrepreneurs régionaux » (RE) (de toutes tailles, statuts ou secteurs) de participer à la définition des orientations de leur territoire. Cependant, un certain manque de préconisations méthodologiques se fait ressentir pour instrumenter concrètement ces processus au sein des réalités de chaque système d’innovation régional. Cette thèse présente donc deux prototypes logiciels que nous avons développés pour instrumenter ces mécanismes bidirectionnels au sein du système d’innovation de la Nouvelle-Aquitaine : (1) « WeKeyInnovation, une plateforme collaborative qui doit permettre à tous les RE de partager des informations utiles pour innover, mais aussi de poser les bases d’un véritable observatoire dynamique pour aider la puissance publique régionale à identifier en temps réel les pratiques, les besoins et les initiatives à fort potentiel émanant des acteurs de terrain qui évoluent sur le territoire . (2) « DialoJ », un outil de matching en ligne reposant sur la résolution de questions dialogiques en amont d’évènements afin d’aider les RE qui entendent y participer à expliciter leurs expectatives et à mieux visualiser celles des autres acteurs dans le but de faciliter les processus d’identification et de correspondance avec des partenaires d’affaires potentiels plus adéquats en tant qu’étape préliminaire à toute démarche d’affaires collaborative.
  • L’opportunité entrepreneuriale au cœur d’un processus de réflexion et d’action.

    Jean michel DEGEORGE, Alain FAYOLLE, Kathleen RANDERSON
    Recherches en Sciences de Gestion | 2018
    Pas de résumé disponible.
  • Institutionnalisation de la recherche en entrepreneuriat.

    Alain FAYOLLE, Hans LANDSTROM, William b. GARTNER, Karin BERGLUND
    2018
    L'institutionnalisation de l'entrepreneuriat est indéniablement une bonne chose pour les membres de la communauté de recherche, car elle implique la légitimation de sujets et de pratiques de recherche particuliers. l'émergence de normes pour le développement et la publication de cette recherche. et la création de structures qui offrent des opportunités d'emploi et un environnement propice à la poursuite de la recherche. Cependant, nous pouvons également nous demander si cette institutionnalisation est une si bonne chose lorsqu'il s'agit de produire une recherche critique, innovante, contextualisée et complexe ou lorsqu'elle est considérée du point de vue des parties prenantes non académiques de l'entrepreneuriat et de la société en général. L'objectif de cet ouvrage est de remettre en question les principaux courants de recherche, théories, méthodes, épistémologies, hypothèses et croyances qui dominent le domaine de l'entrepreneuriat. Afin d'atteindre cet objectif, ce livre comprend six contributions conceptuelles et empiriques, chacune peu orthodoxe, controversée, inspirante et stimulante. Ce livre a été publié à l'origine comme un numéro spécial de Entrepreneurship and Regional Development.
  • La commercialisation des technologies universitaires par le biais de projets de nouvelles entreprises : une évaluation du programme français d'incubateurs régionaux.

    Zouhaier M'CHIRGUI, Wadid LAMINE, Sarfraz MIAN, Alain FAYOLLE
    The Journal of Technology Transfer | 2018
    Cet article évalue la performance d'un programme d'incubateur d'entreprises technologiques, établi par le gouvernement français pour soutenir les nouvelles entreprises scientifiques et technologiques innovantes (NSTBF) qui cherchent à commercialiser les résultats de la recherche en laboratoire. Avec une vue basée sur les ressources et une approche institutionnelle, cette étude prédit pourquoi certains incubateurs peuvent être plus efficaces que d'autres pour soutenir le développement des NSTBF. Un ensemble de données longitudinales originales représente les résultats d'un programme d'incubateurs publics, financé suite à l'adoption d'une loi française de 1999 sur l'innovation et la recherche. Les résultats se réfèrent à un échantillon de 25 incubateurs actifs et à leurs 1200 nouvelles entreprises diplômées. Cette étude contribue à la littérature sur l'incubation d'entreprises en montrant l'importance des différentes ressources de l'incubateur pour aider les projets NSTBF. Elle fournit ainsi un retour d'information utile et opportun pour les chercheurs et les décideurs politiques.
  • L’opportunité entrepreneuriale au cœur d’un processus de réflexion et d’action.

    Jean michel DEGEORGE, Alain FAYOLLE, Kathleen RANDERSON
    Recherches en sciences de gestion | 2018
    Parmi les interrogations qui persistent sur l’opportunité entrepreneuriale (Shane, 2012 . Venkataraman et al., 2012 . Alvarez et al., 2013), certaines concernent le style cognitif de l’entrepreneur (Cardon et al., 2009) et son processus de décision (Sarasvathy, 2001). L’identification d’une opportunité est souvent associée à un style cognitif analytique alors même qu’un individu peut par ailleurs être guidé par son intuition et un processus de décision effectual afin de construire une opportunité. Avec une étude qualitative auprès de neuf entreprises, nous étudions le lien éventuel entre le processus de formation de l’opportunité (identification ou construction), le style cognitif de l’entrepreneur (intuitif ou analytique) et le processus de décision mis en œuvre (causal ou effectual). Nos résultats montrent que la relation n’est pas systématique et que l’industrie et la position de l’entreprise sur le secteur d’activité sont déterminantes.
  • L'institutionnalisation de l'esprit d'entreprise.

    Alain FAYOLLE, Hans LANDSTROM, William b. GARTNER, Karin BERGLUND
    Institutionalization of Entrepreneurship Research | 2018
    Pas de résumé disponible.
  • Recherche sur l'esprit d'entreprise dans les entreprises familiales.

    Cristina BETTINELLI, Salvatore SCIASCIA, Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    Journal of Small Business Management | 2017
    Cet article est le premier d'un numéro spécial de la JSBM sur l'entrepreneuriat dans les entreprises familiales, c'est-à-dire les activités et les attitudes entrepreneuriales au niveau de l'entreprise qui se produisent lorsqu'une famille est considérablement impliquée dans une organisation établie. Nous fournissons une revue systématique de la littérature de 109 articles écrits sur cette question croissante, basée sur un cadre qui met en évidence les antécédents, les résultats et les processus de l'entrepreneuriat dans les entreprises familiales. Nous offrons également un bref aperçu des contributions de chacun des articles de ce numéro et nous concluons en esquissant un programme de recherche pour les activités futures dans ce domaine d'enquête.
  • Rôle et impact de l'environnement sur l'apprentissage entrepreneurial.

    Olivier TOUTAIN, Alain FAYOLLE, Luke PITTAWAY, Diamanto POLITIS
    Entrepreneurship and Regional Development | 2017
    Cet article présente une vue d'ensemble de la littérature consacrée à l'apprentissage entrepreneurial et, plus particulièrement, des recherches qui introduisent des éléments environnementaux dans l'étude du processus d'apprentissage entrepreneurial. Ensuite, il montre comment chacun des quatre articles de recherche sélectionnés dans le numéro spécial contribue à améliorer notre connaissance de la complexité du processus d'apprentissage vis-à-vis des processus entrepreneuriaux placés dans leur contexte. Ce faisant, il s'efforce d'expliquer le contexte spécifique de chaque contribution et de présenter le contexte plus large. Enfin, l'article suggère un ensemble de défis clés et de voies de recherche qui pourraient être explorés à l'avenir.
  • Éditorial : L'entrepreneuriat hybride : Quelles nouvelles ?

    Bernard SURLEMONT, Alain FAYOLLE, Imelda VITAL
    Entreprendre & Innover | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • L'impact de la formation à l'entrepreneuriat dans l'enseignement supérieur : une revue systématique et un programme de recherche.

    Ghulam NABI, Francisco LINAN, Alain FAYOLLE, Norris f. KRUEGER, Andreas WALMSLEY
    Academy of Management Learning & Education | 2017
    En utilisant un cadre de modèle d'enseignement, nous examinons systématiquement les preuves empiriques de l'impact de l'enseignement de l'entrepreneuriat (EE) dans l'enseignement supérieur sur une série de résultats d'apprentissage, en analysant 159 articles publiés de 2004 à 2016. Le cadre du modèle d'enseignement nous permet pour la première fois de commencer à examiner rigoureusement les relations entre les méthodes pédagogiques et les résultats spécifiques. Confirmant à nouveau les analyses et méta-analyses antérieures, nous constatons que la recherche sur l'impact de l'EE se concentre encore principalement sur des mesures de résultats subjectives et à court terme et tend à sous-décrire gravement les pédagogies réelles testées. De plus, nous utilisons notre revue pour fournir un appel à jour et empiriquement fondé pour des directions moins évidentes, mais très prometteuses, nouvelles ou sous-estimées pour la recherche future sur l'impact de la formation universitaire en entrepreneuriat. Cela inclut, par exemple, l'utilisation de nouveaux indicateurs d'impact liés à l'émotion et à l'état d'esprit, la concentration sur les indicateurs d'impact liés à la transition de l'intention au comportement, et l'exploration des raisons de certains résultats contradictoires dans les études d'impact, y compris les modérateurs spécifiques à la personne, au contexte et au modèle pédagogique.
  • Le financement public des programmes de création d'entreprises, un investissement rentable ?

    Saulo DUBARD BARBOSA, Catherine LAFFINEUR, Alain FAYOLLE
    Entreprendre & Innover | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Modes de pensée dans les études sur l'intention entrepreneuriale : A Collective Intelligence Perspective.

    Michela LOI, Emanuele CASTRIOTTA, Saulo BARBOSA, Maria chiara DI GUARDO, Alain FAYOLLE, Francisco LINAN
    Academy of Management Proceedings | 2017
    Pas de résumé disponible.
  • Rôle et impact de l'environnement sur l'apprentissage entrepreneurial.

    Olivier TOUTAIN, Alain FAYOLLE, Luke PITTAWAY, Diamanto POLITIS
    Entrepreneurship & Regional Development | 2017
    Cet article présente une vue d'ensemble de la littérature consacrée à l'apprentissage entrepreneurial et, plus particulièrement, des recherches qui introduisent des éléments environnementaux dans l'étude du processus d'apprentissage entrepreneurial. Ensuite, il montre comment chacun des quatre articles de recherche sélectionnés dans le numéro spécial contribue à améliorer notre connaissance de la complexité du processus d'apprentissage vis-à-vis des processus entrepreneuriaux placés dans leur contexte. Ce faisant, il tente d'expliquer le contexte spécifique de chaque contribution et de présenter le contexte plus large. Enfin, l'article suggère un ensemble de défis clés et de voies de recherche qui pourraient être explorés à l'avenir.
  • L'impact de la formation à l'entrepreneuriat dans l'enseignement supérieur : A Systematic Review and Research Agenda.

    Ghulam NABI, Francisco LINAN, Alain FAYOLLE, Norris KRUEGER, Andreas WALMSLEY
    Academy of Management Learning & Education | 2017
    En utilisant un cadre de modèle d'enseignement, nous examinons systématiquement les preuves empiriques de l'impact de l'enseignement de l'entrepreneuriat (EE) dans l'enseignement supérieur sur une série de résultats d'apprentissage, en analysant 159 articles publiés de 2004 à 2016. Le cadre du modèle d'enseignement nous permet pour la première fois de commencer à examiner rigoureusement les relations entre les méthodes pédagogiques et les résultats spécifiques. Confirmant à nouveau les analyses et méta-analyses antérieures, nous constatons que la recherche sur l'impact de l'EE se concentre encore principalement sur des mesures de résultats subjectives et à court terme et tend à sous-décrire gravement les pédagogies réelles testées. De plus, nous utilisons notre revue pour fournir un appel à jour et empiriquement fondé pour des directions moins évidentes, mais très prometteuses, nouvelles ou sous-estimées pour la recherche future sur l'impact de la formation universitaire en entrepreneuriat. Cela inclut, par exemple, l'utilisation de nouveaux indicateurs d'impact liés à l'émotion et à l'état d'esprit, la concentration sur les indicateurs d'impact liés à la transition de l'intention au comportement, et l'exploration des raisons de certains résultats contradictoires dans les études d'impact, y compris les modérateurs spécifiques à la personne, au contexte et au modèle pédagogique.
  • Orientations stratégiques complémentaires et microentreprises familiales dans une économie émergente.

    Chemi TSERING, Isabelle GUERRERO, Leo paul DANA, Isabelle GUERRERO, Leo paul DANA, Mattias NORDQVIST, Alain FAYOLLE, Mattias NORDQVIST, Alain FAYOLLE
    2017
    Cette thèse s'efforce de comprendre l'impact de multiples orientations stratégiques sur la performance de l'entreprise micro-familiale dans un contexte d’économie en développement, en trois phases distinctes. Tout d'abord, nous avons posé la question de savoir si les micro-entrepreneurs familiaux améliorent leur performance en développant simultanément des activités axées sur l'entrepreneuriat et sur le marché. Nous avons également étudié si ces orientations stratégiques complémentaires sur la performance sont favorisées par le capital social, sous forme de liens commerciaux et sociaux. En outre, nous avons soulevé une question sur l’effet de l’intervention de la famille sur la performance dans le contexte de multiples orientations stratégiques. L'étude initiale a fourni un thème de recherche fécond sur l'entreprise familiale dans un environnement institutionnel. Nous avons montré que les micro-entreprises familiales optimisent leurs performances commerciales en investissant dans des niveaux plus élevés d'orientation entrepreneuriale et commerciale. En outre, le processus de socialisation avec l’environnement commercial augmente la performance grâce aux effets combinés des orientations entrepreneuriale et de marché dans un contexte d’économies émergentes. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l'étude a révélé que la performance des entreprises augmente lorsque les deux orientations sont élevées, mais seulement lorsque l'engagement familial est faible. Ce résultat a permis d'améliorer la connaissance que l’on a de l'influence de la famille sur l'élaboration de comportements stratégiques pour atteindre une meilleure performance. L'étude subséquente, examine et révèle le côté sombre et lumineux de la famille en relation avec des stratégies d'orientation entrepreneuriale et de marché et son impact sur la performance. L'étude quantitative finale contredit la recherche antérieure révélant l'importance des capacités familiales dans le soutien des comportements à risque pour accroître la richesse familiale dans un contexte émergent.
  • Etude de la formation des opportunités entrepreneuriales en Tunisie.

    Haithem CHAABOUNI, Alain FAYOLLE, Younes BOUJELBENE, Jean pierre BOISSIN, Jameleddine ZIADI, Emile michel HERNANDEZ
    2017
    L’objectif de cette thèse est d’apporter de nouveaux éclairages théoriques et empiriques sur la formation des opportunités entrepreneuriales. Pour mieux comprendre ce phénomène, nous avons mobilisé deux principales approches, l’approche de la découverte et l’approche de la création des opportunités. Une étude quantitative basée sur un questionnaire a été menée auprès d’entrepreneurs tunisiens afin de déterminer les facteurs de formation de l’opportunité entrepreneuriale. Les résultats montrent que dans le contexte tunisien, la découverte des opportunités est dominante étant donné que l’écosystème entrepreneurial tunisien ne favorise pas l’innovation et la création des opportunités. Ce travail de recherche contribue à la connaissance des pratiques de l’entrepreneuriat et des modes d’accompagnement des entrepreneurs.
  • Modes de pensée dans les études sur l'intention entrepreneuriale : A Collective Intelligence Perspective.

    Michela LOI, Emanuele CASTRIOTTA, Saulo BARBOSA, Maria chiara DI GUARDO, Alain FAYOLLE, Francisco LINAN
    Academy of Management Proceedings | 2017
    Le concept d'intelligence collective soutient l'idée que la coexistence de différentes perspectives est une condition nécessaire pour qu'un système complexe s'adapte à l'environnement et conserve sa vitalité. Transposant cette hypothèse à une communauté scientifique, nous enquêtons sur le domaine des études sur l'intention entrepreneuriale et examinons sa dynamique interne en identifiant les pratiques pertinentes pour mener des recherches. Plus précisément, nous effectuons une analyse bibliométrique hybride pour découvrir 68 articles constituant la base de connaissances du champ et 83 articles représentant ses fronts de recherche. Cette analyse est complétée par un codage analytique de chaque article selon le cadre d'intelligence collective proposé par Woolley et Fuchs (2011). Nous trouvons à la fois une perspective convergente et divergente. la première orientée vers la clarification et la délimitation des concepts, des théories et des contextes. la seconde intéressée par l'ouverture de nouvelles voies. Cependant, une perspective réflexive qui remet en question les hypothèses du champ pour reformuler les orientations et les objectifs généraux fait encore défaut. Nos résultats suggèrent un ensemble de priorités à prendre en compte dans l'intérêt d'orienter les recherches futures.
  • Recherche sur l'esprit d'entreprise dans les entreprises familiales.

    Kathleen RANDERSON, Cristina BETTINELLI, Salvatore SCIASCIA, Alain FAYOLLE
    Journal of Small Business Management | 2017
    Cet article est le premier d'un numéro spécial de la JSBM sur l'entrepreneuriat dans les entreprises familiales, c'est-à-dire les activités et les attitudes entrepreneuriales au niveau de l'entreprise qui se produisent lorsqu'une famille est considérablement impliquée dans une organisation établie. Nous fournissons une revue systématique de la littérature de 109 articles écrits sur cette question croissante, basée sur un cadre qui met en évidence les antécédents, les résultats et les processus de l'entrepreneuriat dans les entreprises familiales. Nous offrons également un bref aperçu des contributions de chacun des articles de ce numéro et nous concluons en esquissant un programme de recherche pour les activités futures dans ce domaine d'enquête.
  • L'impact de la formation à l'entrepreneuriat dans l'enseignement supérieur : une revue systématique et un programme de recherche.

    Ghulam NABI, Francisco LINAN, Alain FAYOLLE, Norris f. KRUEGER, Andreas WALMSLEY
    Academy of Management Learning & Education | 2017
    En utilisant un cadre de modèle d'enseignement, nous examinons systématiquement les preuves empiriques de l'impact de l'enseignement de l'entrepreneuriat (EE) dans l'enseignement supérieur sur une série de résultats d'apprentissage, en analysant 159 articles publiés de 2004 à 2016. Le cadre du modèle d'enseignement nous permet pour la première fois de commencer à examiner rigoureusement les relations entre les méthodes pédagogiques et les résultats spécifiques. Confirmant à nouveau les analyses et méta-analyses antérieures, nous constatons que la recherche sur l'impact de l'EE se concentre encore principalement sur des mesures de résultats subjectives et à court terme et tend à sous-décrire gravement les pédagogies réelles testées. De plus, nous utilisons notre revue pour fournir un appel à jour et empiriquement fondé pour des directions moins évidentes, mais très prometteuses, nouvelles ou sous-estimées pour la recherche future sur l'impact de la formation universitaire en entrepreneuriat. Cela inclut, par exemple, l'utilisation de nouveaux indicateurs d'impact liés à l'émotion et à l'état d'esprit, la concentration sur les indicateurs d'impact liés à la transition de l'intention au comportement, et l'exploration des raisons de certains résultats contradictoires dans les études d'impact, y compris les modérateurs spécifiques à la personne, au contexte et au modèle pédagogique.
  • Entrepreneuriat d'entreprise.

    Veronique BOUCHARD, Alain FAYOLLE
    2017
    Depuis son émergence au début des années 80, le thème de l'entrepreneuriat d'entreprise a gagné en pertinence en tant que sujet de recherche universitaire et dans le monde des affaires.
  • L'intention de mise en œuvre peut-elle aider à combler le fossé entre l'intention et le comportement dans le processus entrepreneurial ? Une approche expérimentale.

    Anne flore ADAM, Alain FAYOLLE
    International Journal of Entrepreneurship and Innovation | 2016
    Afin de comprendre ce qui déclenche l'action, les chercheurs étudient depuis des décennies l'intention et ses déterminants. Plus précisément, l'entrepreneuriat a été largement étudié à l'aide des modèles d'intention. Cependant, seuls quelques entrepreneurs intentionnels concrétisent leurs intentions en fin de compte. Pour preuve, la variance expliquée par l'intention entrepreneuriale dans le comportement réel est estimée à 37%. Le lien entre l'intention entrepreneuriale et le comportement a donc encore beaucoup à révéler, ce qui laisse un vide dans la littérature. Cet article rappelle tout d'abord la différence entre l'intention de but et l'intention de mise en œuvre et postule que les modèles d'intention se réfèrent en fait uniquement à l'intention de but. Comme il a été prouvé dans différents contextes qu'en automatisant les réponses des individus aux signaux anticipés, l'intention de mise en œuvre augmente la probabilité d'agir, nous proposons d'observer quel pourrait être le rôle de l'intention de mise en œuvre dans le lien entre intention et comportement entrepreneurial. L'originalité et la principale contribution de cette étude expérimentale est qu'il s'agit de la première tentative d'opérationnalisation de l'intention d'exécution sur un comportement aussi complexe. Même si l'expérience nous permet de faire des observations plus que des résultats statistiquement valides, elle ouvre la voie à davantage de recherches empiriques sur le sujet, et permet encore de suggérer quel pourrait être l'intérêt d'utiliser l'intention de mise en œuvre dans ce domaine. Elle devrait maintenant être testée à plus grande échelle pour être statistiquement fiable.
  • Formation des entrepreneurs d'entreprise : une approche d'apprentissage par l'action.

    Janice BYRNE, Frederic DELMAR, Alain FAYOLLE, Wadid LAMINE
    Small Business Economics | 2016
    Bien que la formation et le développement soient reconnus comme un moyen important de favoriser les entrepreneurs d'entreprise dans les organisations, les recherches existantes se sont principalement concentrées sur les efforts visant à développer les leaders entrepreneuriaux et à favoriser la création d'entreprises dans un cadre scolaire ou universitaire. Nous présentons les résultats d'une étude de cas inductive sur la formation à l'entrepreneuriat dans une grande entreprise multinationale. Nous explorons les résultats d'apprentissage dont les participants ont fait l'expérience, et décrivons comment une approche d'apprentissage par l'action a permis d'atteindre ces résultats d'apprentissage. Notre modèle émergent de formation à l'entrepreneuriat d'entreprise est basé sur une vision épisodique de la formation, reconnaissant que les influences individuelles, de groupe et situationnelles doivent être prises en compte si l'on veut développer une compréhension plus complète de ce qui constitue une formation efficace dans ce domaine.
  • En quête de légitimité : les fondements théoriques et méthodologiques de la recherche sur l'enseignement de l'entrepreneuriat.

    Alain FAYOLLE, Caroline VERZAT, Robert WAPSHOTT
    ISBJ, International Small Business Journal | 2016
    Cet éditorial discute de la recherche contemporaine sur l'éducation à l'entrepreneuriat et identifie la manière dont les trois articles composant ce numéro spécial contribuent à faire avancer les fondements théoriques et méthodologiques du domaine. Ce faisant, nous cherchons à décrire comment et pourquoi la recherche sur l'éducation à l'entrepreneuriat peut lutter pour sa légitimité, ainsi que les complexités du travail dans ce domaine. Ce numéro spécial soulève des questions sur la recherche en éducation à l'entrepreneuriat et, à travers les articles présentés, apporte des réponses. Ce numéro spécial, cependant, est présenté comme faisant partie d'une discussion continue sur la nature et le rôle de l'éducation à l'entrepreneuriat plus largement et est destiné à provoquer un engagement critique supplémentaire et à stimuler le développement théorique et méthodologique.
  • L'institutionnalisation de l'esprit d'entreprise.

    Alain FAYOLLE, Hans LANDSTROM, William GARTNER, Karin BERGLUND
    Entrepreneurship & Regional Development | 2016
    Dans cet article, nous identifions brièvement trois principaux défis/questions qui devraient être pris en considération dans l'institutionnalisation de la recherche en entrepreneuriat : (1) reconnaître la complexité du phénomène étudié. (2) produire des résultats de recherche intéressants, pertinents et utiles pour toutes les parties prenantes. et (3) développer une posture critique dans la recherche. Après la discussion de ces défis/questions, nous présentons les cinq contributions au numéro spécial qui, de différentes manières, problématisent et remettent en question la recherche et les approches dominantes. Ces articles utilisent des "discours de dissensus", appliquent des positions critiques, idéologiques et paradigmatiques et, dans certains cas, soulignent l'importance des facteurs contextuels.
  • Mécanismes d'incubation d'entreprises technologiques et développement régional durable.

    Wadid LAMINE, Sarfraz MIAN, Alain FAYOLLE, Mike WRIGHT, Magnus KLOFSTEN, Henry ETZKOWITZ
    The Journal of Technology Transfer | 2016
    Cet article présente divers aspects des incubateurs d'entreprises technologiques (IET), en soulignant leur rôle croissant dans le contexte spatial où ils sont utilisés comme plateformes et moteurs des écosystèmes entrepreneuriaux régionaux. Il expose les thèmes clés du rôle émergent des TBI dans le développement régional durable : TBI biodiversité des écosystèmes. accélération des startups dans l'université entrepreneuriale. Les mécanismes des TBI mis au défi par les technologies vertes pour soutenir le développement régional. et le rôle de connexion des TBI entre l'enseignement de l'entrepreneuriat, les connaissances expérientielles et le développement régional. Il propose un programme de recherches futures sur le rôle des TBI en tant que mécanismes de liaison et moteurs de l'entrepreneuriat et du développement régional.
  • Opportunités entrepreneuriales : Quelle est la place des styles cognitifs et des logiques d'action ?

    Kathleen RANDERSON, Jean michel DEGEORGE, Alain FAYOLLE
    International Journal of Entrepreneurship and Small Business | 2016
    L'objectif de cette étude qualitative est d'identifier comment les perceptions de l'entrepreneur sur la nature de l'opportunité (réalité objective/construction sociale) et son style cognitif (analytique/intuitif) influencent le processus de recherche d'opportunité (processus analytique/processus basé sur l'intuition). Nous constatons que si les alignements attendus (analyse/causation/opportunité objective versus intuition/effet/opportunité construite) apparaissent, ils ne sont pas systématiques, et que l'industrie de l'entreprise et la position dans le secteur sont déterminantes.
  • De l’intention au comportement entrepreneurial : dans quelles mesures les notions d’engagement et d’intention planifiée peuvent-elles faciliter le passage à l’acte ?

    Anne flore ADAM, Alain FAYOLLE, Jean pierre BOISSIN, Didier CHABAUD, Francisco LINAN
    2016
    Dans le but de comprendre ce qui pousse les entrepreneurs à agir, les chercheurs en entrepreneuriat utilisent depuis des décennies les modèles de l’intention dans leurs études. Les plus célèbres sont la Théorie de l’Action Planifiée d’Azjen et l’Evènement Entrepreneurial de Shapero et Sokol. Cependant, ces modèles restent perfectibles. En effet, ils partent du principe que l’intention est un bon prédicateur du comportement, alors que seules moins de la moitié des variations des comportements entrepreneuriaux sont explicables par l’intention. De plus, les modèles de l’intention se concentrent uniquement sur les antécédents de l’intention. La partie motivationnelle (le « pourquoi ») est donc couverte, mais la partie volitionnelle (le « comment ») est oubliée.Notre thèse, qui se compose de quatre travaux, a pour ambition de parer à ce manquement, dans le but de parfaire notre compréhension du processus entrepreneurial. Notre objectif est de mettre en lumière des facilitateurs qui permettraient de passer effectivement de l’intention à l’action. Nous relevons donc le défi de dévoiler en partie la boîte noire qui se trouve entre intention et comportement entrepreneurial. Nous avons sélectionné l’engagement et l’intention planifiée dans la littérature de socio-psychologie comme étant les chaînons manquants possibles, et nous les avons testés en contextes entrepreneuriaux.Ainsi, en se concentrant sur la partie volitionnelle, notre thèse complète les modèles de l’intention dans le but d’améliorer nos connaissances du processus entrepreneurial. Elle vise à servir les porteurs de projets, les politiques, les enseignants et les différents acteurs de suivi des entrepreneurs. En effet, tous peuvent utiliser ce que nous avons mis en lumière pour augmenter le taux de conversion de l’intention entrepreneuriale. Notre objectif est de manière générale de proposer de la matière nouvelle pour aider les porteurs de projets à concrétiser leurs intentions.Cependant, la taille de nos échantillons limite nos études empiriques à des études exploratoires. Nos résultats devront maintenant être confirmés de manière quantitative.
  • L'intention de mise en œuvre peut-elle aider à combler le fossé entre l'intention et le comportement dans le processus entrepreneurial ? Une approche expérimentale.

    Anne flore ADAM, Alain FAYOLLE
    The International Journal of Entrepreneurship and Innovation | 2016
    Afin de comprendre ce qui déclenche l'action, les chercheurs étudient depuis des décennies l'intention et ses déterminants. Plus précisément, l'entrepreneuriat a été largement étudié à l'aide des modèles d'intention. Cependant, seuls quelques entrepreneurs intentionnels concrétisent leurs intentions en fin de compte. Pour preuve, la variance expliquée par l'intention entrepreneuriale dans le comportement réel est estimée à 37%. Le lien entre l'intention entrepreneuriale et le comportement a donc encore beaucoup à révéler, ce qui laisse un vide dans la littérature. Cet article rappelle tout d'abord la différence entre l'intention de but et l'intention de mise en œuvre et postule que les modèles d'intention se réfèrent en fait uniquement à l'intention de but. Comme il a été prouvé dans différents contextes qu'en automatisant les réponses des individus aux signaux anticipés, l'intention de mise en œuvre augmente la probabilité d'agir, nous proposons d'observer quel pourrait être le rôle de l'intention de mise en œuvre dans le lien entre intention et comportement entrepreneurial. L'originalité et la principale contribution de cette étude expérimentale est qu'il s'agit de la première tentative d'opérationnalisation de l'intention d'exécution sur un comportement aussi complexe. Même si l'expérience nous permet de faire des observations plus que des résultats statistiquement valides, elle ouvre la voie à davantage de recherches empiriques sur le sujet, et permet encore de suggérer quel pourrait être l'intérêt d'utiliser l'intention de mise en œuvre dans ce domaine. Elle devrait maintenant être testée à plus grande échelle pour être statistiquement fiable.
  • "Unemployment, active labor market program and entrepreneurship".

    Catherine LAFFINEUR, Saulo DUBARD BARBOSA, Alain FAYOLLE, Emeran NZIALI
    Academy of Management Proceedings | 2016
    L'article examine l'importance des programmes actifs du marché du travail (PAMT) ciblant l'entrepreneuriat pour expliquer les différences entre pays dans le taux d'entrepreneuriat global. En utilisant les données GEM sur la période 2002-2013 pour 25 pays, les résultats suggèrent que les programmes d'incitation à la création d'entreprise sont un moteur important de l'entrepreneuriat de nécessité. Cependant, des allocations de chômage généreuses réduisent le résultat positif des PAMT sur le taux global d'entrepreneurs par nécessité. Comme les PAMT sont le principal déterminant des entrepreneurs par nécessité, nous constatons que les retombées économiques de ces programmes en termes de réduction du chômage sont limitées.
  • Formation d'entrepreneurs d'entreprise : une approche d'apprentissage par l'action.

    Janice BYRNE, Alain FAYOLLE, Frederic DELMAR, Wadid LAMINE
    Small Business Economics | 2016
    Bien que la formation et le développement soient reconnus comme un moyen important de favoriser les entrepreneurs d'entreprise dans les organisations, les recherches existantes se sont principalement concentrées sur les efforts visant à développer les leaders entrepreneuriaux et à favoriser la création d'entreprises dans un cadre scolaire ou universitaire. Nous présentons les résultats d'une étude de cas inductive sur la formation à l'entrepreneuriat d'entreprise dans une grande société multinationale. Nous explorons les résultats d'apprentissage dont les participants ont fait l'expérience, et décrivons comment une approche d'apprentissage par l'action a permis d'atteindre ces résultats d'apprentissage. Notre modèle émergent de formation à l'entrepreneuriat d'entreprise est basé sur une vision épisodique de la formation, reconnaissant que les influences individuelles, de groupe et situationnelles doivent être prises en compte si l'on veut développer une compréhension plus complète de ce qui constitue une formation efficace dans ce domaine.
  • Incubation d'entreprises technologiques : Un aperçu de l'état des connaissances.

    Sarfraz MIAN, Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE
    Technovation | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • L'institutionnalisation de l'entrepreneuriat : Remettre en question le statu quo et regagner de l'espoir pour la recherche en entrepreneuriat.

    Alain FAYOLLE, Hans LANDSTROM, William b. GARTNER, Karin BERGLUND
    Entrepreneurship and Regional Development | 2016
    Dans cet article, nous identifions brièvement trois principaux défis/questions qui devraient être pris en considération dans l'institutionnalisation de la recherche en entrepreneuriat : (1) reconnaître la complexité du phénomène étudié. (2) produire des résultats de recherche intéressants, pertinents et utiles pour toutes les parties prenantes. et (3) développer une posture critique dans la recherche. Après la discussion de ces défis/questions, nous présentons les cinq contributions au numéro spécial qui, de différentes manières, problématisent et remettent en question la recherche et les approches dominantes. Ces articles utilisent des "discours de dissensus", appliquent des positions critiques, idéologiques et paradigmatiques et, dans certains cas, soulignent l'importance des facteurs contextuels.
  • Éditorial : L'avenir des entreprises familiales : L'entrepreneuriat familial.

    Kathleen RANDERSON, Giovanna DOSSENA, Alain FAYOLLE
    Futures | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Une approche typologique de l’entrepreneuriat de nécessité.

    Christel TESSIER DARGENT, Alain FAYOLLE
    RIMHE : Revue Interdisciplinaire Management, Homme & Entreprise | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • La commercialisation des technologies universitaires par le biais de projets de nouvelles entreprises : une évaluation du programme français d'incubateurs régionaux.

    Zouhaier M'CHIRGUI, Wadid LAMINE, Sarfraz MIAN, Alain FAYOLLE
    The Journal of Technology Transfer | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Incertitude du marché du travail et perspectives de carrière : La compétence dans les cours d'entrepreneuriat.

    Olivier TOUTAIN, Alain FAYOLLE
    Competence-based Vocational and Professional Education | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • L'| Intrapreneuriat.

    Olivier BASSO, Alain FAYOLLE, Olivier WITMEUR
    Entreprendre | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Processus entrepreneurial et réseaux sociaux : une perspective dynamique.

    Alain FAYOLLE, Sarah JACK, Wadid LAMINE, Didier CHABAUD
    2016
    L'entrepreneuriat est incontestablement un processus social et la création d'une entreprise nécessite à la fois la mobilisation de réseaux sociaux et l'utilisation de capital social. Ce livre comble le fossé qui existe entre la nécessité de prendre ces facteurs en considération et la compréhension de la manière dont les relations de réseau se développent et se transforment tout au long du processus d'entreprise. Les contributions d'experts de premier plan dans ce domaine illustrent la manière dont les réseaux sociaux évoluent au fil des étapes de la création d'entreprise, en s'appuyant sur des études réalisées dans différentes régions du monde. En offrant une compréhension globale, ils soulignent le rôle des réseaux formels créés au sein des professions et des entreprises. Ils examinent également l'impact du contexte, y compris les institutions familiales et celles qui varient à l'échelle internationale, qui peuvent aider les entrepreneurs à accéder aux ressources et aux compétences utiles à leurs projets. L'ouvrage conclut en soulignant les différents défis de la recherche : quelles théories sont utiles à nos efforts et quelles nouvelles méthodes peuvent être utilisées pour comprendre la dynamique du processus de création d'entreprise ? Dynamique et éminemment pratique, ce livre sera précieux pour les chercheurs et les étudiants qui étudient le processus entrepreneurial et l'impact des réseaux sociaux. Il s'avérera également un outil utile pour aider les entrepreneurs à optimiser le développement de leurs réseaux et à mieux gérer leurs processus entrepreneuriaux.
  • Incubation d'entreprises technologiques : un aperçu de l'état des connaissances.

    Sarfraz MIAN, Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE
    Technovation | 2016
    Cet article présente l'incubation technologique d'entreprises (TBI) comme un domaine d'étude et de pratique, en explorant le concept, son évolution et la recherche. Les parcs scientifiques, les incubateurs et les accélérateurs sont des mécanismes de TBI considérés comme des outils politiques importants pour soutenir l'innovation et la croissance entrepreneuriale axée sur la technologie. Leur popularité repose sur la conviction que ces mécanismes fournissent des apports à valeur ajoutée essentiels à la création et au développement d'entreprises technologiques innovantes. Toutefois, la détermination du type de mécanismes et de politiques de TBI les plus propices à l'obtention des résultats souhaités est en grande partie dictée par la mission et le contexte. Un examen de la littérature sur l'incubation des trois dernières décennies, des pratiques émergentes et des tendances futures révèle que, malgré le débat en cours sur leur contribution et leurs défis, l'avenir des TBI est prometteur et les possibilités de recherche sont nombreuses.
  • L'utilisation et les apports des réseaux formels d'entrepreneurs : propositions théoriques et évaluation : le cas du CJD La Défense.

    Vincent LEFEBVRE, Anne MARCHAIS ROUBELAT, Mohamed BAYAD, Yvon PESQUEUX, Regis DUMOULIN, Alain FAYOLLE, Didier CHABAUD
    2016
    Notre thèse s'inscrit dans un contexte français marqué par l'augmentation des réseaux d'entrepreneurs, dont on connaît encore peu le fonctionnement et les bénéfices, la recherche en entrepreneuriat s'intéressant davantage au réseau personnel de l'entrepreneur au détriment de l'analyse des réseaux fermés d'entrepreneurs. Pourtant, leur importance pour la construction et la consolidation du capital social des membres a été soulignée ces dernières années. L'objectif de notre thèse est de proposer un cadre théorique et méthodologique permettant d'évaluer les apports des réseaux formels d'entrepreneurs dans une perspective de capital social. A partir des contributions récentes relatives au réseau de l'entrepreneur, au capital social généré par l'activité de réseautage et à la communauté de pratique, nous présentons un cadre théorique permettant d'étudier les flux de conseils, d'opportunités d'affaires et de ressources tangibles circulant dans les réseaux formels d'entrepreneurs, ainsi que la création de valeur perçue pour les membres. Une méthodologie de recherche mixte (questionnaire sociométrique et entretiens semi-directifs) est mobilisée pour étudier cette problématique dans le cadre du Centre des Jeunes Dirigeants La Defense. Sur l'ensemble des neuf propositions formulées à partir de notre modèle de recherche, quatre sont entièrement validées, deux confirmées partiellement et trois infirmées. Nos résultats indiquent que la position structurale dans le réseau, le contenu et les bénéfices perçus de l'activité de réseautage varient selon le profil des membres (le profil d'entrepreneur, défini sur la base de l'expérience entrepreneuriale et le profil de réseauteur, défini sur la base de l'expérience de réseautage). Nous présentons les implications théoriques, méthodologiques et pratiques de notre recherche pour l'étude des réseaux formels d'entrepreneurs et leur utilisation par les membres.
  • La vigilance entrepreneuriale : les antécédents liés au sommeil du dirigeant de PME.

    Florence GUILIANI, Olivier TORRES, Karim MESSEGHEM, Olivier TORRES, Karim MESSEGHEM, Alain FAYOLLE, Gilles GUIEU, Yves DAUVILLIERS, Adriaan roy THURIK, Alain FAYOLLE, Gilles GUIEU
    2016
    Le concept de vigilance entrepreneuriale introduit par Kirzner (1973) joue un rôle clé dans le processus de détection d’opportunités d’affaires. Depuis les travaux conduits par l’école autrichienne, ce concept a été largement développé et a soulevé un certain nombre de questionnements par les chercheurs. L’approche cognitive a permis d’apporter quelques éléments de réponses en affinant le concept. En s’inspirant des travaux initiaux de Kirzner (1973, 1989) et de ceux de l’approche cognitiviste, Tang et al. (2012) ont proposé une nouvelle définition plus intégratrice. Ces auteurs ont modélisé et opérationnalisé la vigilance entrepreneuriale autour de trois dimensions : la veille et la recherche d’informations, la capacité à faire des associations et des connexions entre les informations, et celle de les évaluer et de les juger. La question des antécédents potentiels de la vigilance entrepreneuriale restait en suspens (Valliere, 2013). En réponse à la remarque de Valliere (2013) et aux besoins de connaissances et de statistiques du champ de la santé entrepreneuriale, nous avons étudié les effets du sommeil sur ce processus. À cet effet, la théorie de l’attention a permis de faire des liens entre les champs de l’entrepreneuriat et du sommeil. Afin de répondre à la problématique, une posture positiviste, associée à un mode de raisonnement hypothético-déductif, a été adoptée. Treize hypothèses de recherche ont été proposées à partir desquelles le modèle conceptuel a été construit. Afin de le valider, une étude quantitative en coupe instantanée de deux mois a été conduite auprès de dirigeants de PME. À l’issue de cette enquête, 238 questionnaires ont été récoltés. Ces derniers ont été analysés par la méthode des équations structurelles basée sur les moindres carrés partiels (PLS). Les résultats soulignent l’importance du sommeil dans le maintien des capacités cognitives, attentionnelles et entrepreneuriales pour un dirigeant de PME.
  • Processus entrepreneurial et réseaux sociaux.

    Alain FAYOLLE, Sarah JACK, Wadid LAMINE, Didier CHABAUD
    2016
    L'entrepreneuriat est incontestablement un processus social et la création d'une entreprise nécessite à la fois la mobilisation de réseaux sociaux et l'utilisation de capital social. Ce livre comble le fossé qui existe entre la nécessité de prendre ces facteurs en considération et la compréhension de la manière dont les relations de réseau se développent et se transforment tout au long du processus d'entreprise. Les contributions d'experts de premier plan dans ce domaine illustrent la manière dont les réseaux sociaux évoluent au fil des étapes de la création d'entreprise, en s'appuyant sur des études réalisées dans différentes régions du monde. En offrant une compréhension globale, ils soulignent le rôle des réseaux formels créés au sein des professions et des entreprises. Ils examinent également l'impact du contexte, y compris les institutions familiales et celles qui varient à l'échelle internationale, qui peuvent aider les entrepreneurs à accéder aux ressources et aux compétences utiles à leurs projets. L'ouvrage conclut en soulignant les différents défis de la recherche : quelles théories sont utiles à nos efforts et quelles nouvelles méthodes peuvent être utilisées pour comprendre la dynamique du processus de création d'entreprise ? Dynamique et éminemment pratique, ce livre sera précieux pour les chercheurs et les étudiants qui étudient le processus entrepreneurial et l'impact des réseaux sociaux. Il s'avérera également un outil utile pour aider les entrepreneurs à optimiser le développement de leurs réseaux et à mieux gérer leurs processus entrepreneuriaux.
  • Une approche typologique de l’entrepreneuriat de nécessité.

    Christel TESSIER DARGENT, Alain FAYOLLE
    RIMHE, Revue Interdisciplinaire Management, Homme & Entreprise | 2016
    Les entrepreneurs par nécessité sont considérés comme « des individus poussés à la création d’entreprise car ils ne perçoivent pas de meilleure alternative d’emploi » (Cowling, Bygrave, 2003, p.544). Ils sont opposés, dans une dichotomie communément acceptée, aux entrepreneurs par opportunité, à savoir ceux qui poursuivent une opportunité d’affaires qu’ils ont identifiée ou créée.[.].
  • Une revue systématique de la littérature sur les intentions entrepreneuriales : citation, analyses thématiques et programme de recherche.

    Francisco LINAN, Alain FAYOLLE
    International Entrepreneurship and Management Journal | 2015
    L'intention entrepreneuriale est un domaine de recherche qui évolue rapidement. Un nombre croissant d'études utilisent l'intention entrepreneuriale comme un cadre théorique puissant. Cependant, une partie importante de cette recherche manque de systématisation et de catégorisation, et il semble y avoir une tendance à recommencer à zéro avec chaque étude. Il est donc nécessaire de faire le point sur les connaissances actuelles dans ce domaine. Dans ce sens, cet article effectue une revue de la littérature sur les intentions entrepreneuriales. Un total de 409 articles traitant de l'intention entrepreneuriale, publiés entre 2004 et 2013 (inclus), ont été analysés. L'objectif et la contribution de cet article sont d'offrir une image plus claire des sous-domaines de la recherche sur l'intention entrepreneuriale, en se concentrant sur deux aspects. Premièrement, il passe en revue les recherches récentes au moyen d'une analyse des citations afin de catégoriser les principaux domaines de spécialisation qui attirent actuellement l'attention de la communauté universitaire. Deuxièmement, une analyse thématique est effectuée pour identifier les thèmes spécifiques faisant l'objet de recherches au sein de chaque catégorie. Malgré le grand nombre de publications et leur diversité, la présente étude identifie cinq domaines de recherche principaux, plus une sixième catégorie supplémentaire pour un certain nombre de nouveaux articles de recherche qui ne peuvent être facilement classés dans les cinq domaines. Au sein de ces catégories, jusqu'à vingt-cinq thèmes différents sont reconnus. Un certain nombre de lacunes dans la recherche sont identifiées dans chacun de ces domaines de spécialisation, afin d'induire de nouvelles voies et perspectives dans le domaine de la recherche sur l'intention entrepreneuriale qui pourraient être utiles pour combler ces lacunes.
  • Un pas de plus ? Towards a process view of social networks in entrepreneurship.

    Wadid LAMINE, Sarah JACK, Alain FAYOLLE, Didier CHABAUD
    Entrepreneurship and Regional Development | 2015
    Un défi crucial pour les chercheurs en entrepreneuriat est la nécessité de développer une meilleure compréhension de (1) comment, quand et pourquoi les réseaux entrepreneuriaux émergent, se développent et changent au fil du temps et (2) comment l'évolution des réseaux a un impact sur la trajectoire entrepreneuriale. Ce numéro spécial de Entrepreneurship & Regional Development commence à relever ces défis en présentant une série de travaux actuels qui améliorent notre compréhension de la dynamique des réseaux sociaux au cours du processus entrepreneurial. Nous commençons par relier ce numéro spécial à certains des principaux défis du domaine de l'entrepreneuriat. A partir de là, nous proposons une perspective intégrative nécessaire pour faire avancer la réflexion. Nous résumons ensuite comment les divers articles présentés dans ce numéro spécial contribuent à ouvrir davantage le champ de recherche et nous aident à mieux comprendre les défis auxquels les chercheurs en entrepreneuriat sont confrontés. Nous concluons cet article par des leçons et des suggestions pour des recherches futures.
  • L'entrepreneuriat familial comme champ de recherche : exploration de ses contours et de son contenu.

    Kathleen RANDERSON, Cristina BETTINELLI, Alain FAYOLLE, Alistair r. ANDERSON
    Journal of Family Business Strategy | 2015
    Cette note de recherche présente des éléments de réflexion sur les liens et les relations entre les domaines de la famille, de l'entreprise familiale et de l'entrepreneuriat. Bien que chaque domaine ait développé un important corpus de connaissances et que certains travaux aient été réalisés aux intersections, nous montrons que de nombreuses questions importantes restent sans réponse. Nous proposons d'abord un bref examen des principaux courants de recherche et des perspectives dans les domaines concernés, en mettant en lumière les contributions significatives et en soulignant certaines questions de recherche en suspens. Nous examinons ensuite l'intersection des trois domaines et proposons des recommandations sur la manière dont ils pourraient être étudiés. Nous proposons des théories, des perspectives, des méthodes, des positions épistémologiques ainsi que des questions intéressantes à approfondir.
  • Un projet éditorial à la croisée des mondes.

    Olivier TOUTAIN, Alain FAYOLLE, Bernard SURLEMONT, Caroline VERZAT, Dominique anne MICHEL
    Entreprendre & Innover | 2015
    La revue Entreprendre et Innover vient d’achever sa septième année d’existence en faisant son entrée dans le dernier classement des revues académiques en sciences de gestion établi par la FNEGE. Nous avons souhaité marquer cet anniversaire et cette reconnaissance en réalisant une courte pause, le temps de vous offrir ces deux numéros anniversaire, pour partager avec vous quelques temps forts [.].
  • La régénération stratégique de l'entreprise familiale : le cas des entreprises multigénérationnelles.

    Mariem HANNACHI, Didier CHABAUD, Sophie MIGNON, Alain BLOCH, Olivier GERMAIN, Alain FAYOLLE
    2015
    L'objet de la thèse est de comprendre comment et par quels mécanismes les entreprises familiales multi-générationnelles se régénèrent. Les recherches sur les entreprises familiales, et plus généralement dans l’entrepreneuriat, répondent à des débats qui ont émergé depuis quelques années. L'ancrage théorique vient de l'imbrication dans deux corpus théoriques rarement associés, l’entreprise familiale et la régénération stratégique. Le travail s’est focalisé spécialement sur l’entreprise familiale multi-générationnelle pour ce qu’elle offre comme potentiel d’étude de la dimension familiale et l’importance de l’aspect générationnel dans le comportement stratégique. De ce fait, certains concepts clés de la régénération stratégique ont émergé conduisant à la pérennité de l'entreprise familiale. Par une approche historique et narrative, nous avons analysé les processus de régénération stratégique dans quatre entreprises familiales centenaires. Les résultats obtenus ont permis de comprendre le rôle de la famille dans le processus de régénération stratégique et de proposer un modèle intégrateur de la régénération stratégique de l'entreprise familiale.
  • L'entrepreneuriat familial comme champ de recherche : Exploration de ses contours et de son contenu.

    Kathleen RANDERSON, Cristina BETTINELLI, Alain FAYOLLE, Alistair ANDERSON
    Journal of Family Business Strategy | 2015
    Cette note de recherche présente des éléments de réflexion sur les liens et les relations entre les domaines de la famille, de l'entreprise familiale et de l'entrepreneuriat. Bien que chaque domaine ait développé un important corpus de connaissances et que certains travaux aient été réalisés aux intersections, nous montrons que de nombreuses questions importantes restent sans réponse. Nous proposons d'abord un bref examen des principaux courants de recherche et des perspectives dans les domaines concernés, en mettant en lumière les contributions significatives et en soulignant certaines questions de recherche en suspens. Nous examinons ensuite l'intersection des trois domaines et proposons des recommandations sur la manière dont ils pourraient être étudiés. Nous proposons des théories, des perspectives, des méthodes, des positions épistémologiques ainsi que des questions intéressantes à approfondir.
  • Un pas de plus ? Towards a process view of social networks in entrepreneurship.

    Wadid LAMINE, Sarah JACK, Alain FAYOLLE, Didier CHABAUD
    Entrepreneurship & Regional Development | 2015
    Un défi crucial pour les chercheurs en entrepreneuriat est la nécessité de développer une meilleure compréhension de (1) comment, quand et pourquoi les réseaux entrepreneuriaux émergent, se développent et changent au fil du temps et (2) comment l'évolution des réseaux a un impact sur la trajectoire entrepreneuriale. Ce numéro spécial d'Entrepreneurship & Regional Development commence à relever ces défis en présentant une série de travaux actuels qui améliorent notre compréhension de la dynamique des réseaux sociaux au cours du processus entrepreneurial. Nous commençons par relier ce numéro spécial à certains des principaux défis du domaine de l'entrepreneuriat. A partir de là, nous proposons une perspective intégrative nécessaire pour faire avancer la réflexion. Nous résumons ensuite comment les divers articles présentés dans ce numéro spécial contribuent à ouvrir davantage le champ de recherche et nous aident à mieux comprendre les défis auxquels les chercheurs en entrepreneuriat sont confrontés. Nous concluons cet article par des leçons et des suggestions pour des recherches futures.
  • Bridging the entrepreneurial intention-behaviour gap : the role of commitment and implementation intention.

    Anne flore ADAM, Alain FAYOLLE
    International Journal of Entrepreneurship and Small Business | 2015
    Depuis les années 1980, de nombreux auteurs ont étudié le processus entrepreneurial en se basant sur les modèles d'intention développés dans la littérature sociopsychologique. Les déterminants de l'intention ont été définis, mais comme l'a montré Ajzen (1987), aucun lien direct n'a été établi entre l'intention et l'action : les intentions n'expliquent qu'environ 30% de la variance du comportement. Certains auteurs ont tenté de combler cette lacune, en se concentrant plus spécifiquement sur les facteurs environnementaux. Notre article s'inscrit dans la lignée des travaux de Shane et al. (2003), en étudiant les facteurs au niveau micro. S'appuyant sur la littérature sociopsychologique, il se concentre sur deux facteurs psychologiques qui peuvent expliquer pourquoi certaines personnes ayant des intentions entrepreneuriales agissent alors que d'autres ne le font pas. Comme il aborde le lien manquant entre l'intention et le comportement entrepreneuriaux à partir d'une approche sociopsychologique, la principale contribution de ce document théorique est d'améliorer notre connaissance du processus entrepreneurial, afin d'améliorer la formation et le soutien des entrepreneurs naissants.
  • Les questions de succession dans les entreprises familiales : Insights from Macedonia.

    Alain FAYOLLE, Veland RAMADANI, Shqipe GERGURI RASHITI, Egzona ALIU
    Family Businesses in Transition Economies | 2015
    L'objectif de ce chapitre du livre est de partager les conclusions relatives à la succession des entreprises familiales en République de Macédoine. Une enquête a été menée afin d'obtenir une meilleure image de la situation actuelle, des problèmes et des perspectives qui se présentent aux familles en matière de succession. Le questionnaire a été distribué aux propriétaires de plusieurs entreprises ainsi que par e-mail. Le questionnaire a été distribué à 140 entreprises, en fonction de la taille des villes.
  • Focus sur une étape cruciale et déterminante du cycle de vie : l’incubation.

    Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE, Servane DELANOE GUEGUEN
    Entreprendre & Innover | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Un projet éditorial à la croisée des mondes.

    Olivier TOUTAIN, Alain FAYOLLE, Caroline VERZAT, Bernard SURLEMONT, Dominique anne MICHEL
    Entreprendre & Innover | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • Quel apport de la théorie de l’acteur-réseau pour appréhender la dynamique de construction du réseau entrepreneurial ?

    Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE, Hela CHEBBI
    Management international | 2015
    Les travaux de recherche sur le réseau entrepreneurial ne cessent de croitre. Cependant les connaissances produites sur les dynamiques de construction de ce réseau en fonction du temps restent limitées. Ce constat est encore plus marqué pour tous ceux qui s’intéressent à l’étude de la phase ante création du processus entrepreneurial. En prenant comme fondement théorique de l’entrepreneuriat la conception de Bruyat (1993), les auteurs ont suivi pendant deux ans la formation progressive du réseau entrepreneurial. Ils ont mobilisé la théorie de l’acteur-réseau pour étudier cette dynamique dans une situation de création d’entreprise innovante.
  • L'entreprenariat féminin dans les économies en transition : Trends and Challenges.

    Veland RAMADANI, Shqipe GERGURI RASHITI, Alain FAYOLLE
    2015
    Female Entrepreneurship in Transition Economies explore différents sujets dans le domaine de l'entrepreneuriat féminin, tels que les facteurs de motivation des femmes entrepreneurs, les perspectives de carrière des femmes, les problèmes et les défis, la capacité d'innovation, la gestion des risques, les opportunités de financement, les entreprises sociales féminines, le tourisme et l'hospitalité, le soutien émotionnel et institutionnel des initiatives entrepreneuriales féminines et des petites entreprises dans la perspective de différents pays en transition. Ce livre représente une image complète de l'état actuel des questions relatives à l'entreprenariat féminin et, outre le contexte théorique, fournit une mosaïque de preuves empiriques qui sont très susceptibles d'offrir une vision plus claire de ce domaine du point de vue des pays en transition. L'étude est le résultat d'un travail de longue haleine et comprend des contributions d'universitaires et d'experts motivés des pays en transition et d'ailleurs, spécialement rédigées pour les besoins de ce livre.
  • L'orientation entrepreneuriale des PME à internationalisation rapide et logiques d'identification des opportunités d'exportation : cas des PME agro-industrielles au Maroc.

    Ahmed SABBARI, Alain FAYOLLE, Sidi mohamed RIGAR, Abdenbi LOUITRI, Abdelaziz ELABJANI, Hassan BELLIHI, Didier CHABAUD, Miruna RADU
    2015
    Hormis l'intérêt croissant que suscitent l'entrepreneuriat international et l'entrepreneuriat organisationnel comme nouvelles voies de réflexion, la recherche académique dans les deux champs ne semble pas suffisamment insister sur les processus et les dynamiques sous- jacentes de l'internationalisation rapide des PME et de la formation de leurs orientations entrepreneuriales (OE). La présente recherche se donne comme objectif de proposer une compréhension systémique des processus entrepreneuriaux de la PME à internationalisation rapide en plaçant la logique de identification des opportunités d'exportation au cœur de notre réflexion. Le travail s'achèvera par une modélisation qualitative expliquant le phénomène en question.La première partie de cette thèse est consacrée aux fondements théoriques de la recherche, abordant les concepts clés de notre cadre conceptuel. La deuxième partie aborde empiriquement la problématique de la recherche. Après une première analyse de contextualisation, sont présentés et analysés les résultats d'une étude de cas multiples, réalisées au sein de six jeunes PME exportatrices marocaines du secteur agro-industriel.La recherche met en évidence des vecteurs internes (connaissances, expériences et capital social) et des contraintes externes (nature de l'activité et caractéristiques du marché local) comme déterminants de l'internationalisation rapide des PME étudiées. Plus important encore, deux configurations différentes de l'OE sont décrites en relation avec deux logiques distinctes de identification des opportunités d'exportation (une logique de type causale et une autre de type effectuale).
  • Développer, façonner et faire croître l'esprit d'entreprise.

    Alain FAYOLLE, Paula KYRO, Francisco LINAN
    2015
    De nombreux facteurs entrent en jeu pour devenir un entrepreneur efficace. Le processus de reconnaissance des opportunités et de développement de nouvelles entreprises doit tenir compte à la fois de la pratique décisionnelle interne et de l'influence de l'environnement externe. Developing, Shaping and Growing Entrepreneurship examine le rôle joué par l'éducation, la recherche, le contexte et la stratégie pour aider à faire croître les projets entrepreneuriaux depuis la graine initiale d'une idée jusqu'à la réussite. Ce livre est un examen approfondi des influences sur l'activité entrepreneuriale qui pose également de nouvelles questions sur l'entrepreneuriat et ouvre de nouvelles voies de recherche. En tant que tel, il deviendra une lecture essentielle pour les chercheurs universitaires et les praticiens de l'entrepreneuriat.
  • Développer, façonner et faire croître l'esprit d'entreprise.

    Alain FAYOLLE, Paula KYRO, Francisco LINAN
    2015
    De nombreux facteurs entrent en jeu pour devenir un entrepreneur efficace. Le processus de reconnaissance des opportunités et de développement de nouvelles entreprises doit tenir compte à la fois de la pratique décisionnelle interne et de l'influence de l'environnement externe. Developing, Shaping and Growing Entrepreneurship examine le rôle joué par l'éducation, la recherche, le contexte et la stratégie pour aider à faire croître les projets entrepreneuriaux depuis la graine initiale d'une idée jusqu'à la réussite. Ce livre est un examen approfondi des influences sur l'activité entrepreneuriale qui pose également de nouvelles questions sur l'entrepreneuriat et ouvre de nouvelles voies de recherche. En tant que tel, il deviendra une lecture essentielle pour les chercheurs universitaires et les praticiens de l'entrepreneuriat.
  • Une revue systématique de la littérature sur les intentions entrepreneuriales : citation, analyses thématiques et programme de recherche.

    Francisco LINAN, Alain FAYOLLE
    International Entrepreneurship and Management Journal | 2015
    L'intention entrepreneuriale est un domaine de recherche qui évolue rapidement. Un nombre croissant d'études utilisent l'intention entrepreneuriale comme un cadre théorique puissant. Cependant, une partie importante de cette recherche manque de systématisation et de catégorisation, et il semble y avoir une tendance à recommencer à zéro avec chaque étude. Il est donc nécessaire de faire le point sur les connaissances actuelles dans ce domaine. Dans ce sens, cet article effectue une revue de la littérature sur les intentions entrepreneuriales. Un total de 409 articles traitant de l'intention entrepreneuriale, publiés entre 2004 et 2013 (inclus), ont été analysés. L'objectif et la contribution de cet article sont d'offrir une image plus claire des sous-domaines de la recherche sur l'intention entrepreneuriale, en se concentrant sur deux aspects. Premièrement, il passe en revue les recherches récentes au moyen d'une analyse des citations afin de catégoriser les principaux domaines de spécialisation qui attirent actuellement l'attention de la communauté universitaire. Deuxièmement, une analyse thématique est effectuée pour identifier les thèmes spécifiques faisant l'objet de recherches au sein de chaque catégorie. Malgré le grand nombre de publications et leur diversité, la présente étude identifie cinq domaines de recherche principaux, plus une sixième catégorie supplémentaire pour un certain nombre de nouveaux articles de recherche qui ne peuvent être facilement classés dans les cinq domaines. Au sein de ces catégories, jusqu'à vingt-cinq thèmes différents sont reconnus. Un certain nombre de lacunes dans la recherche sont identifiées dans chacun de ces domaines de spécialisation, afin d'induire de nouvelles voies et perspectives dans le domaine de la recherche sur l'intention entrepreneuriale qui pourraient être fructueuses pour combler ces lacunes.
  • Editorial : Focus sur une étape cruciale et déterminante du cycle de vie : l’incubation.

    Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE, Servane DELANOE GUEGUEN
    Entreprendre & Innover | 2015
    Pas de résumé disponible.
  • La| longévité des entreprises familiales en question.

    Lucie BEGIN, Maria BONNAFOUS BOUCHER, Didier CHABAUD, Alain FAYOLLE
    Revue de l'entrepreneuriat | 2014
    La longévité des entreprises familiales interpelle les chercheurs. Les contributions regroupées dans ce dossier permettent d’en éclairer les sources. L’accent est mis sur le rôle de la dynamique de la famille dans la longévité de l’entreprise familiale, sans négliger pour autant les multiples ingrédients qui peuvent y contribuer au sein de l’entreprise. Enfin, l’accent est mis sur l’importance des choix méthodologiques pour saisir les déterminants de la pérennité des entreprises.
  • Beyond entrepreneurial intentions : values and motivations in entrepreneurship.

    Alain FAYOLLE, Francisco LINAN, Juan a. MORIANO
    International Entrepreneurship and Management Journal | 2014
    Le rôle des valeurs et des motivations dans la compréhension du processus cognitif de l'esprit d'entreprise mérite une plus grande attention. Jusqu'à présent, l'approche prédominante a consisté à étudier l'intention entrepreneuriale. Cette voie de recherche s'est avérée très fructueuse. Cependant, il reste encore beaucoup à apprendre pour comprendre pleinement comment la décision de lancer une entreprise est prise et comment l'individu agit pour mettre en œuvre cette décision. Les valeurs et les motivations sont étroitement liées, puisqu'elles sont toutes deux liées à la notion d'objectifs. Plus l'importance accordée à un objectif est grande, plus la personne est susceptible de former des plans d'action pour l'atteindre. Dans cet article, nous présentons quelques idées sur la façon dont les valeurs et les motivations pourraient être intégrées dans le modèle prédominant de l'intention entrepreneuriale. Premièrement, nous proposons que les valeurs puissent aider à expliquer la formation des antécédents de l'intention (par exemple, les attitudes), et également modérer leur effet sur l'intention entrepreneuriale. Deuxièmement, nous soulignons la possibilité que les valeurs et les motivations puissent également jouer un rôle dans le lien intention-action. En particulier, elles peuvent contribuer à surmonter les barrières et les obstacles à un démarrage efficace. En outre, cet article est également une introduction au numéro spécial, et nous présentons les quatre articles sélectionnés pour être inclus et soulignons certains des aspects les plus intéressants de leurs contributions.
  • Comment les compétences sociales permettent-elles aux entrepreneurs naissants d'adopter des stratégies de persévérance face aux défis : une étude de cas comparative de succès et d'échec.

    Wadid LAMINE, Sarfraz MIAN, Alain FAYOLLE
    International Journal of Entrepreneurial Behavior and Research | 2014
    Objectif Cet article vise à faire avancer la recherche en cours sur la persévérance entrepreneuriale. Bien que le concept de persévérance ne soit pas nouveau (Clark, 1935), peu de chercheurs se sont intéressés à la persévérance comportementale dans le contexte entrepreneurial. Notre objectif est d'explorer l'émergence des entreprises basées sur les nouvelles technologies (NTBF) en se concentrant sur le rôle des compétences sociales des entrepreneurs naissants pour répondre aux changements de la persévérance entrepreneuriale. Conception/méthodologie/approche Dans cet article, nous étudions la phase de démarrage du processus entrepreneurial. Nous avons opté pour une étude de cas longitudinale afin d'améliorer nos connaissances sur les compétences sociales et la persévérance des entrepreneurs. Pour des raisons de triangulation, les données ont été recueillies à partir de quatre sources d'information différentes. L'utilisation de Nvivo8 comme outil d'analyse des données a permis d'imposer une discipline et une structure qui ont facilité l'extraction d'informations essentielles. Conclusions Cet article contribue à notre compréhension de la persévérance entrepreneuriale dans le contexte de la création de nouvelles entreprises. En particulier, la lecture du processus entrepreneurial à travers le prisme du modèle des stratégies de persévérance (Van Gelderen, 2012) a permis d'identifier puis d'évaluer l'impact des compétences sociales sur la persévérance entrepreneuriale globale et leur impact combiné sur la performance du processus de création de NTBF. Ce faisant, nous identifions l'impact des compétences sociales des entrepreneurs pour faire face à une série de problèmes entrepreneuriaux tels que la rareté des ressources, l'incertitude et l'ambiguïté et par conséquent leur impact sur la probabilité de survie des nouvelles entreprises. Les problèmes soulevés reflétaient principalement la complexité inhérente aux processus de transfert de technologie, les cultures divergentes de l'université et des entrepreneurs, et les caractéristiques mêmes de la phase de démarrage des NTBF. Nos résultats révèlent l'impact des compétences sociales sur les parcours entrepreneuriaux et les résultats probables. Limites de la recherche/implications Cet article contribue à notre compréhension de la persévérance entrepreneuriale dans le contexte de la création d'entreprises basées sur les nouvelles technologies. Nos résultats révèlent l'impact des compétences sociales et de la persévérance sur les parcours entrepreneuriaux et les résultats probables. Implications pratiques Notre article a des implications pour les mécanismes de soutien à l'entrepreneuriat tels que les incubateurs d'entreprises technologiques en les aidant à améliorer l'efficacité et l'efficience de leur assistance aux entrepreneurs par le développement de leurs compétences et de leur persévérance et en leur fournissant un réseau favorable. En outre, notre recherche a des implications pour l'éducation et la formation à l'entrepreneuriat. En effet, il existe un besoin urgent de concevoir et de mettre en œuvre des cours et des programmes visant à développer les compétences non techniques en entrepreneuriat. Originalité/valeur En explorant la mise en réseau et les questions de persévérance pour les entrepreneurs naissants opérant dans les secteurs basés sur les nouvelles technologies, que nous considérons comme un domaine peu étudié dans la littérature entrepreneuriale.
  • L'avenir de la recherche sur les intentions entrepreneuriales.

    Alain FAYOLLE, Francisco LINAN
    Journal of Business Research | 2014
    L'intention entrepreneuriale est un domaine de recherche qui évolue rapidement, avec un nombre croissant d'études utilisant l'intention entrepreneuriale comme un cadre théorique puissant. Cependant, certains auteurs appellent maintenant les chercheurs à repenser l'avenir de la recherche sur les intentions entrepreneuriales. Cet article aborde cette question et, sur la base d'un certain nombre de lacunes dans la littérature, propose des orientations futures pour la recherche.
  • L'avenir de la recherche sur les intentions entrepreneuriales.

    Alain FAYOLLE, Francisco LINAN
    Journal of Business Research | 2014
    L'intention entrepreneuriale est un domaine de recherche qui évolue rapidement, avec un nombre croissant d'études utilisant l'intention entrepreneuriale comme un cadre théorique puissant. Cependant, certains auteurs appellent maintenant les chercheurs à repenser l'avenir de la recherche sur les intentions entrepreneuriales. Cet article aborde cette question et, sur la base d'un certain nombre de lacunes dans la littérature, propose des orientations futures pour la recherche.
  • La longévité des entreprises familiales en question.

    Lucie BEGIN, Maria BONNAFOUS BOUCHER, Didier CHABAUD, Alain FAYOLLE
    Revue de l’Entrepreneuriat | 2014
    Pas de résumé disponible.
  • Analyse du burnout en entrepreneuriat : étude empirique sur les dirigeants de PME.

    Yosr BEN TAHAR, Olivier TORRES, Olivier TORRES, Emmanuel ABORD DE CHATILLON, Alain FAYOLLE, Claude FERNET, Jean michel PLANE, Emmanuel ABORD DE CHATILLON, Alain FAYOLLE
    2014
    Les entrepreneurs sont confrontés à des stresseurs professionnels qui peuvent affecter leurs capacités professionnelles à travers le développement du burnout. Pourtant, ils ne sont pas intégrés dans les études sur les risques psychosociaux, alors que les effets négatifs des conditions de travail, de la relation de l’individu à son travail et les facteurs améliorant la performance ont été identifiés. La problématique abordée dans ce travail entend répondre à cette lacune en proposant une investigation des facteurs et des conséquences liés au burnout chez les entrepreneurs. La collecte et l’analyse des récits de vie nous a permis de mettre en évidence de tels facteurs et conséquences chez cette population. Ces résultats ont permis de construire un modèle d’étude tenant compte des modélisations existantes, tout en les enrichissant de variables propres à la population des entrepreneurs. Ce modèle a ensuite été testé, par la méthode des équations structurelles, auprès d’un échantillon de 280 dirigeants propriétaires de PME sur la base d’un questionnaire en ligne. Les hypothèses de médiation du burnout entre les demandes et l’ensemble des conséquences : satisfaction professionnelle, conflit travail-famille et orientation entrepreneuriale, sont validées. Néanmoins, les deux hypothèses de modération, par la latitude décisionnelle et le soutien social familial et amical,ne sont pas validées. Les demandes professionnelles réduisent la satisfaction professionnelle, l’équilibre travail-famille et l’orientation entrepreneuriale par le moyen du burnout. Les demandes affectent aussi directement la satisfaction professionnelle et le conflit travail-famille. Les demandes excessives et le burnout interfèrent avec le processus entrepreneurial. Ces interférences interrogent : les situations qui amènent au burnout, le fort attachement émotionnel des entrepreneurs à leur projet ainsi que les répercussions négatives sur la santé de l’entrepreneur et sur le devenir de l’entreprise. La prévention devient un enjeu pour les structures professionnelles destinées aux entrepreneurs et aux dirigeants.
  • Comment les compétences sociales permettent-elles aux entrepreneurs naissants d'adopter des stratégies de persévérance face aux défis ? Une étude de cas comparative du succès et de l'échec.

    Sarfraz MIAN, Alain FAYOLLE, Wadid LAMINE
    International Journal of Entrepreneurial Behavior & Research | 2014
    Cet article vise à faire avancer la recherche en cours sur la persévérance entrepreneuriale. Bien que le concept de persévérance ne soit pas nouveau, peu de chercheurs se sont intéressés à la persévérance comportementale dans le contexte entrepreneurial. L'objectif de cet article est d'explorer l'émergence des entreprises basées sur les nouvelles technologies (NTBF) en se concentrant sur le rôle des compétences sociales des entrepreneurs naissants dans la rencontre des changements de la persévérance entrepreneuriale.
  • Beyond entrepreneurial intentions: values and motivations in entrepreneurship.

    Alain FAYOLLE, Francisco LINAN, Juan a. MORIANO
    International Entrepreneurship and Management Journal | 2014
    Le rôle des valeurs et des motivations dans la compréhension du processus cognitif de l'esprit d'entreprise mérite une plus grande attention. Jusqu'à présent, l'approche prédominante a consisté à étudier l'intention entrepreneuriale. Cette voie de recherche s'est avérée très fructueuse. Cependant, il reste encore beaucoup à apprendre pour comprendre pleinement comment la décision de lancer une entreprise est prise et comment l'individu agit pour mettre en œuvre cette décision. Les valeurs et les motivations sont étroitement liées, puisqu'elles sont toutes deux liées à la notion d'objectifs. Plus l'importance accordée à un objectif est grande, plus la personne est susceptible de former des plans d'action pour l'atteindre. Dans cet article, nous présentons quelques idées sur la façon dont les valeurs et les motivations pourraient être intégrées dans le modèle prédominant de l'intention entrepreneuriale. Premièrement, nous proposons que les valeurs puissent aider à expliquer la formation des antécédents de l'intention (par exemple, les attitudes), et également modérer leur effet sur l'intention entrepreneuriale. Deuxièmement, nous soulignons la possibilité que les valeurs et les motivations puissent également jouer un rôle dans le lien intention-action. En particulier, elles peuvent contribuer à surmonter les barrières et les obstacles à un démarrage efficace. En outre, cet article est également une introduction au numéro spécial, et nous présentons les quatre articles sélectionnés pour être inclus et soulignons certains des aspects les plus intéressants de leurs contributions.
  • L'entrepreneuriat familial : un domaine en développement.

    Cristina BETTINELLI, Alain FAYOLLE, Kathleen RANDERSON
    Foundations and Trends in Entrepreneurship | 2014
    Dans cette monographie, nous nous concentrons sur l'entrepreneuriat familial, un domaine en développement qui étudie les comportements entrepreneuriaux de la famille, des membres de la famille et des entreprises familiales en tenant compte des interactions possibles entre eux. Nous proposons une conceptualisation, une revue de la littérature ainsi qu'un programme de recherche dans ce domaine. Notre conceptualisation de l'entrepreneuriat familial permet de démêler les relations complexes qui caractérisent ce domaine, tandis que la revue de la littérature offre quelques exemples de la manière dont les comportements entrepreneuriaux peuvent être affectés par le contexte de l'entreprise familiale. L'agenda de recherche proposé offre quelques lignes directrices pour les recherches futures qui devraient faire progresser notre connaissance de l'entrepreneuriat familial.
  • Dynamique et configuration(s) de l'évolution de projets de création d'entreprises de haute technologie. Développement et contingence. Restitution d'un processus à partir d'une recherche-intervention : le cas d'une innovation de hautes technologies de l'invention à son exploitation.

    Odile de SURREL DE SAINT JULIEN, Boualem ALIOUAT, Robert PATUREL, Boualem ALIOUAT, Robert PATUREL, Alain FAYOLLE, Karim MESSEGHEM, Gregory HEEM, Michel BERNASCONI, Alain FAYOLLE, Karim MESSEGHEM
    2014
    La thèse vise à expliquer la dynamique de l’évolution des projets de création d’entreprises de haute technologie à travers les différentes configurations empruntées par le développement technologique et organisationnel. La revue de littérature dans le domaine de l’entrepreneuriat technologique a montré une grande richesse de facteurs explicatifs de l’évolution des projets de création d’entreprises mais aussi des déficiences du rôle attribué à la technologie qui lui confèrent un statut d’artéfact et non celui de processus à part entière. Une approche conceptuelle de la création de l’entreprise de haute technologie fondée sur la théorie de l’acteur réseau permet de dépasser les approches déterministes afin de s’intéresser au développement conjoint de la technologie et de l’organisation. Le cas d’une innovation de hautes technologies de l’invention à son exploitation est analysé en profondeur selon une démarche de recherche-intervention. L’analyse conduit a l’élaboration d’un outil d’aide à la décision (le dispositif d’intervention) et d’un modèle dynamique de la création de l’entreprise de haute technologie différent de ceux présentés dans la littérature entrepreneuriale. Les principaux apports résident dans l’aide à la prise de décisions stratégiques et à celui de la construction de l’organisation. Cette aide, au départ fondée sur les pratiques de l’intervention, s’est transformée peu à peu en un processus d’apprentissage collectif basé sur une modélisation rationnelle de la construction de l’entreprise technologique en favorisant l’émergence de nouveaux savoirs partageables et durables dans le temps.
  • Quel apport de la théorie de l'acteur-réseau pour appréhender la dynamique de construction du réseau entrepreneurial ?

    Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE, Hela CHEBBI
    Management international | 2014
    Les travaux de recherche sur le réseau entrepreneurial ne cessent de croitre. Cependant les connaissances produites sur les dynamiques de construction de ce réseau en fonction du temps restent limitées. Ce constat est encore plus marqué pour tous ceux qui s’intéressent à l’étude de la phase ante création du processus entrepreneurial. En prenant comme fondement théorique de l’entrepreneuriat la conception de Bruyat (1993), les auteurs ont suivi pendant deux ans la formation progressive du réseau entrepreneurial. Ils ont mobilisé la théorie de l’acteur-réseau pour étudier cette dynamique dans une situation de création d’entreprise innovante.
  • Compétences sociales et réseau entrepreneurial : le cas des créations d'entreprises technologiques.

    Alain FAYOLLE, Wadid LAMINE
    Entreprendre & Innover | 2014
    Le succès d’un projet entrepreneurial innovant dépend de la capacité de son porteur à pouvoir s’entourer d’acteurs détenteurs de ressources clés. Étudier les dynamiques de formation du réseau social du créateur d’entreprise doit pouvoir contribuer à une meilleure compréhension du processus entrepreneurial. Une étude longitudinale menée en France sur six projets de création d’entreprise technologique révèle que le réseau entrepreneurial émerge sur un fond de problèmes et d’obstacles. Dans ce contexte, les compétences sociales de l’entrepreneur et les objets matériels qu’il mobilise jouent un rôle important et complémentaire dans la dynamique de construction des liens sociaux.
  • Manuel sur l'université entrepreneuriale.

    Alain FAYOLLE, Dana t. REDFORD
    2014
    Ce manuel perspicace offre un point de vue sur la stratégie entrepreneuriale des établissements d'enseignement supérieur, car il devient de plus en plus nécessaire pour les universités d'envisager de modifier leurs stratégies, leur culture et leurs pratiques pour devenir plus entrepreneuriales. L'idée d'une université entrepreneuriale est-elle un mythe ou une réalité ? Le modèle universitaire est-il capable de s'adapter aux nouvelles tendances évolutives et à un monde professionnel plus complexe ? Et, quel est l'impact de l'esprit d'entreprise dans l'éducation ? Grâce à des recherches approfondies et à des études de cas menées par certains des plus grands penseurs de l'entrepreneuriat dans le monde, Alain Fayolle et Dana Redford répondent à ces questions et soulèvent d'autres sujets de débat. L'accent est mis en particulier sur le développement de la stratégie universitaire, des politiques publiques et de l'aide à la création d'entreprise comme moyen d'encourager l'entrepreneuriat des diplômés. Chaque contribution explore différentes perspectives liées au concept d'université entrepreneuriale et à son rôle dans la stimulation de la croissance économique par le biais de relations de coopération avec les entreprises et le gouvernement. En tant qu'étude complète de l'université entrepreneuriale, ce manuel s'avérera inestimable pour les étudiants et les universitaires en commerce et en entrepreneuriat, ainsi que pour les administrateurs d'université, les chercheurs et toute autre personne intéressée par l'évolution de l'université.
  • Partie I : L'évolution et les contributions de la recherche sur l'entrepreneuriat d'entreprise.

    Shaker ZAHRA, Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    M@n@gement | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • L'émergence des entreprises.

    Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Partie I : L'évolution et les contributions de la recherche sur l'entrepreneuriat d'entreprise.

    Shaker A. ZAHRA, Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    M@n@gement | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Contribution à la compréhension de l’impact des expériences d’accompagnement entrepreneurial sur la dynamique de l’apprentissage expérientiel et le changement des comportements des accompagnateurs : cas du Réseau Entreprendre®.

    Imen BEN SALAH, Alain FAYOLLE, Lotfi BELKACEM, Isabelle ROYER, Nelly SCHUTZ, Lassaad MEZGHANI, Emile michel HERNANDEZ
    2013
    Face aux enjeux aussi bien collectifs . en termes de développement économique et social des territoires et du pays . qu’individuels pour les créateurs, les systèmes d’appui se sont progressivement imposés constituant, depuis les années 80, une réalité générale en Europe et plus particulièrement en France.Parmi les pratiques d’appui à la création d’entreprises, notre intérêt dans ce travail de recherche est porté sur le phénomène d’accompagnement entrepreneurial. D’abord abordé selon une approche plutôt technique collective axé sur le résultat, l’accompagnement entrepreneurial se transforme en une pratique d’aide à la création d’entreprise qui est fondée sur une relation d’influence interpersonnelle qui s’établit entre un porteur et un acteur externe au projet de création et sur un processus d’action fondé sur des apprentissages multiples et le développement des compétences.Si à l’état actuel de la recherche en entrepreneuriat l’ensemble des apports de l’accompagnement par la structure contribue à une meilleure réussite des porteurs accompagnés, nous nous intéressons plus particulièrement, dans notre travail de recherche, à l’autre « facette cachée » de la relation d’accompagnement qui est les accompagnateurs et à cette problématique de ce qu’apprennent ces acteurs professionnels dans leurs pratiques d’accompagnement au sein des structures d’accompagnement. Nous nous sommes, donc, posées la question de savoir : Dans quelle mesure les expériences d’accompagnement entrepreneurial affectent-elles les résultats d’apprentissage expérientiel et les comportements individuels et organisationnels des accompagnateurs dans Réseau Entreprendre ® ?Pour répondre à cette problématique, nous avons mobilisé la théorie de l’apprentissage expérientiel (Kolb, 1985) comme modèle de référence de notre recherche. La rencontre entre les deux concepts de base de notre recherche, à savoir, l’accompagnement entrepreneurial et plus particulièrement, l’accompagnateur et la théorie de l’apprentissage expérientiel de Kolb (1984 nous a permis de constituer notre modèle conceptuel mettant en relation quatre variables principales. Ces variables sont associées aux expériences d’accompagnement entrepreneurial, les caractéristiques individuelles des accompagnateurs, les résultats d’apprentissage expérientiel et, enfin, le changement des comportements individuels et organisationnels des accompagnateurs.En adoptant une méthodologie quantitative nous avons administré un questionnaire à un échantillon de 205 accompagnateurs de projet de création d’entreprise dans 38 associations Réseau Entreprendre en France. Les résultats de nos analyses quantitatives sont obtenus à partir de SPSS et apportent une meilleure compréhension du cycle d’apprentissage de l’accompagnateur dans les structures d’accompagnement en général et dans Réseau Entreprendre, en particulier. Les implications et contributions de notre travail de recherche aussi bien théoriques, méthodologiques que pratiques.
  • Richesse conceptuelle et diversité méthodologique dans la recherche sur l'entrepreneuriat.

    Alain FAYOLLE, Paula KYRO, Toni METS, Urve VENESAAR
    2013
    Cet ouvrage important identifie les développements actuels de l'entrepreneuriat qui se caractérisent par leur richesse conceptuelle et leur diversité méthodologique. Il présente les derniers développements de sujets tels que l'état d'esprit, la culture et les valeurs entrepreneuriales ainsi que les avancées dans l'éducation et le développement de l'entrepreneuriat. Les contributeurs ouvrent le champ au renouvellement méthodologique en présentant l'état actuel et les opportunités de la recherche exploratoire en entrepreneuriat.
  • Comment faire éclore des talents d'entrepreneur.

    Caroline VERZAT, Alain FAYOLLE
    L'Expansion Management Review | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Entrepreneuriat d'entreprise : Où en sommes-nous ? Où pouvons-nous aller à partir de là ?

    Shaker ZAHRA, Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    M@n@gement | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Quelle GRH pour soutenir la dynamique enrepreneuriale des firmes ?

    Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE, Christian DEFELIX
    Revue Française de Gestion | 2013
    À une époque où les pouvoirs publics mettent en place, dans la foulée des « Assises de l’entrepreneuriat », une politique favorisant les attitudes entrepreneuriales dans la société et notamment auprès de la jeunesse, il est utile de rappeler que l’entrepreneuriat est l’affaire non seulement des individus, mais aussi des organisations (Miller, 1983). Une organisation doit en effet maintenir sa dynamique entrepreneuriale si elle veut rester en vie, croître, améliorer sa performance et se renouveler. Et ce, encore plus en temps de crise économique, où l’environnement est souvent plus pauvre en opportunités et les entreprises moins enclines à les saisir. Pour introduire, nous dressons d’abord un état de l’art des travaux passés sur la relation entre le management des ressources humaines et l’entrepreneuriat organisationnel, avant de présenter les articles du dossier, et enfin de proposer des pistes de recherches futures sur la manière dont la mobilisation des ressources humaines peut dynamiser le comportement entrepreneurial des firmes.
  • Entrepreneuriat d'entreprise : où en sommes-nous ? Où pouvons-nous aller à partir de maintenant ?

    Shaker A. ZAHRA, Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    M@n@gement | 2013
    Ce numéro Unplugged de M@n@gement est consacré au thème de l'entrepreneuriat d'entreprise et s'intitule : Entrepreneuriat d'entreprise : où en sommes-nous ? Où pouvons-nous aller à partir de là ? Un atelier international a été organisé à Lyon les 20 et 21 juin 2011 et a rassemblé une cinquantaine de chercheurs. L'objectif de cet atelier était de discuter des résultats des travaux récents de recherche sur l'entrepreneuriat d'entreprise. Pour ce faire, nous avons demandé à quatre chercheurs de faire un état des lieux du domaine et de partager leur vision des questions de recherche les plus prometteuses. La philosophie de cet atelier était très proche de celle de la série Unplugged. Nous voulions qu'il soit, pour citer Josserand (Clegg & Starbuck, 2009), "un joker pour partager leur propre perspective sur les nouvelles façons de concevoir le management aujourd'hui". Dans le domaine de la recherche sur l'entrepreneuriat d'entreprise, nous assistons actuellement à un débat scientifique animé autour du concept d'orientation entrepreneuriale (OE) et des interactions entre stratégie et entrepreneuriat. Au cours de l'atelier, nous avons fait la distinction entre les progrès de la science (que nous réalisons en posant de bonnes questions) et la découverte scientifique (que nous réalisons en remettant en question ce que nous pensons savoir). Ce Unplugged comprend trois parties : Dans la première partie, nous présentons "L'évolution et les contributions de la recherche sur l'entrepreneuriat d'entreprise", un état des lieux des connaissances dans le domaine. Nous retraçons les premiers pas du domaine et proposons un programme de recherche. À l'intersection de la gestion stratégique et de l'entrepreneuriat se trouve l'étude de l'entrepreneuriat d'entreprise (EC), une expression inventée par Peterson et Berger (Peterson & Berger, 1971). L'EC est important pour le domaine de la gestion générale (et donc pour les lecteurs de M@n@gement) parce qu'il aborde l'entrepreneuriat au niveau de l'entreprise (Miller, 1983), en fonction, mais aussi au-delà, des comportements entrepreneuriaux des individus qui la composent. L'EC a été étudié à travers ses conséquences (Guth & Ginsberg, 1990), par le prisme des comportements individuels (Burgelman, 1983) et en étudiant la manière dont les entreprises s'organisent pour ces activités (Kanter, 1985). L'impact de la culture nationale, quant à lui, a été relativement peu étudié (Hayton, George, & Zahra, 2002). Au lieu de cela, le domaine s'est réuni autour d'autres concepts appliqués à un cadre organisationnel d'entreprise, comme la reconnaissance des opportunités (O'Connor & Rice, 2001). Zahra et al notent que le domaine prend de la distance par rapport à la littérature sur la stratégie, où l'EC a été éclipsée par le concept d'orientation entrepreneuriale, une orientation stratégique semblable à l'orientation vers le marché (Gotteland, Haon, & Jolibert, 2009), pour embrasser d'autres questions. Le programme de recherche que nous suggérons identifie d'abord les nombreuses classifications de l'EC qui ont été proposées. Nous notons que les facteurs qui conduisent à cette variété n'ont pas encore été identifiés. Des recherches plus approfondies pourraient permettre d'examiner, entre autres, la création et l'intégration des connaissances, les facteurs contextuels tels que la culture nationale, les marchés (émergents ou matures) et l'entrepreneuriat social, ainsi que les manifestations inter-organisationnelles de l'EC. Les fondements microéconomiques de ces phénomènes soulèvent des questions plutôt intéressantes : quels comportements individuels mènent à ces comportements organisationnels ? Comment sont-ils entrelacés ? Comment les pratiques de GRH peuvent-elles induire de tels comportements ? Les clés pour répondre à ces questions, que l'on peut espérer être offertes par le contexte, restent encore à découvrir.
  • Rôle des compétences sociales et du capital social de l’entrepreneur et accès aux ressources externes en création d’entreprise.

    Amina OMRANE, Alain FAYOLLE, Olfa ZERIBI BENSLIMANE, Ulrike MAYRHOFER, Slim KHALBOUS, Emile michel HERNANDEZ, Zeineb BEN AMMAR MAMLOUK
    2013
    Les études portant sur le capital social dans le champ de l’entrepreneuriat ont largement mis en exergue son rôle dans la réussite des projets entrepreneuriaux de création. Néanmoins, les préalables qui sont susceptibles d’agir sur sa formation et son développement afin d’en favoriser l’accès aux ressources externes ont été peu explorés. Dans cette perspective, les recherches réalisées en contexte TIC (des Technologies d’Information et de Communication), et plus spécifiquement durant la phase de survie-développement des entreprises nouvelles, sont encore moins nombreuses. Dans ce cadre, cette thèse tente de comprendre le processus par lequel les compétences sociales de l’entrepreneur TIC permettent d’enrichir son capital social, et par là même de faciliter son accès aux ressources externes clés. Pour atteindre cet objectif, un modèle conceptuel a été développé à partir d’une revue de la littérature. Pour tester ce modèle et les hypothèses qui s’y rattachent, nous avons procédé à une collecte des données en deux principaux temps. Dans un premier temps, nous avons mené une étude exploratoire auprès de dix entrepreneurs TIC, quatre banquiers et cinq capitalistes de risque. Cette étude nous a permis, au moyen d’une analyse de contenu, de mieux contextualiser la recherche, ainsi que de cerner les compétences et ressources essentielles pour le développement des nouveaux projets de création. Dans un deuxième temps, nous avons conduit des entretiens semi-directifs auprès de 120 entrepreneurs TIC tunisiens. Les donnés recueillies ont fait l’objet de traitements statistiques via les logiciels UCINET-VI, SPSS (version 18) et SMART-PLS (version 2.0). Les résultats ont démontré que trois types de compétences sociales, à savoir la persuasion sociale, les bonnes grâces et l’intelligence émotionnelle de soi, sont susceptibles d’agir en contexte de création TIC. Le capital social de l’entrepreneur joue un rôle médiateur entre ses compétences sociales et son accès aux ressources externes clés, alors que l’incertitude environnementale de marché exerce un effet modérateur. A partir des résultats obtenus, nous pouvons déduire les principales contributions et limites de cette recherche afin de proposer des perspectives de développement futures.
  • La succession dans les PME familiales marocaines : une approche par le systeme familial.

    Caroline MINIALAI, Jean philippe DENIS, Gerard HIRIGOYEN, Jean philippe DENIS, Gerard HIRIGOYEN, Alain FAYOLLE, Gilles GUIEU, Alain FAYOLLE, Gilles GUIEU
    2013
    La transmission des entreprises familiales d’une génération à l’autre est la principale difficulté à laquelle se heurtent les familles qui cherchent à assurer la pérennité de leur patrimoine. Il s’agit pourtant, pour ces organisations, d’un moment stratégique. La plupart des travaux consacrés à ce processus de succession intrafamiliale, se sont intéressés à des entreprises installées dans les pays anglo-saxons ou en Europe, et, dans une moindre mesure, en Asie. Les PME marocaines, familiales dans leur immense majorité, sont confrontées aujourd’hui à un phénomène de succession de grande ampleur, qui se transforme en enjeu national. Pourtant, les modèles de succession, élaborés à partir de la littérature existante, ne sont pas nécessairement en adéquation avec la culture nationale et le système familial dominant au Maroc, un système communautaire endogame (Todd, 1999), dont le fonctionnement est très différent de celui qui prévaut dans les sociétés anglo-saxonnes ou européennes. Cette recherche cherche à combler ce vide. A partir de neuf études de cas, construites sur la base de récits de vie de successeurs, elle élabore un ensemble de propositions, destiné à tenir compte des caractéristiques de ce système familial sur les dynamiques de succession, qu’il s’agisse du processus lui-même, de la gouvernance, de la gestion des émotions ou de la transmission de la propriété psychologique. Elle montre que l’autorité patriarcale, l’égalité entre frères et sœurs, et l’endogamie sont des dimensions critiques de la réussite du processus de succession. Cette recherche cherche à combler ce vide. A partir de neuf études de cas, construites sur la base de récits de vie de successeurs, elle élabore un ensemble de propositions, destiné à tenir compte des caractéristiques de ce système familial sur les dynamiques de succession, qu’il s’agisse du processus lui-même, de la gouvernance, de la gestion des émotions ou de la transmission de la propriété psychologique. Elle montre que l’autorité patriarcale, l’égalité entre frères et sœurs, et l’endogamie sont des dimensions critiques de la réussite du processus de succession.
  • Projet d'entreprise.

    Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE
    Encyclopedia of Creativity, Invention, Innovation and Entrepreneurship | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Contribution à la compréhension de l'impact de l'accompagnement sur le développement de la perception des compétences entrepreneuriales : étude de Réseau Entreprendre.

    Amira BEN SALAH, Alain FAYOLLE, Lotfi BELKACEM, Isabelle ROYER, Nelly SCHUTZ, Lassaad MEZGHANI, Emile michel HERNANDEZ
    2013
    La question de la compétence de l’entrepreneur est tout à fait centrale. Cependant la prise en compte de cette notion demeure un problème persistant qui inhibe les performances de l’accompagnement et entrave ainsi le développement du phénomène entrepreneurial. Dans ce travail de recherche, nous avons orienté notre intérêt vers le concept des compétences entrepreneuriales afin de repositionner la relation accompagnateur/créateur au centre du processus d’accompagnement. Nous avons mis en œuvre une recherche axée sur l’analyse de l’auto-perception des compétences entrepreneuriales par les entrepreneurs naissants faisant l’objet d’un accompagnement dans une structure d’appui.Sur la base de l’ensemble des classifications typologiques des compétences des entrepreneurs, nous avons arrêté le choix de l’objet de notre étude sur la typologie proposée par Man et al. (2002). Les auteurs proposent un modèle conceptuel permettant de relier les caractéristiques des entrepreneurs des PME et la performance de leur entreprise. Partant de la conviction selon laquelle la prise en compte des compétences est susceptible de produire des nouveaux outils et pratiques d'accompagnement mieux adaptés à la compréhension et la valorisation des différentes dimensions du phénomène entrepreneurial, la problématique soulevée dans cette recherche est de savoir : dans quelle mesure une structure d’accompagnement en phase post-création contribue-t-elle à l’amélioration de l’auto-perception des entrepreneurs de leurs compétences entrepreneuriales?Pour répondre à cette question, nous avons opté pour une étude empirique quantitative et longitudinale. Dans le but d’accéder au terrain et de collecter le maximum de données, notre étude a été réalisée dans le cadre d’un partenariat entre le centre de recherche en Entrepreneuriat de l’EM Lyon Business School (CRE) et Réseau Entreprendre® (RE®). Nous avons réalisé, parallèlement, trois études longitudinales à travers lesquelles nous avons administré, à deux reprises et avec 8 mois d’intervalle le même questionnaire auprès de trois populations différentes : lauréats de Réseau Entreprendre® (population de base), les accompagnateurs et candidats non retenus (groupe témoin). Les trois premières vagues de questionnaires ont été lancées le 29 février 2012, les secondes, vers la fin du mois d’octobre 2012.Pour réaliser les traitements d’analyse, nous avons utilisé l’approche des régressions linéaires avec le logiciel SPSS.11 pour tester la nature des relations entre les variables clés de notre étude. Dans une deuxième partie d’analyse, nous avons réalisé deux études comparatives.
  • Orientation entrepreneuriale : racines et bourgeons.

    Kathleen RANDERSON, Alain FAYOLLE, Christian DEFELIX, Alain FAYOLLE, Veronique BOUCHARD, Shaker a. ZAHRA, Alistair ANDERSON, Salvatore SCIASCIA
    2012
    L’objectif de cette thèse est d’apporter de nouveaux éclairages théoriques et empiriques sur les mécanismes d’entrepreneuriat organisationnel, et plus précisément « orientation entrepreneuriale » (OE). Afin de mieux comprendre ce phénomène, cette dissertation est le fruit de quatre efforts successifs : - Identifier ce qu’est l’orientation entrepreneuriale en le distinguant de ce que ce n’est pas - Comprendre comment le construit « OE » s’intègre dans les principaux modèles d’entrepreneuriat organisationnel - Offrir une discussion critique en synthétisant et mappant les questions existantes, dévoilant qu’il y a en fait au moins quatre conceptualisations derrière « OE », parmi lesquelles la conceptualisation initiale de Miller (1983), ignorée ou incomprise. - Pour poursuivre dans l’intention de Miller, je propose une tamie dexono firmes selon leur gestalt d’OE, ainsi que les caractéristiques propres de chaque configuration. Par une meilleure compréhension du phénomène d’entrepreneuriat organisationnel, cette thèse propose de contribuer à la littérature en entrepreneuriat, en management stratégique, et en management.
  • Contribution à la compréhension de l’effet de la culture d’entreprise et du profil psychologique du dirigeant sur l’orientation entrepreneuriale des PME françaises.

    Naima CHERCHEM, Alain FAYOLLE, Michel LE BERRE, Hanane DEBBI, Karim MESSEGHEM, Michel BERNASCONI
    2011
    Notre projet de thèse de doctorat a pour objet de présenter une meilleure compréhension du rôle de la culture d’entreprise et du profil psychologique du dirigeant dans l’orientation entrepreneuriale (OE) des PME françaises. La nature de la problématique de recherche reste original dans la littérature francophone. En effet, les travaux de recherches sur l’OE ont eu tendance à se concentrer essentiellement dans la littérature anglo-saxonne. Les principaux intérêts de notre thèse tiennent : 1) à faire ressortir des actions spécifiques qui permettraient de développer une culture favorable à l’entrepreneuriat . 2) de susciter la vocation des dirigeants dans leur démarche entrepreneuriale . 3) de mieux percevoir les déterminants de la performance économique et financière des entreprises entrepreneuriales .4) de spécifier les caractéristiques des PME françaises à travers l’approche des configurations.Pour répondre à ces objectifs, nous avons construit une question principale spécifique : Dans quelle mesure la culture d’entreprise et le profil psychologique du dirigeant affectent-ils l’orientation entrepreneuriale des PME françaises et leur performance ? Pour réaliser cette recherche, nous avons opté pour une étude empirique quantitative à travers un questionnaire administré auprès des dirigeants de PME de deux chambres de commerce : la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie du Nord- Pas- de Calais et la Chambre de Commerce et d’Industrie du Beaujolais. Nous avons pu recueillir 123 réponses complètes. Pour réaliser les traitements d’analyse, nous avons utilisé l’approche des régressions linéaires avec le logiciel STATA.11 pour tester la nature des relations entre les variables clés de notre étude. Dans une deuxième partie d’analyse, nous avons utilisé l’approche des configurations avec la méthode des composantes ascendantes hiérarchiques. Concernant la première hypothèse, les résultats de l’étude empirique quantitative montrent que la culture entrepreneuriale et la culture de groupe sont associées à la capacité d’innovation, de proactivité et de prise de risque de l’entreprise. Inversement, la culture hiérarchique est associée négativement à cette triple capacité. La deuxième hypothèse concernant le profil psychologique du dirigeant donne des résultats plutôt inattendus, quant à l’effet du champ de contrôle externe du dirigeant sur l’OE. Les dirigeants qui ont un champ de contrôle externe semblent contribuer positivement au processus de l’OE. Nous avons pu montrer également que ces dirigeants conduisent leurs entreprises à réaliser de meilleures performances. Le besoin d’accomplissement du dirigeant est également lié à l’orientation de l’entreprise vers les activités entrepreneuriales. Quant à la troisième hypothèse, nous avons pu montrer dans notre recherche que les activités entrepreneuriales de l’entreprise contribuent à l’amélioration de ses performances économiques et financières. Dans un deuxième volet de cette étude, nous avons testé notre modèle conceptuel avec l’approche des configurations. Notre objectif était de proposer une classification d’entreprises selon le degré d’intensité de l’OE. L’analyse des composantes ascendantes hiérarchiques, nous a permis de faire apparaître trois formes de configuration d’entreprises : 1) entreprises entrepreneuriales, 2) entreprises traditionnelles et 3) entreprises émergentes.
  • Conceptualisation de l'esprit entrepreneurial et identification des facteurs de son développement à l'université.

    Nadia RAJHI, Alain FAYOLLE, Zeineb BEN AMMAR MAMLOUK, Michel LE BERRE, Alain FAYOLLE, Zeineb BEN AMMAR MAMLOUK, Emile michel HERNANDEZ, Olfa ZRIBI, Caroline VERZAT
    2011
    Cette thèse est consacrée d'une part à la conceptualisation de l'esprit entrepreneurial et d'autre part à l'identification des facteurs de son développement à l'université. L'étude théorique nous a amené à considérer l'esprit entrepreneurial comme un processus mental composé d'un ensemble d'attitudes et de sentiments de compétence favorable à une orientation entrepreneuriale. L'université à côté d'autres facteurs de socialisation pourrait le développer. Et ce en évoluant vers une université entrepreneuriale moyennant l'adoption d'une orientation entrepreneuriale. De ce fait, elle est amenée à adopter des pratiques entrepreneuriales à la fois au niveau de son environnement interne qu'externe. Nous avons mené une investigation préliminaire à travers des entretiens semi-directifs avec 24 responsables des universités tunisiennes afin d'explorer, identifier et cerner les facteurs de développement de l'entrepreneuriat et de l'esprit entrepreneurial à l'université tunisienne. De surcroît, la démarche hypothético-inductive nous a permis de superposer les propositions théoriques issus de la littérature avec les principaux résultats de l'enquête. Ce qui nous a permis par conséquent d'affiner et d'enrichir le modèle conceptuel à travers l'ajout de nouvelles variables: • Le type de l'université influence le développement de l'entrepreneuriat et de l'esprit entrepreneurial. • L'importance du rôle du responsable de l'université dans le développement de l'entrepreneuriat et de l'esprit entrepreneurial à l'université: il est appelé à devenir un entrepreneur. • L'importance du réaménagement du plan d'étude. • Au niveau de l'enseignement de l'entrepreneuriat: importance des pédagogies originales et ludiques et celles basées sur les TIC et de la formation des formateurs en entrepreneuriat. • Intégration de la communication avec et entre étudiants et de la motivation de ces derniers . • Importance de nouer des partenariats universités/ universités et plus de contact avec la société. Le modèle conceptuel proposé affiné par l'étude exploratoire peut servir comme référence ou point de départ pour des recherches ultérieures visant l'étude des facteurs de développement de l'entrepreneuriat et de l'esprit entrepreneurial à l'université. Il peut servir également comme outil mis à la disposition des universités voulant initier et concrétiser une politique de promotion de l'entrepreneuriat et de l'esprit entrepreneurial en leur sein. L'originalité de cette thèse est d'offrir une nouvelle conception de l'entrepreneuriat: un état d'esprit, un domaine d'enseignement et d'éducation et une option de carrière possible. Ainsi, sa valeur consiste à contribuer à la conceptualisation de l'esprit entrepreneurial, à alimenter la réflexion autour des facteurs de développement de l'entrepreneuriat et de l‘esprit entrepreneurial à l'université et à aborder de nouveaux concepts: université entrepreneuriale et orientation entrepreneuriale de l'université. Mots clés : Université, entrepreneuriat, esprit entrepreneurial, conceptualisation, enseignement de l'entrepreneuriat, facteurs de développement, orientation entrepreneuriale.
  • L' intégration du successeur dans les entreprises familiales françaises non cotées : le rôle du prédécesseur.

    Salma FATTOUM, Alain FAYOLLE
    2010
    La revue de littérature relative aux entreprises familiales fait ressortir un ensemble de conclusions quant au manque de recherches concernant l’intégration du successeur, l’après-succession et le déroulement des actions du successeur. Au vue de ces constats, nous avons tenté dans cette recherche, d’apporter des éléments de réponse concernant cette phase de désengagement/engagement à travers la relation parent/enfant et le rôle du prédécesseur. Cette recherche permet de mettre en avant le rôle déterminant du prédécesseur sur la continuité de l’entreprise familiale et sur l’attitude du successeur. Nous proposons quatre attitudes du successeur suite à son intégration de l’entreprise familiale. Ces attitudes sont l’indépendance tardive, l’indépendance non freinée, le conservatisme forcé et le conservatisme convenu. Nous mettons également en avant des facteurs susceptibles de bloquer ou de faciliter le déroulement de l’intégration du successeur dans l’entreprise familiale française non cotée.
  • Apprentissage expérentiel et métacognition dans l'éducation à l'entrepreneuriat.

    Olivier TOUTAIN, Alain FAYOLLE
    2010
    Le recours aux méthodes actives pour enseigner l’entrepreneuriat est actuellement fortement plébiscité par les institutions politiques internationales et les établissements d’enseignement. Parmi les contributions scientifiques qui favorisent la formation par l’action, la théorie de l’apprentissage expérientiel montre que l’acquisition et la transformation de l’expérience occupent une place centrale dans la construction du savoir recherché. L’usage de cette théorie pose également la question de son influence sur le fonctionnement cognitif de l’apprenant et la construction de ses propres stratégies d’apprentissage dont le développement est conditionné par des activités mentales qui font appel à l’éducation cognitive et à la métacognition. Les travaux réalisés dans la thèse produisent deux apports majeurs. Le premier se caractérise par la proposition d’un modèle conceptuel d’apprentissage expérientiel appliqué au champ de l’entrepreneuriat qui intègre et adapte les contributions de quatre théories essentielles pour comprendre l’action entrepreneuriale. Le second apport est illustré par la réalisation d’une enquête réalisée auprès de 423 étudiants lyonnais pour savoir dans quelle mesure, un module d’apprentissage expérientiel qui mobilise le concept de situation-problème dans une formation entrepreneuriale agit sur la perception des étudiants de leurs propres attitudes métacognitives? Les résultats obtenus montrent, d’une part, l’influence significative de l’apprentissage expérientiel dans le changement de perception des étudiants et explicitent, d’autre part, le rôle majeur joué par la métacognition et l’apprentissage expérientiel dans l’éducation à l’entrepreneuriat.
  • Analyse socio-technique de la phase de survie-développement des projets de création d'entreprise innovante.

    Wadid LAMINE, Alain FAYOLLE
    2010
    Le couple individu-projet est au cœur d’un système entrepreneurial dynamique en interaction continue avec son environnement. Afin d’assurer sa survie et son développement, le créateur est régulièrement amené à fédérer autour de lui un réseau d’acteurs qui permet d’alimenter ce système en énergie et en ressources qui lui font défaut. La question de recherche à laquelle nous essayons de répondre dans ce travail est la suivante :Dans une situation entrepreneuriale complexe et dynamique, comment un entrepreneur construit et développe son réseau, afin d’acquérir les ressources nécessaires au succès-développement de son projet entrepreneurial innovant ?Afin de répondre à cette question, nous avons mobilisé la théorie de l’acteur-réseau (Callon et Latour, 1986) comme méthodologie qui guide notre recherche. Selon cette théorie, la réussite d’une innovation n’est pas liée uniquement à la génialité d’un individu, ni à la valeur intrinsèque de son projet, mais elle est avant tout le résultat d’un effort fourni par une association inédite d’acteurs (humains et non humains) qui se réunit progressivement autour du couple individu/projet. En adoptant une méthodologie qualitative, longitudinale, nous avons suivi, sur une période de deux ans, les dynamiques de construction du réseau entrepreneurial de six projets de création d’entreprise innovante. Nous avons accordé une attention particulière au rôle des artefacts techniques dans notre travail.
  • L'apport du modèle de la résilience dans la compréhension du déclenchement de l'acte d'entreprendre : peut-on parler de résilience entrepreneuriale ?

    Marie josee BERNARD, Alain FAYOLLE
    2010
    L'objectif de cette thèse est d'examiner les aspects de la résilience psychologique car elle nous aide à comprendre le processus entrepreneurial, en tenant compte à la fois des caractéristiques personnelles des entrepreneurs et du processus de création d'entreprise. La thèse souligne le concept de "résilience", en particulier en tant que moyen de rebondir après des traumatismes personnels majeurs et en tant qu'élément important de l'engagement initial dans une activité entrepreneuriale. Cette thèse s'appuie sur la théorie et la recherche dans le domaine de la résilience intrapersonnelle (psychologie) et de l'entrepreneuriat (affaires) en se concentrant davantage sur les études qui mettent en évidence le processus initial de l'entrepreneuriat, le modèle d'intention, le comportement planifié, et un concept spécifique, connu sous le nom de "déplacement" (modèle de Shapero). L'intention de créer, l'énergie et la détermination à bâtir un projet ou une entreprise peuvent être liées au besoin personnel de se réinventer après un choc majeur de la vie. Il peut s'agir d'un acte de résilience psychologique. L'essentiel de la thèse est de développer un modèle qui lie la résilience et l'esprit d'entreprise. Ayant établi ce lien, le modèle contribuera aux perspectives et aux pratiques de l'entrepreneuriat. Plusieurs propositions de recherches futures en découleront également.
  • Contribution à la compréhension de la dynamique de l'engagement individuel dans le processus de création d'entreprises innovantes : étude longitudinale de cas d'ingénieurs tunisiens.

    Wassim ALOULOU, Alain FAYOLLE, Riadh ZGHAL
    2008
    L'entrepreneuriat est un champ de recherche en émergence structuré autour de quatre paradigmes. Celui qui est retenu dans notre travail est la dialogique individu – création de valeur nouvelle. La première partie de ce travail présente les concepts clés de la thèse: l'entrepreneuriat, la création d'entreprise innovante et l'engagement individuel. Dans cette partie, nous adoptons et adaptons la modélisation du processus de création d'entreprise proposée par Bruyat (1993). Dans une perspective interprétativiste à visée compréhensive, la seconde partie traite des aspects épistémologiques et méthodologiques qui font écho à notre question centrale portant sur la dynamique de l'engagement individuel d'un ingénieur dans le processus de création d'entreprise innovante. Notre contribution concerne le suivi longitudinal de la dynamique de l'engagement d'une dizaine d'ingénieurs tunisiens qui ont déclenché leur processus entrepreneurial dans un contexte spécifique qu'est le contexte tunisien.
  • La perception du risque dans la décision de création d'entreprise.

    Saulo DUBARD BARBOSA, Alain FAYOLLE
    2008
    Dans cette thèse nous examinons le sujet de la perception du risque dans la décision de création d'entreprise à partir de trois angles différents : (1) Les antécédents de la perception du risque, c'est-à-dire, les variables situationnelles et personnelles qui la conditionnent et les processus cognitifs qui l'affectent. (2) La définition même de la perception du risque dans le contexte de la création d'entreprise, avec ses diverses dimensions. (3) La façon dont différentes approches cognitives et perceptions du risque se traduisent dans le comportement des entrepreneurs au cours du processus de création. Les chapitres 1, 2 et 3 se sont focalisés sur la première perspective. Dans le chapitre 1, nous examinons le poids d'une variable personnelle "classique", la propension au risque, vis-à-vis du poids de deux variables situationnelles censées conditionner le "framing" de la situation : la description de l'option de créer et la situation d'emploi. Dans le chapitre 2, nous nous intéressons aux processus cognitifs qui affectent la façon dont des informations additionnelles sur un projet de création sont assimilées et traduites en termes de perception du risque. Dans le chapitre 3, nous complétons la première perspective adoptée dans la thèse, en explorant les modèles des intentions entrepreneuriales dans une perspective du risque. Le chapitre 4 se focalise sur la deuxième perspective adoptée. Dans ce chapitre, nous présentons le développement et le premier test empirique d'une nouvelle échelle de mesure de la perception du risque associé à la création d’entreprise. Finalement, le chapitre 5 adopte la troisième perspective, en examinant la façon dont la perception du risque se traduit dans le comportement entrepreneurial des "vrais" entrepreneurs. A travers la réalisation de 40 entretiens, nous identifions deux approches cognitives utilisées par les entrepreneurs dans la façon dont ils perçoivent et réagissent aux différents risques entrepreneuriaux : intuition et analyse.
  • Le déclenchement du processus de création ou de reprise d'entreprise : le cas des ingénieurs français.

    Jean michel DEGEORGE, Alain FAYOLLE
    2007
    Nous concentrons notre recherche sur le processus entrepreneurial et plus précisément sur sa phase de déclenchement. A partir de la modélisation de Bruyat (1993), nous reprenons sa définition de la phase de déclenchement : l'individu envisage sérieusement de créer, il consacre du temps et des moyens à sa recherche, il agit. Afin de modéliser ce déclenchement, nous utilisons deux notions principales (l'intention et le déplacement) ainsi que différents travaux : Shapero et Sokol (1982), Ajzen (1991) et Krueger et Carsrud (1993). Le point de départ de notre recherche est la base de données créée par Fayolle (1996). Deux groupes d'ingénieurs nous intéressent. Le premier concerne des ingénieurs non-entrepreneurs qui avaient au moment de l'enquête l'objectif de devenir entrepreneur à court terme. Le second sous-ensemble comprend des ingénieurs non-entrepreneurs n'ayant jamais eu l'objectif de devenir entrepreneur. Notre méthodologie se déroule en deux temps : une enquête quantitative et une étude qualitative. Nous testons les deux antécédents du déclenchement retenus dans notre modélisation conceptuelle. Nous identifions également huit voies de carrière. Nous approfondissons ensuite chaque trajectoire à l'aide d'entretiens semi-directifs. Deux dimensions déterminantes s'imposent lors de l'analyse des résultats. Les parcours de déclenchement se construisent différemment au cours du temps. Ensuite, l'intensité et les conséquences des éventuels déplacements sont perçues de différentes façons par les individus. Ceci nous amène à proposer une cartographie permettant d'identifier quatre processus de déclenchement.
  • La représentation de l’objet Entreprise par son créateur : quelles influences sur le processus entrepreneurial ?

    Fabienne BORNARD, Claude JAMEUX, Emmanuel ABORD DE CHATILLON, Jean pierre BRECHET, Emile michel HERNANDEZ, Alain FAYOLLE
    2007
    De plus en plus de travaux académiques pointent les limites des méthodologies d'accompagnement à la création d'entreprise habituellement mobilisées. Celles-ci étant fondées sur des approches séquentielles et normatives, elles imposent un séquencement mal adapté à la dynamique individuelle d'un processus entrepreneurial non linéaire. La prise en compte des facteurs cognitifs individuels constitue une voie de recherche qui pourrait contribuer à l'amélioration des dispositifs d'accompagnement. Cette thèse traite ainsi de la relation d'influence existant entre les schémas cognitifs du créateur d'entreprise et le déroulement du processus entrepreneurial. A cette fin, le concept de représentation sociale est mobilisé et appliqué à l'objet idéel central du processus, l'objet Entreprise. Une approche qualitative longitudinale a été retenue afin d'étudier quatre cas de créations d'entreprise, sur des périodes allant de un à quatre ans, complétés par l'analyse comparative des représentations accompagnateur-créateur pour un des cas. Le lien représentation sociale/processus entrepreneurial est analysé grâce à la construction de cartes cognitives. Les résultats ont confirmé l'importance de la représentation de l'objet Entreprise dans les choix stratégiques opérés et son influence potentielle sur la performance de l'entreprise crée. un des apports théoriques de ce travail réside dans la proposition d'un modèle du processus entrepreunarial articulé autour de la variable « représentation de l'objet Entreprise ». Sur le plan managérial, les bases d'une méthodologie itérative d'accompagnement, visant à mettre à jour puis analyser la représentation du créateur, sont posées.
  • Contribution à l'étude des comportements entrepreneuriaux des ingénieurs français.

    Alain FAYOLLE, Yves frederic LIVIAN
    1996
    La thèse permet d'apporter des données nouvelles destinées à mieux comprendre les comportements entrepreneuriaux des ingénieurs diplomés français. En particulier, nous tentons d'apporter des éléments de réponse à deux questions essentielles. La première concerne l'identification des facteurs qui exercent une influence (positive ou négative) sur la propension à entreprendre des ingénieurs. Elle revient à nous interroger sur l'identité et les caractéristiques des ingénieurs entrepreneurs. La seconde question vise à mettre au jour les différents cheminements ou parcours qui conduisent les ingénieurs à entreprendre. Cette question en entraine une autre : celle de l'identification éventuelle de profils d'ingénieurs entrepreneurs, lesquels profils peuvent avoir une importance quant aux types de comportements de dirigeants développés et aux types de d'entreprises crées ou reprises. Le cadre d'analyse que nous avons retenu est un modèle "interactionniste" qui, pour expliquer le comportement entrepreneurial de l'ingénieur, prend en considération à la fois "l'intetion stratégique" de l'acteur et une logique d'action qui résulte de la rencontre entre un acteur, saisi dans toutes ses dimensions sociales, et une situation mise en forme par le poids des institutions, des normes, des rapports de pouvoir, en nous référant, plus précisemment, aux travaux de H. Le Marois et P. Bernoux, nous proposons de donner au "système d'action de l'ingénieur" trois pôles en interaction : l'ingénieur acteur, ses ressources et son espace d'opportunités. Ils fondent la logique d'action entrepreneuriale de l'ingénieur telle que nous la concevons.
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