La gestion actif-passif constitue le « cœur du réacteur » d’une institution financière, dont l’importance s’est encore accrue pendant la crise financière : la gestion du risque de liquidité, de taux, de change et de l’ensemble des risques structurels propres aux activités d’une institution financière est une question centrale.
 
Pourtant, l’offre de formation sur ce domaine est très limitée car difficile à mettre sur pied. La gestion actif-passif ne peut s’exercer de façon pertinente que si elle rassemble des compétences multi-disciplaonres. La gestion actif-passif a peu de sens sans une compétence comptable, sans la maîtrise des enjeux réglementaires et de le gestion des fonds propres, sans une compétence minimale en méthodes quantitatives et en modélisation de comportements de la clientèle, sans connaissance des marchés et produits financiers, sans une culture économique et enfin sans la compréhension profonde du fonctionnement et du cadre d’exercice des activités d’une institution financière.
 
Un champ de compétences aussi vaste explique le déficit de formation dans ce domaine : les « ingénieurs-quants » sont mal à l’aise sur les problématiques comptables, les comptables sont peu formés aux méthodes quantitatives propres aux marchés et produits de couverture, les économistes de formation ont du mal à faire le lien entre macro-économie et les activités opérationnelles d’une institution financière, les reponsables de produits ou de clientèle connaissent peu la consommation de liquidité et les risques de taux engendrés par l’activité dont ils ont la charge.
 
Ainsi, l’AFGAP s’associe au Genes pour créer une formation certifiante, à terme largement “européanisée”, avec les meilleurs professionnels de la Place.
 
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chapo
L’AFGAP s’associe au Genes pour créer une formation certifiante, à terme largement “européanisée”, avec les meilleurs professionnels de la Place.