HEIMANN Marco

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Affiliations
  • 2020 - 2021
    Université Jean Moulin Lyon 3
  • 2017 - 2018
    Institut d'administration des entreprises, universite lyon 3
  • 2017 - 2018
    Centre de recherche magellan
  • 2012 - 2013
    Ecole doctorale sciences de gestion
  • 2012 - 2013
    Cognition, langues, langage, ergonomie
  • 2013 - 2014
    Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées
  • 2012 - 2013
    Université Toulouse 1 Capitole
  • 2021
  • 2020
  • 2018
  • 2017
  • 2016
  • 2015
  • 2014
  • 2013
  • Pilotage stratégique de la taxe carbone par les entreprises : les enjeux de la performance globale.

    Marco HEIMANN, Katia LOBRE LEBRATY
    Management & Avenir | 2021
    Cette recherche s’intéresse à l’opinion des individus, concernant le pilotage stratégique de la taxe carbone par les entreprises, en fonction des facteurs de justice sociale. Pour cela elle applique une technique empruntée aux sciences cognitives. Elle aboutit à deux clusters. Le premier regroupe des individus qui jugent acceptable la combinaison des trois choix de gestion de la taxe carbone suivants : augmentation des prix, investissements « low carbon » et absence de délocalisation, conformément aux justices distributive et rétributive. Les membres du second cluster quant à eux, jugent acceptable tout choix de gestion de la taxe carbone qui autorise le maintien des prix selon la justice réparatrice. Ces résultats sont à considérer dans la définition des stratégies RSE et dans la recherche d’un équilibre des différentes composantes de la performance globale.
  • Nudges in SRI : The Power of the Default Option.

    Jean francois GAJEWSKI, Marco HEIMANN, Luc MEUNIER
    Journal of Business Ethics | 2021
    Pas de résumé disponible.
  • Nudging pour améliorer le comportement des auditeurs financiers : Résultats préliminaires d'une étude expérimentale.

    Jean francois GAJEWSKI, Marco HEIMANN, Pierre majorique LEGER, Prince TEYE
    Lecture Notes in Information Systems and Organisation | 2020
    Pas de résumé disponible.
  • « Intégrer la responsabilité sociétale dans les enseignements de spécialité des masters de finance : la nécessité d'un équilibre ».

    Marco HEIMANN, Katia LOBRE LEBRATY
    Management et Sciences Sociales | 2018
    La responsabilité sociale a le vent en poupe, dans les entreprises comme dans les écoles de management. Cependant, la formation à cette responsabilité se réalise le plus souvent par l’ajout de cours généraux, dédiés à la Responsabilité Sociétale des Organisations sous de multiples appellations (développement durable, éthique des affaires…) dans les cursus et les formations. Ainsi, les spécialités très techniques telles que la finance, tardent à intégrer les pratiques de gestion responsable dans leurs enseignements. Cette forme d’implémentation, plus conforme au caractère transversal et holiste de la RSO, semble également plus à même de former de futurs managers effectivement responsables. Afin de le vérifier, une expérimentation pédagogique réalisée auprès de 142 étudiants de Master 2 en finance à l’iaelyon, école de management universitaire publique, a été mise en œuvre. Celle-ci a consisté en un jeu d’investissement responsable qui a permis d’analyser le comportement d’investissement des étudiants, sur une durée de 4 mois. L’utilisation de l’information extra financière par les étudiants a notamment pu être étudiée à travers le niveau de responsabilité de leurs portefeuilles. Une analyse et une discussion approfondie tant des résultats attendus qu’atypiques est alors conduite débouchant à la fois sur des perspectives théoriques mais aussi pratiques en matière de formation à la RSO.
  • Quand la RSE motive-t-elle les investisseurs ? Une étude de simulation.

    Marco HEIMANN, Katia LOBRE LEBRATY
    Recherches en sciences de gestion | 2018
    Cette étude a créé une simulation d'investissement pour examiner si les motivations pour l'investissement socialement responsable (ISR) exprimées dans les déclarations des investisseurs individuels affectent leurs investissements. En utilisant une méthodologie quantitative et qualitative, l'étude révèle une discordance entre les déclarations des investisseurs et les choix de portefeuille. Cette discordance est interprétée à travers le paradigme des dissonances cognitives. Des solutions pour limiter les dissonances dans le processus de décision sont ensuite envisagées.
  • Intégrer la responsabilité sociétale dans les enseignements de spécialité des masters de Finance : la nécessité d'un équilibre.

    Marco HEIMANN, Katia LOBRE LEBRATY
    Management & Sciences Sociales | 2018
    La responsabilité sociale a le vent en poupe, dans les entreprises comme dans les écoles de management. Cependant, la formation à cette responsabilité se réalise le plus souvent par l'ajout de cours généraux, dédiés à la Responsabilité Sociétale des Organisations sous de multiples appellations (développement durable, éthique des affaires…) dans les cursus et les formations. Ainsi, les spécialités très techniques telles que la finance tardent à intégrer les pratiques de gestion responsable dans leurs enseignements. Cette forme d'implémentation, plus conforme au caractère transversal et holiste de la RSO, semble également plus à même de former de futurs managers effectivement responsables. Afin de le vérifier, une expérimentation pédagogique réalisée auprès de 142 étudiants de Master 2 en finance à l'iaelyon, école de management universitaire publique, a été mise en oeuvre. Celle-ci a consisté en un jeu d'investissement responsable qui a permis d'analyser le comportement d'investissement des étudiants, sur une durée de 4 mois. L'utilisation de l'information extra financière par les étudiants a notamment pu être étudiée à travers le niveau de responsabilité de leurs portefeuilles. Une analyse et une discussion approfondie tant des résultats attendus qu'atypiques est alors conduite débouchant à la fois sur des perspectives théoriques mais aussi pratiques en matière de formation à la RSO.
  • Quand la RSE motive-t-elle les investisseurs ? Une étude de simulation.

    Marco HEIMANN, Katia LOBRE LEBRATY
    Recherches en Sciences de Gestion | 2018
    Cette étude a créé une simulation d'investissement pour examiner si les motivations pour l'investissement socialement responsable (ISR) exprimées dans les déclarations des investisseurs individuels affectent leurs investissements. En utilisant une méthodologie quantitative et qualitative, l'étude révèle une discordance entre les déclarations des investisseurs et les choix de portefeuille. Cette discordance est interprétée à travers le paradigme des dissonances cognitives. Des solutions pour limiter les dissonances dans le processus de décision sont ensuite envisagées.
  • Similitude des valeurs et performance globale : la confiance dans l'investissement responsable.

    Jean francois BONNEFON, Marco HEIMANN, Katia LOBRE LEBRATY
    Society and Business Review | 2017
    Objet : La recherche montre comment la performance globale peut contribuer à favoriser la confiance dans les institutions financières. Alors qu'un climat de confiance des investisseurs et du grand public envers les institutions financières s'est installé depuis les récentes turbulences sur les marchés financiers, nous pensons que les fonds d'investissement adoptant la performance globale peuvent contribuer à rétablir un climat de confiance grâce à l'équilibre implicite entre la performance économique, sociale et environnementale. Plus précisément, la performance globale promeut des valeurs qui sont similaires aux valeurs des investisseurs et pourrait être utilisée par les fonds d'investissement responsables s'ils veulent contribuer à la restauration de la confiance dans les fonds d'investissement. Méthode : En utilisant un design expérimental innovant, nous testons l'effet de la similarité des valeurs sur la confiance que les investisseurs ont dans le fonds d'investissement. Cet effet ne peut être étudié isolément, c'est pourquoi nous le comparons aux effets de la performance financière et de l'étiquetage éthique sur la confiance. Résultats : Nous constatons que les fonds ayant des valeurs similaires sont perçus comme plus dignes de confiance par les investisseurs. Par conséquent, la performance globale devrait être ajoutée à la boîte à outils d'un gestionnaire de fonds s'il veut favoriser la confiance dans son fonds. L'effet de la performance financière sur la confiance ne s'applique que lorsque l'investisseur ne dispose d'aucune autre information concernant le fonds. Quant à l'étiquetage éthique des fonds, il n'a aucun effet sur la confiance. Implications pour la recherche : Nos résultats encouragent la recherche qui vise à développer une approche globale de la performance globale intégrée en se concentrant sur les valeurs financières et extra-financières.
  • La similitude des valeurs et la fiabilité perçue des fonds d'investissement.

    Jean francois BONNEFON, Katia LOBRE, Marco HEIMANN
    ADERSE | 2016
    La crise immobilière de 2008 et plus récemment la crise de la dette européenne ont répandu un climat de méfiance parmi les investisseurs et le grand public. Nous soutenons que les institutions financières peuvent favoriser la confiance par le biais de fonds d'investissement socialement responsables, contribuant ainsi à la performance économique globale. Nous prédisons cependant que seuls les fonds ayant des valeurs morales similaires à celles des investisseurs sont perçus comme étant plus dignes de confiance que les fonds ayant des valeurs différentes ou sans valeurs. En utilisant un design expérimental innovant, nous testons l'effet de la similarité des valeurs et le comparons à l'effet des performances financières passées. Nous constatons que la similarité des valeurs est le facteur sous-jacent de l'effet de la responsabilité sociale sur la confiance. Le simple fait de qualifier un fonds d'éthique n'a pas d'impact sur la confiance, et la performance financière a un effet plus général.
  • La RSE motive-t-elle les investisseurs ? Un essai de réponse par la simulation.

    Katia LOBRE, Marco HEIMANN
    Etats Généraux du Management | 2016
    Afin d’identifier les motivations des investisseurs individuels pour l’ISR et de vérifier si celles qu’ils expriment affectent effectivement leurs investissements, nous avons mis en place une simulation de choix d’investissements. Nous appuyant sur une méthodologie originale, mêlant analyse quantitative et qualitative, nous aboutissons aux résultats suivants : dans leur discours, c’est la surperformance potentiellement procurée par l’ISR qui motive les investisseurs, compte tenu d’une pression institutionnelle ou sociale, indépendante de toute considération financière. Dans les choix effectués la surperformance exprimée comme motivation ne se retrouve plus que dans les portefeuilles de certains investisseurs, ceux dont la performance financière n’est pas bonne. Afin de rendre ces résultats intelligibles, en particulier pour les banques et institutions financières en recherche de solutions leur permettant de capter cette catégorie d’investisseurs, nous avons mobilisé le concept de dissonances cognitives perturbatrices du mécanisme décisionnel.
  • Altruisme ou maximisation du profit ? Les motivations de la demande d'informations financières supplémentaires.

    Katia LOBRE, Marco HEIMANN
    PRI academic network conference | 2015
    En s'inspirant de la littérature sur l'altruisme et des études sur l'investissement socialement responsable (ISR), nous explorons les motivations altruistes et lucratives des étudiants diplômés à prendre en compte des informations financières supplémentaires dans un jeu d'investissement en actions. Nous suivons un plan d'étude mixte simultané à statut égal. Nous nous appuyons sur une analyse qualitative des rapports non structurés sur le processus de sélection des actions pour déduire l'ensemble des motivations qui sous-tendent l'intégration des facteurs ESG. La modélisation quantitative permet d'évaluer si la motivation à intégrer l'analyse ESG se traduit également par des investissements plus responsables en régressant le poids des entreprises ESG de premier rang dans les portefeuilles sur les fréquences de motivation exprimées dans les rapports. Pour évaluer les facteurs contextuels et plus stables, nous incluons également la performance financière des portefeuilles dans l'analyse de régression. Nous constatons que la motivation induite par l'attente d'un avantage financier est le principal moteur de l'intégration ESG. L'effet de la motivation financière pour l'intégration ESG sur les investissements ESG est toutefois modéré par la performance financière de la manière suivante : Les investisseurs qui ont déclaré intégrer les valeurs ESG pour la performance financière n'ont eu une plus grande part d'entreprises ESG de premier rang dans leurs portefeuilles que lorsque leurs portefeuilles ont sous-performé le marché. Ce résultat confirme et étend les conclusions précédentes sur le comportement des investisseurs ISR dans les marchés baissiers.
  • L'opinion des gens sur l'acceptabilité des primes et des politiques de rémunération des cadres.

    Jean francois BONNEFON, Marco HEIMANN, Etienne MULLET
    Journal of Business Ethics | 2014
    Nous avons appliqué une technique empruntée au domaine de la bioéthique pour vérifier si les facteurs liés à la justice influencent les décisions des profanes en matière d'éthique des affaires. Dans la première expérience, les participants ont jugé l'acceptabilité des politiques de rémunération et dans la seconde celle des bonus des dirigeants. Dans chaque étude, les participants ont jugé un ensemble de 36 situations. Pour créer les scénarios, nous avons fait varier (a) la justice rétributive - le montant de la rémunération. (b) la justice procédurale - la clarté de la procédure qui détermine la rémunération. (c) la justice distributive - l'étendue de la distribution des primes entre les employés. et (d) la justice réparatrice - une compensation spéciale pour les conditions de travail dangereuses ou les accidents du travail. Le regroupement par K-means des 36 jugements a révélé quatre positions personnelles différentes dans les deux expériences. Un groupe de personnes a accepté sans hésiter toutes les situations. Les jugements des trois autres groupes étaient principalement une fonction de la justice distributive modulée de différentes manières par le contexte déterminé par les autres variables. En outre, les gens conçoivent la justice distributive comme étant catégorique : Les jugements d'acceptabilité n'augmentent que si les entreprises accordent des primes à tous les employés. L'octroi de primes à un sous-ensemble (c'est-à-dire aux gestionnaires ou aux cadres) n'augmente pas l'acceptabilité. Nos résultats sont utiles pour les décideurs politiques et fournissent aux chercheurs en éthique des affaires une nouvelle technique.
  • Experimental Studies on Moral Values in Finance : Windfall Gains, Socially Responsible Investment, and Compensation Plans.

    Marco HEIMANN, Sebastien POUGET, Jean francois BONNEFON
    2013
    Cette thèse concerne des décisions dans des situations complexes qui impliquent des valeurs économiques et moraux. Chapitre 2 introduit les décisions morales en contexte économiques en proposant les situations d’un intérêt empirique. Le sujet du chapitre 4 est de restaurer la confiance dans les fonds communs de placement. Les principaux résultats suggèrent que les effets positifs de l’approche ISR sont tributaires de la similarité des valeurs de l’investisseur individuel avec celles du fonds. Chapitre 5 dresse un portrait de l’acceptabilité sociale de la rémunération des dirigeants et celle des politiques de rémunération générales d’une entreprise. Le principal résultat indique l’existence de groupes de personnes qui sont jugent a partir de points de vue personnels sur la justice des rémunérations. Chapitre 6 introduit un jeu expérimental (le dilemme conceal-reveal) qui permet l’étude des personnes ayant le choix entre révéler et cacher des avantages qui seraient jugés comme non méritée par d’autres. Le résultat principal est que les choix ne reposent pas sur une analyse coûts-bénéfices. En conséquence, faire appel aux valeurs moraux peut être une alternative intéressante dans de telles situations. Enfin, les deux derniers chapitres (Chapitre 7 et Chapitre 8) des implications théoriques et pratiques de ces résultats empiriques.
  • La moralité mutualiste peut-elle prédire comment les individus traitent les avantages qu'ils n'ont pas mérités ?

    Jean francois BONNEFON, Vittorio GIROTTO, Marco HEIMANN, Paolo LEGRENZI
    Behavioral and Brain Sciences | 2013
    Pas de résumé disponible.
  • Les décideurs utilisent les normes, et non l'analyse coûts-avantages, lorsqu'ils choisissent de dissimuler ou de révéler des récompenses injustes.

    Marco HEIMANN, Vittorio GIROTTO, Paolo LEGRENZI, Jean francois BONNEFON
    PLoS ONE | 2013
    Nous présentons le Dilemme de la dissimulation ou de la révélation, dans lequel des individus reçoivent des avantages injustes et doivent décider de dissimuler ou de révéler cet avantage injuste. Ce dilemme présente deux caractéristiques importantes : il ne se prête pas facilement à l'analyse coût-bénéfice, ni à l'application d'une norme universelle forte. Par conséquent, il se prête parfaitement à l'étude des variations interindividuelles et interculturelles des normes morales et économiques. Dans cet article, nous nous concentrons sur les variations interindividuelles, et nous présentons quatre études montrant que les individus ne peuvent pas être influencés par des incitations financières à dissimuler ou à révéler, et qu'ils suivent plutôt des stratégies fixes et idiosyncrasiques. Nous discutons de la manière dont ce résultat peut être étendu aux variations individuelles et culturelles dans la tendance à afficher ou à cacher des récompenses injustes.
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