Une rupture pour un progrès ?

La réélection de Donald Trump à la présidentielle américaine rebat les cartes géopolitiques et économiques au niveau mondial. Naturellement, les investisseurs doivent s’adapter en ajustant leur allocation d’actifs. Quelles sont les recettes pour construire un portefeuille performant en 2025 ? Quelle place réserver aux actions américaines ou européennes, à la dette corporate et aux actifs non cotés dans un contexte de baisse des taux en zone euro ?

En France, l’instabilité gouvernementale et la trajectoire budgétaire remettent en question la place qu’occupe la dette française par rapport à d’autres dettes souveraines au sein des portefeuilles. Quelles sont aujourd’hui les obligations d’Etat à privilégier ?

L’actualité politique percute aussi la thématique de la finance durable. Les avancées en matière d’ESG feront-elles les frais de la demande de simplification réglementaire, notamment dans l’Union européenne ? Comment les investisseurs institutionnels réagissent-ils à ce nouveau paradigme pour apprécier les enjeux sociaux et de gouvernance ? Y trouveront-ils au contraire l’occasion d’élargir leur horizon d’investissement, par exemple en finançant le secteur de la défense ? Et pour les plus engagés dans la transition numérique, comment intégrer les impacts de l’IA générative ?

Pour répondre à ces questions, je vous donne rendez-vous le 12 juin prochain à l’Hôtel Shangri-La à Paris pour l’Institutional Day de L’AGEFI, qui regroupe désormais deux évènements majeurs, le Forum des Investisseurs institutionnels le matin et le Forum ESG & Impact Investing l’après-midi. Cette journée de débats réunira les grands investisseurs français et les meilleurs experts. Et pour ouvrir la discussion, L’AGEFI et l’AF2I dévoileront en avant-première les grandes conclusions de l’enquête annuelle sur les portefeuilles institutionnels français.

Alexandre Garabedian

Directeur de la rédaction de l'AGEFI

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