LORENZI Jean Herve

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Affiliations
  • 2015 - 2016
    Université Paris-Dauphine
  • 2021
  • 2019
  • 2016
  • 2014
  • 2013
  • 2011
  • 2010
  • 2009
  • 2008
  • 2007
  • 2005
  • 2004
  • 2003
  • 2002
  • 1992
  • Dette et développement : les enjeux soulevés par le Consensus de Dakar.

    Hippolyte D'ALBIS, Pierre JACQUET, Jean herve LORENZI, Akiko SUWA EISENMANN
    Revue d'économie financière | 2021
    Le premier déplacement officiel en Afrique de la nouvelle directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a eu lieu à Dakar le 2 décembre 2019, pour participer à une conférence internationale organisée par la République du Sénégal et le Cercle des économistes, en partenariat avec le FMI, la Banque mondiale et l'Organisation des Nations unies. Intitulée « Développement durable et dette soutenable : trouver le juste équilibre », cette rencontre fut exceptionnelle du fait de la participation de six chefs d'État (représentant le Sénégal, le Togo, le Burkina Faso, le Niger, la Côte d'Ivoire et le Benin) et du Premier ministre du Mali qui ont entamé un dialogue ouvert et symétrique avec les dirigeants des organisations internationales et les nombreux experts et universitaires venus pour l'occasion. Fait peu courant, les voix africaines ont clairement dominé les débats, plaçant les autres participants dans une position d'écoute et de réaction aux analyses et suggestions qui leur étaient faites.
  • La nouvelle résistance : face à la violence technologique.

    Jean herve LORENZI, Pierre DOCKES, Mickael BERREBI
    2019
    Pas de résumé disponible.
  • La nouvelle résistance : face à la violence technologique.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI, Pierre DOCKES
    2019
    La 4e de couverture précise : "La technologie telle qu'elle se développe aujourd'hui est porteuse de formidables espoirs. Mais elle est aussi intrusive, dominatrice et un instrument d'enfermement dans des univers codifiés et manipulés. Jamais, dans l'histoire humaine, le progrès technique n'a donné autant de moyens à quelques acteurs privés - les GAFA ou leurs équivalents chinois, les BATX. Ils ont su remplacer le politique en imposant un nouveau modèle sociétal, qui en vient à menacer nos démocraties. Face aux géants, numériques et financiarisés se développe une résistance diffuse et plurielle. La solution ne viendra pas seulement des États. Citoyens, startups, hackers, ONG agissent, collectivement et dans leurs pratiques les plus individuelles, pour résister. Ils refusent de laisser conduire leur vie, leurs pensées, leurs choix philosophiques par un quelconque big data anonyme. Ce livre ne vise pas à donner la solution. Mais, au-delà des discours catastrophistes, il trace les contours du mouvement de réaction qui se fait jour, et qui ouvre un chemin vers un avenir respectable et souhaitable.".
  • Une stagnation majeure, mais pas séculaire.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Une société désengagée ?

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Ré-humaniser le monde.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Deux voies possibles : La grande séparation des chemins.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Qui gouverne ? Les politiciens ou les prophètes de la technologie ?

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Le génie humain aux commandes.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • L'Eden High Tech.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Un marché du travail bouleversé.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Progrès ou liberté.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    2019
    Pas de résumé disponible.
  • Introduction : La nouvelle condition humaine.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    Progress or Freedom | 2019
    Pas de résumé disponible.
  • Le rôle de l'innovation médicale dans la croissance macro-économique.

    Hector TOUBON, Jean herve LORENZI, Hippolyte d ALBIS, Hippolyte d ALBIS, Claire LOUPIAS, Andre MASSON, Romeo FONTAINE, Jean martin COHEN SOLAL, Hippolyte d ALBIS, Claire LOUPIAS
    2016
    Cette thèse a pour objectif de mettre en évidence les déterminants de l'innovation médicale et ses effets sur la croissance économique. Elle repose sur la construction d'une base de données répertoriant les dépenses et les consommations de biens et services de santé entre 1980 et 2010, ainsi que sur trois modèles théoriques. Les résultats établis, pour les cohortes nées entre 1923 et 2010, mettent en évidence que les innovations médicales sont essentiellement déterminées par les variations démographiques. Par ailleurs, même si ces innovations médicales ont historiquement permis l'apparition d'importantes économies d'échelles, elles ne jouent pas actuellement un rôle moteur dans la croissance macro-économique. En effet, dans les conditions actuelles de stabilité des courbes de survie, cette mécanique de l'innovation médicale n'apparaît pas comme une force motrice de la croissance macro-économique de court terme. Les effets multiplicateurs de l'innovation médicale sur la croissance économique seraient donc, à court terme, négatifs ou nuls.
  • Dépenses de santé et arrêts maladie en France entre 2009 et 2012.

    Rova RAMANDRAIVONONA, Jean herve LORENZI, Xavier CHOJNICKI, Jacques PELLETAN, Eric DEMOLLI, Hippolyte d ALBIS, Lionel RAGOT
    2016
    Cette thèse a pour objectif de définir le rôle des dépenses de la branche maladie du système de santé en France, et notamment d’identifier dans quelle mesure les soins représentent un coût ou un investissement. Elle repose sur l’étude des interdépendances entre les soins et les arrêts maladie de plus de cent mille salariés suivis entre 2009 et 2012. Les résultats démontrent la double composante préventive et curative de tout soin.Notre premier travail consiste à identifier le surcoût des soins dû à la mauvaise santé, à partir d’un modèle régressant le coût des soins sur le fait d’avoir été absent en 2012 : il existe alors un coût significatif de ces soins assimilés à de la consommation.A partir d’un modèle de Poisson à inflation de zéros, nous réfléchissons ensuite aux déterminants des arrêts maladie, et notamment au rôle du secteur d’activité dans un portefeuille de salariés du secteur privé. Il apparaît que si la différence de prise d’arrêt reflète des conditions de travail, la disparité dans la durée s’apparente plus à des conditions d’emploi et à un climat social.Nous nous intéressons par ailleurs au rôle préventif des soins, du fait qu’ils réduisent significativement le nombre futur de jours d’arrêt maladie, et ce à travers un modèle de poisson sur données de panel qui prend en compte le problème de condition initiale.Notre dernière classification des comportements de recours aux soins et des arrêts maladie montre le capital santé comme continuum où sont opérés des investissements.
  • La malédiction du vieillissement.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    Le Japon répond parfaitement à l'aphorisme : "terre de contrastes". La société japonaise a en effet connu le vieillissement démographique le plus rapide, en raison de son faible taux de natalité et de la longévité exceptionnelle de ses habitants. Difficile de ne pas imaginer un lien entre l'affaiblissement très réel d'une économie sur le long terme - une phase qui dure déjà depuis vingt ans - et l'impact démographique si parfaitement illustré par le Japon. L'aspect le plus surprenant de cette évolution intrigante, qui peut représenter à la fois un point positif et un point négatif, est le fait que la structure économique de ce pays reflète une double contrainte, l'une conjecturale, l'autre structurelle. Tout d'abord, il existe une répartition des revenus difficile à modifier, qui favorise le capital par rapport au travail et bloque toute augmentation de la demande interne. Pire encore, comme le rappelle l'éminent démographe japonais Shigesato Takahashi, "la baisse du taux de fécondité est étroitement liée à l'évolution de la main-d'œuvre [...]. Le nombre de jeunes femmes sur le marché du travail a augmenté, notamment dans le secteur des services. [...].
  • L'irrésistible explosion des inégalités.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    L'économie politique a toujours été perçue à juste titre comme une discipline intellectuellement autonome, indépendante dans ses objectifs, visant uniquement à représenter, comprendre et éventuellement prédire les changements macro- et micro-économiques dans nos sociétés. Tel a été l'objectif principal d'économistes connus et moins connus pendant trois siècles. Ils se sont efforcés de répondre à la question de la répartition des revenus, qui occupe une place centrale dans leur approche et leur analyse. Il faut présenter ce sujet particulièrement complexe comme une sorte de pseudo-science et attester sans cesse du caractère inévitable ou inacceptable des systèmes actuels de répartition des richesses. En pratique, certains économistes légitiment la rémunération du capital tandis que d'autres dénoncent l'exploitation et l'extorsion de la valeur ajoutée. Abordée de cette manière binaire, la théorie de la redistribution des richesses interroge la société en termes moraux et politiques avant même d'évoquer son rôle dans la vigueur de la croissance économique. En ce qui nous concerne, il s'agit donc de retrouver, à travers la pensée des économistes, les bases d'une analyse solide de la relation entre le niveau des inégalités et celui de la croissance. Une régression qui montrera définitivement que tout ce qui semble gravé dans le marbre comme l'ordre naturel ou la volonté collective clairement exprimée, est en réalité extrêmement subjectif et en proie à la plus grande incertitude.
  • Introduction.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • Éviter la crise majeure du vingt-et-unième siècle.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    Des crises, quelles crises ? Elles se produiront certainement, et sans erreur. Ce point de vue n'est pas réservé aux économistes. Comment ne pas penser aux philosophes, sociologues, anthropologues et romanciers qui, aujourd'hui comme hier, nous tendent le miroir d'une modernité qui, aujourd'hui comme hier, a sa part d'ombre et de mal ? Une modernité violente, aussi destructrice pour le collectif que pour l'individu. Ce n'est pas par hasard qu'Alain Touraine parle de "la fin des sociétés "1. Elles ne pourront pas survivre à la fin de la vie sociale et à la destruction de leurs institutions, résultat d'un capitalisme financier qui a rompu tous ses liens avec l'économie industrielle, avec le contrôle institutionnel, politique et même culturel de ses ressources. Touraine cherche à savoir comment échapper au "gouffre" qui s'ouvre devant nous, dans cette ère "post-sociale et post-historique". Si Touraine ne s'arrête pas là, avec cette terrible découverte d'une mondialisation hors de contrôle - loin de là - il ouvre la voie à un nouveau paradigme, il nous entraîne même dans un improbable rapprochement avec Arjun Appadurai, quelqu'un qui n'hésite pas à souligner la relation intime, voire incestueuse, entre mondialisation et violence2. Il y a trop d'auteurs à énumérer qui nous mettent en garde contre notre dérégulation contemporaine, certains parlent de folie, comme Ulrich Beck3, qui qualifie nos sociétés de " fabricants de risques " dans lesquelles la peur prédomine ou Zygmunt Bauman qui énumère sans cesse la destruction de nos " sociétés individualistes " et bien d'autres.
  • L'épargne, la ressource rare par excellence.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    Nous voici arrivés au cœur de ce livre. Après avoir abordé successivement la grave panne du progrès technique, les bouleversements dus au vieillissement, la perte de substance économique des pays de l'OCDE, la finance incontrôlée, ces thèmes convergent vers ce qui fait l'équilibre du monde, l'épargne accumulée par les hommes sur tous les continents et les investissements qui sont la traduction de leurs rêves. Cette épargne est-elle suffisante pour permettre la réalisation de leurs ambitions ? Nous pensons que non, en tout cas pas de la manière dont l'équilibre entre investissement et épargne s'est matérialisé au cours des dernières décennies. Naturellement, un nouvel équilibre émergera, expression de la manière dont ces nouvelles contraintes seront satisfaites. Le monde aura changé, tout comme sa trajectoire économique.
  • Un monde violent.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    2016
    Pas de résumé disponible.
  • L'illusion de la définanciarisation.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    Dans ce monde en reconstruction, rien ne semble plus utopique - ou plus improbable - que le contrôle ou la restriction de l'activité financière. C'était le rêve des années post-crise, l'idée qu'une volonté politique pouvait être imposée à tous les acteurs du monde de la finance. Ce scénario a rapidement été démoli par la faiblesse du gouvernement américain, incapable de trouver une quelconque autonomie par rapport à Wall Street. Aujourd'hui, les manifestations de l'industrie financière sont sans aucun doute plus complexes et plus étendues qu'elles ne l'ont jamais été. Pour cette simple raison, grâce à la mondialisation, la finance a la capacité d'intervenir, de créer et d'utiliser les liquidités disponibles dans une mesure sans précédent. Or, toute notre histoire économique récente a attribué un rôle clé à la création de liquidités au niveau mondial, régional et national ainsi que par l'intermédiaire des banques centrales. En fait, les présents auteurs considèrent que la liquidité est la clé de la manière dont la finance s'est développée, montrant ainsi à quel point il serait impossible d'imaginer un monde qui ne serait pas financiarisé. Rappelons que l'origine du mal se trouve dans le grand déséquilibre des échanges qui est lui-même le produit de transferts massifs d'activités du Nord vers les pays émergents. Même s'il y a une intention de réduire les déficits commerciaux créés par les Etats-Unis, la réalité de la désindustrialisation des pays de l'OCDE aura deux conséquences dans la pratique.
  • Le financement de la nouvelle économie : révolution ou évolution ?

    Jean herve LORENZI
    Revue d'économie financière | 2016
    Pas de résumé disponible.
  • L'impact de la désindustrialisation.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    La plupart des observateurs considèrent que la crise a commencé en 2007 et a connu de nombreuses vicissitudes depuis lors. Certains espèrent qu'elle se résoudra rapidement, d'autres proposent des analyses débouchant sur différentes propositions de politique économique. Le seul consensus virtuel réside dans l'appellation "crise financière". Les auteurs actuels ne voient cependant pas les choses de cette façon. Bien sûr, la finance a joué un rôle important, mais il s'agit fondamentalement d'une crise de l'économie réelle. Nous pensons que la crise est le résultat du transfert massif de l'activité économique, entre 1995 et 2005, des pays développés vers les pays que l'on appellera les pays émergents. C'est le phénomène sans précédent de désindustrialisation des pays riches et de soumission à court terme au diktat du consommateur occidental, si fortement tenté par le faible coût de la consommation et de l'investissement. C'est l'époque où l'on rapportait avec envie qu'une heure de travail chinois coûtait 40 fois moins1 que le travail d'un Américain ou d'un Européen ayant les mêmes qualifications. Il fallait exploiter rapidement ce miracle sans trop réfléchir aux conséquences, c'est-à-dire au prix à payer pour soutenir les nouveaux chômeurs. Il en résulterait une explosion des coûts de la protection sociale et, surtout, la désintégration de l'économie mondiale face à la brutalité de cet impact sans précédent.
  • La grande rupture dans le progrès technique.

    Jean herve LORENZI, Mickael BERREBI
    A Violent World | 2016
    Un étrange destin attendait l'analyse du progrès technique telle que produite par les économistes il y a deux siècles. La difficulté de mesurer un tel progrès est patente. Dans le cadre d'une approche sous l'angle de la productivité totale des facteurs, elle dépend du mode de croissance de l'économie d'un pays donné et de la division de ses activités en secteurs. Plus important encore est le fait que le progrès technique a été conçu à travers la contemplation d'une histoire particulière, celle de la révolution industrielle, expression développée par Adolphe Blanqui.1 Une révolution industrielle représente le passage d'une société d'un système technique à un autre, illustré en premier lieu par la première révolution industrielle survenue à la fin du XIXe siècle, où la machine à vapeur, la sidérurgie et l'exploitation extensive du charbon ont défini ce nouveau système technique. Certains économistes ont ensuite identifié d'autres changements majeurs qu'ils considéraient comme dignes de la définition de "révolution industrielle".
  • Les transferts intergénérationnels en France : stabilités et ruptures des répartitions entre classes d'âge.

    Julien NAVAUX, Jean herve LORENZI, Lionel RAGOT, Hippolyte d ALBIS, Hippolyte d ALBIS, Andre MASSON, Marcel MERETTE, Didier BLANCHET, Andre MASSON, Marcel MERETTE
    2016
    Cette thèse a pour objectif de vérifier si les baby-boomers sont à l’origine d’une rupture de l’équité intergénérationnelle en France. Elle repose sur une application de la méthode des Comptes de Transferts Nationaux, ce qui permet d’obtenir une mesure par âge de la consommation, des ressources individuelles, de l’épargne et des transferts publics et privés entre 1979 et 2011. Des projections sont également réalisées à l’horizon de l’année 2060 grâce au modèle MELETE concernant les transferts publics reçus et le revenu disponible. Les résultats, qui sont établis au regard des principaux critères de justice intergénérationnelle, ne présentent pas de rupture manifeste et généralisée de l’équité entre générations, même si la société française se caractérise par certaines iniquités concernant la répartition des revenus d’actifs et la répartition des pensions de retraite entre générations. Par ailleurs, cette thèse apporte des résultats qui sont utiles à la compréhension de la solidarité familiale en France. Depuis trente ans, l’augmentation du poids économique des donations et des héritages coïncide avec une diminution du poids des aides en sein des ménages et une stabilité du poids des aides entre ménages. Il en résulte que les transferts privés entre ménages sont de moins en moins adaptés aux besoins des bénéficiaires, ce qui est corroboré par une analyse micro-économétrique en panel qui montre que les évènements vécus par les donateurs peuvent déclencher le versement de donations, contrairement aux aides entre ménages qui dépendent exclusivement des évènements vécus par les donataires.
  • La mondialisation, stade suprême du capitalisme ? : en hommage à Charles-Albert Michalet.

    Abdellatif BENACHENHOU, Guy CAIRE, Francois CHESNAIS, Jean marie CHEVALIER, Michel DELAPIERRE, Pierre DOCKES, Patrice GEOFFRON, Giovanni GRAZIANI, Philippe HUGON, Josepha LAROCHE, Jean francois LEMETTRE, Christian MILELLI, Francois MORIN, El mouhoub MOUHOUD, Lynn krieger MYTELKA, Fabienne ORSI, Charles OMAN, Michel RAINELLI, Pierre bruno RUFFINI, Jean pierre SERENI, Renaud DU TERTRE, Jean benoit ZIMMERMANN, Jean herve LORENZI, Christian de BOISSIEU, Wladimir ANDREFF
    2014
    Où la mondialisation conduit-elle l’économie ? Pour tenter de répondre à cette question, les auteurs prolongent ici les intuitions de l’économiste Charles-Albert Michalet en analysant les espaces de la mondialisation : la finance globale, les bourses de valeurs, le commerce mondial - cet « impérialisme à l’envers » -, les pressions protectionnistes européennes ainsi que la globalisation de la propriété intellectuelle. Il s’agit de comprendre également comment les principaux acteurs de la mondialisation, les États et les Firmes, dépassent et entretiennent la crise. En effet, la concurrence que se font les États pour attirer les investisseurs étrangers nourrit cette crise malgré les politiques nationales d’innovation. De leur côté, les Firmes qui inscrivent désormais leurs stratégies dans une recomposition mondiale de l’industrie et des services, accentuent les flux de délocalisation et de relocalisation des activités. Dans un même temps, de nouvelles Firmes originaires du « Sud » font irruption dans l’espace mondial. La force de travail doit ainsi s’adapter à une nouvelle donne qui va de la financiarisation des Firmes à l’individualisation des rémunérations.
  • Et si le soleil se levait à nouveau sur l'Europe ?

    Jean herve LORENZI, Christian de BOISSIEU
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • Financement des PME : grands défis, nouvelles voies.

    Jean paul BETBEZE, Dominique CERUTTI, Jean herve LORENZI
    2013
    Pas de résumé disponible.
  • La mondialisation, stade suprême du capitalisme ? : en hommage à Charles-Albert Michalet.

    Wladimir ANDREFF, Christian de BOISSIEU, Jean herve LORENZI
    2013
    La 4e de couverture indique : "Où la mondialisation conduit-elle l'économie? Pour tenter de répondre à cette question, les auteurs prolongent ici les intuitions de l'économiste Charles-Albert Michalet en analysant les espaces de la mondialisation : la finance globale, les bourses de valeurs, le commerce mondial – cet « impérialisme à l’envers » –, les pressions protectionnistes européennes ainsi que la globalisation de la propriété intellectuelle. Il s’agit de comprendre également comment les principaux acteurs de la mondialisation, les États et les Firmes, dépassent et entretiennent la crise. En effet, la concurrence que se font les États pour attirer les investisseurs étrangers nourrit cette crise malgré les politiques nationales d’innovation. De leur côté, les Firmes qui inscrivent désormais leurs stratégies dans une recomposition mondiale de l’industrie et des services, accentuent les flux de délocalisation et de relocalisation des activités. Dans un même temps, de nouvelles Firmes originaires du « Sud » font irruption dans l’espace mondial. La force de travail doit ainsi s’adapter à une nouvelle donne qui va de la financiarisation des Firmes à l’individualisation des rémunérations".
  • Le rôle des partenariats public-privé dans les infrastructures locales : le cas des projets de compensation carbone.

    Dorothee TEICHMANN, Jean herve LORENZI
    2011
    L’investissement dans des infrastructures locales sobres en carbone est considéré comme une composante importante de la lutte contre le changement climatique. Les mécanismes de règlementation climatique (comme la compensation carbone) font supporter aux développeurs de projet les risques liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES): les risques opérationnels, technologiques ou liés au monitoring environnemental et aux mécanismes régulateurs. Nous montrons que l’efficacité environnementale et économique des projets dépend en grande partie des modalités de partage de ces risques entre les différents acteurs impliqués dans le projet. Sur un échantillon de projets de torchage des gaz d’enfouissement financés par le Mécanisme pour un Développement Propre, il est montré que la délégation de la fourniture de la technologie crée des risques supplémentaires. La délégation de l’élaboration de la documentation du projet selon les règles formelles de l’UNFCCC et la séparation de l’opération de la décharge et du projet MDP semblent être maîtrisables par la mise en place de mesures de partage de risques.
  • Capital risque, innovation et croissance.

    Ghizlane KETTANI, Jean herve LORENZI
    2011
    La présente thèse traite de la problématique du financement de l’innovation par le capital risque. Les marchés du capital risque jouent un rôle primordial dans le financement de l’innovation. En effet, les capital risqueurs sont des investisseurs qui se spécialisent dans le financement des jeunes entreprises innovantes qui sont à la pointe de la technologie et qui ont un profil risqué. Ces entreprises sont porteuses d’une forte croissance et créent des emplois à un rythme soutenu. Nous étudions les mécanismes qui participent au succès des marchés du capital risque et nous analysons leurs implications en matière de financement des projets innovants. Un modèle de matching entre capital risqueurs et entrepreneurs porteurs de projets innovants nous permet de comprendre le rôle de l’expertise du capital risqueur dans le financement des projets innovants et le bon fonctionnement des marchés du capital risque. Nous présentons ensuite un modèle de croissance endogène où l’efficacité du matching entre capital risqueurs et entrepreneurs influence le taux de croissance. Nous analysons aussi le rôle joué par l’asymétrie d’information et, plus particulièrement, le rôle de l’antiselection et son impact sur le financement des projets innovants par le capital risque. Nous nous demandons enfin quel rôle l’Etat peut-il jouer dans le développement des marchés du capital risque.
  • Libéralisation, investissement et innovation : le cas du secteur des télécommunications.

    Romain LESTAGE, David FLACHER, Jean herve LORENZI
    2010
    Comment les politiques de libération -c'est-à-dire l’ouverture à la concurrence et les privatisations- affectent-elles l’innovation dans les télécommunications ? Afin de répondre à cette problématique, nous nous intéressons tout d’abord à la régulation de l’accès aux réseaux qui constitue le principal outil de promotion de la concurrence. En la matière, notre revue de la littérature met en évidence une contradiction entre la volonté d���accroître le surplus social compte tenu des infrastructures existantes et celle de favoriser le déploiement de nouveaux réseaux. Dans un modèle qui prolonge ces travaux en s’intéressant à la couverture géographique, nous montrons qu’une obligation de mutualisation des réseaux permet de mieux concilier ces deux objectifs qu’un contrôle du tarif d’accès. Plus généralement, la concurrence et les privatisations ont des effets contradictoires sur l’investissement des firmes. Dans notre étude empirique, il apparaît que les effets positifs de la concurrence l’emportent en moyenne sur ses effets négatifs. Il apparaît aussi que la concurrence « par les services » est moins favorable à l’investissement que la concurrence « par les infrastructures ». Notre second modèle théorique établit néanmoins que cette dernière affecte la nature des activités de R&D et accroît la part du développement au détriment de la recherche. A partir d’une étude comparée des modes de régulation française et coréens, nous soulignons qu’au- delà des arbitrages réalisés dans la mise en œuvre des politiques de libéralisation, leur articulation avec des dispositifs de soutien à l’innovation constitue un déterminant fondamental du progrès technique dans les télécommunications.
  • Assurabilité et développement de l'assurance dépendance.

    Manuel PLISSON, Jean herve LORENZI
    2009
    L'assurance dépendance des personnes âgées constitue en France et dans de nombreux autres pays développés (Etats-Unis, Espagne, etc. . . ) une énigme. Pourquoi le marché de l'assurance dépendance ne se développe pas davantage alors que la dépendance représente un risque financier très important pour les personnes âgées et que l'aide publique est dans la plupart des pays très insuffisante ? Cette thèse propose une étude originale du marché de la dépendance et apporte une réponse nouvelle à cette énigme. Elle étudie si le rationnement du marché s'explique par des raisons liées au fonctionnement des marchés (explications le plus souvent retenues par la littérature) ou si cet équilibre sous optimal découle de raisons plus institutionnelles. Cette recherche aboutit à 4 résultats. Dans une première partie, elle montre, à partir de données originales, qu'il est possible de repousser la frontière de l'assurabilité sur le risque dépendance notamment sur la prise en charge à domicile. Dans une seconde partie, elle montre que les préférences individuelles peuvent pousser certains agents à ne pas s'assurer et ceci pour au moins deux raisons : soit parce que le produit proposé n'est pas un produit de pleine assurance . soit parce que leur état de santé effectif ou anticipé a un effet très fort sur la valorisation de leur richesse. Nous disposons également d'un portefeuille d'individus assurés. Les résultats obtenus à partir de ces données inédites en France indiquent que le contrat dépendance a vocation à devenir un produit de masse, particulièrement apprécié des classes populaires et moyennes. Enfin dans une troisième partie, les tests standards concluent à partir de nos données à une absence d'antisélection sur le marché français de l'assurance dépendance. Cette absence d'antisélection pourrait s'expliquer par des phénomènes de compensation. A partir de ces quatre résultats, nous pouvons avancer que le faible développement du marché français de l'assurance dépendance ne s'explique pas par une défaillance de marché dans la couverture de ce risque mais par des raisons plus contextuelles et institutionnelles (critères d'allocation de l'aide publique, fiscalité désavantageuse par rapport aux contrats d'assurance, etc. . ). Cependant, une partie de la population, en raison de ses préférences, continuera rationnellement à ne pas s'assurer.
  • L’objectif de la réglementation prudentielle et son rôle dans l’allocation de l’épargne des sociétés d’assurance vie : le dépassement de Solvency II par une approche « rendement-risque ».

    Marcin FEDOR, Jean herve LORENZI
    2009
    Cette thèse analyse les origines et les objectifs de la réglementation prudentielle des placements en assurance et son rôle dans l’allocation de l’épargne des assureurs. Elle comporte trois parties. Une première partie explique l’importance du secteur de l’assurance pour la gestion de l’épargne mondial et permet de comprendre les nécessités, la nature et l’évolution des principes de solvabilité en assurance. Ces normes prudentielles étaient toujours développées dans un seul objectif - prévenir les faillites par la mesure et le contrôle scrupuleux du « risque ». La deuxième partie traite du rôle négatif de ces normes de solvabilité « monofactorielles » sur l’allocation de l’épargne. Cette analyse historique permet de caractériser la capitalisation comme source de motivation pour la réallocation d’investissements et d’examiner la situation dans ce contexte en Europe avant l’introduction de Solvency II. La troisième partie propose un nouveau cadre théorique pour analyser la réglementation prudentielle des placements et explique théoriquement pourquoi les normes de solvabilité « monofactorielles » influencent les politiques d’investissement des assureurs. Cette dernière partie propose une nouvelle approche de la réglementation des investissements qui vise deux objectifs – le contrôle du risque et le rendement optimal. Sur la base de l’approche « bifactorielle », nous proposons des modifications pour Solvency II.
  • Les conditions d’assurabilité de la cybercriminalité : Une approche économique du transfert des cyber-risques.

    Ali JAGHDAM, Jean herve LORENZI
    2008
    L’assurance a toujours participé au succès de l’infrastructure mondiale de l’information par les garanties offertes pour se couvrir contre les risques informatiques classiques résultants des dommages matériels. Toutefois, les cyber-risques présentent plusieurs « non conformités » au modèle actuariel traditionnel dues essentiellement à l’interconnexion des systèmes d’information. La contribution principale de la thèse porte sur l’identification des conditions qui rendent les cyber-risques assurable suivant une approche économique du transfert de risque. L’étude de la dynamique d’assurabilité à partir d’une modélisation stochastique des comportements de l’offre et de la demande a permis de dégager deux conditions nécessaires à l’élargissement du champ d’assurabilité: l’augmentation de l’aversion aux cyber-risques des assurés, et la réduction de la probabilité de réussite des attaques. À partir de ces deux conditions, nous avons déterminé ce qui pourrait accroître la première et réduire la deuxième. Une solution consiste à mieux faire jouer la synergie entre l’État et les compagnies d’assurance quant au respect des réglementations ou préconisations relatives à la prévention des cyber-risques aussi bien par les assurés potentiels que par les fournisseurs d’équipements de connectivité et les prestataires de services de sécurité. À partir de cette recherche couvrant à la fois les aspects théorique et empirique de notre thèse, nous avons pu identifier les conditions sous lesquelles les cyber-risques pourraient faire l’objet d’un contrat d’assurance. Ceci est d’une grande importance lorsqu’il s’agit de la survie même des entreprises dans un environnement économique « reconfiguré » vers un usage intensif mais aussi incontournable des réseaux d’information.
  • Fondements économiques d'une politique de sécurité : l'exemple du risque de criminalité.

    Jacques PELLETAN, Jean herve LORENZI
    2008
    L’objet de la Thèse est d’établir les fondements théoriques d’une politique de sécurité, puis de les mobiliser dans le cas particulier du risque de criminalité. Pour cela, nous donnons d’abord un statut économique à la sécurité, en la concevant comme une capabilité, au sens de Sen, et en la soumettant à une axiomatique. Nous construisons ensuite une « fonction de demande » de sécurité, qui comprend deux composantes : l'une est fondée sur des évaluations institutionnelles . l'autre sur l’évaluation du risque par les agents, que nous modélisons dans le cadre de travail initié par Kahneman et Tversky. Dans le cas du risque de criminalité, dont nous analysons d’abord l’évolution historique, une « fonction d’offre » de sécurité est ensuite construite, fondée sur un modèle d’allocation temporelle entre activité légale et illégale. Ainsi, nous pouvons confronter, d’abord de manière théorique, les fonctions d’offre et de demande obtenues. Puis, une application numérique est menée, permettant de proposer une allocation des ressources publiques entre deux formes de dépenses destinées aux Zones Urbaines Sensibles : les dépenses d’enseignement, d’une part . les dépenses policières, d’autre part.
  • Prix de marché et contrats de long terme : L’exemple du gaz.

    Thomas HUERRE, Jean herve LORENZI
    2007
    Notre travail de thèse s’est intéressé à la définition du prix du gaz naturel en Europe suite au processus de libéralisation : peut-il être défini via un prix de marché et ainsi se passer du modèle traditionnel des contrats long terme ? Nous montrons que l’utilisation unique d’un prix de marché n’est pas viable. Les caractéristiques du secteur imposent de continuer d’utiliser les contrats long terme pour assurer la sécurité d’approvisionnement long terme. Les marchés spot sont cependant essentiels pour la sécurité d’approvisionnement court terme et la définition d’un signal prix reflet de la concurrence gaz-gaz. Pour qu’ils puissent jouer ce rôle, nous préconisons de supprimer les clauses de flexibilité des contrats long terme. Nous montrons également que ces contrats long terme doivent être davantage liés aux prix spot et l’illustrons. Enfin, nous remettons en cause l’utilisation des prix Forward. Ce schéma concilie développement de la concurrence et sécurité d’approvisionnement.
  • L'assurance dépendance et son marché : Une approche actuarielle et économétrique.

    Sebastien NOUET, Jean herve LORENZI
    2007
    Pas de résumé disponible.
  • L'impact d'internet sur l'industrie du disque : vers un nouveau régime de croissance.

    Benjamin LABARTHE PIOL, Jean herve LORENZI
    2005
    Cette thèse démontre qu'Internet est à l'origine d'un nouveau régime de croissance, soit une réorganisation sectorielle causée par une innovation technologique responsable de deux phénomènes simultanés : une rupture dans le rythme de croissance du marché et l'entrée de nouveaux acteurs permise par une baisse des barrières à l'entrée. Nous démontrons qu'Internet joue un rôle dans la crise des ventes de disques de l'industrie. Internet permet également une baisse des coûts de recherche qui a pour conséquence un abaissement des barrières de promotion. Nous étudions la réorganisation sectorielle qui en découle en montrant l'évolution des rapports de force au sein de la chaîne de valeur. Les modèles économiques sont modifiés et le point de contrôle se déplace vers l'aval de la chaîne. Cette réorganisation bouleverse également l'équilibre du copyright entre incitation à la création et diffusion des connaissances. Des solutions économiques qui visent à rétablir cet équilibre sont discutées.
  • Vieillissement démographique et croissance : vers une définition économique du vieillissement.

    Helene XUAN, Jean herve LORENZI
    2005
    Face au catastrophisme des analyses économiques et sociales des conséquences du vieillissement démographique nous avons entrepris de démontrer l’existence d’un lien positif entre le vieillissement démographique contemporain et la croissance économique. L’ambition de ce travail est d’étayer la pertinence de ce propos à partir de deux arguments. Premièrement, celui d’un lien positif entre capital humain et allongement de l’espérance de vie englobé dans un concept que nous avons nommé -le vieillissement économique- dont la finalité est la mesure des espérances de vie biologiques et professionnelles. Deuxièmement, nous montrons à travers le développement d’un model théorique combinant les profils de salaire, de productivité et l’accumulation de capital humain, que le type de capital humain accumulé est une composante explicative importante des cessations définitives d’activités, et du fonctionnement du marché du travail.
  • Le développement du tranfert de risques d'assurance aux marchés de capitaux.

    Christine CHEVALLIER, Jean herve LORENZI
    2004
    Pas de résumé disponible.
  • Le risque catastrophique : essai de définition d'un nouveau concept de risque et des conditions de sa couverture par les marchés d'assurance.

    Francois xavier ALBOUY, Jean herve LORENZI
    2004
    Il existe une nouvelle catégorie de risque, dénommée risque catastrophique et qui désigne des phénomènes où la peur d'une catastrophe créée des pertes économiques réelles même si la catastrophe ne se réalise pas. Le SARS, l'ESB, les OGM, le bogue de l'an 2000, sont des exemples de ces risques catastrophiques. Ces phénomènes relèvent d'un courant général qui est le catastrophisme contemporain et tendent à se multiplier. Sous certaines conditions on démontre qu'il est possible d'assurer les entreprises contre ces risques en distinguant le décalage entre les phénomènes réels de développement du risque et les phénomènes médiatiques de panique associés à ces risques.
  • Révolutions industrielles, croissance et nouvelles formes de consommation.

    David FLACHER, Jean herve LORENZI
    2003
    Pas de résumé disponible.
  • Les conditions de l'intégration optimale à l'Union européenne : le cas de la Hongrie.

    Ottilia POGACSICS ROUGUET, Jean herve LORENZI
    2002
    Pas de résumé disponible.
  • Nouveau modèle de croissance : une explication des disparités de croissance Etats-Unis - Europe sur la période 1980-2000.

    Alain VILLEMEUR, Jean herve LORENZI
    2002
    Pas de résumé disponible.
  • Des salaires et de la répartition comme indicateurs des transformations sociales en Chine populaire : 1949-1989.

    Angel PINO, Jean herve LORENZI
    1992
    Pas de résumé disponible.
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